Frisson

rouge Et d’un seul coup disparaît Ne laissant que sa pipe Au milieu d’une flaque d’eau Ne laissant que sa pipe Et puis son vieux chapeau… Jacques PREVERT Nuit de neige Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées. Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; De leur

réduire à l’impuissance l’énorme machine qu’est la locomotive. Elle souille la pureté de la nature et sa virginité. l.23 : « le flot révolté » : révolte de la nature l.13-15 : « c’était un panache de fumée noire, épaisse, qui salissait le grand frisson pâle du ciel ». II ) ce qui, dans la scène, dépasse la dimension réaliste Il nous montre une vision réelle mais transfigurée, dépassant la vision de la réalité. A ) Déformation de la réalité a) Personnification de la Lison La locomotive

parasite, pique l`hôte en lui injectant des sporozoïtes dans le sang commençant ainsi le cycle infectieux. Le syndrome infectieux est une réponse inflammatoire de l`organisme à l`agent parasitaire. C`est un syndrome non spécifique qui se traduit par des frissons, hyperthermie, asthénie, céphalées, myalgies, douleur abdominales, diarrhée, nausées et vomissements. L`infection du foie et les lésions au niveau des cellules du parenchyme cause la splénomégalie. L`altération physiologie du foie entraine des troubles

fiancée monstrueuse, attendait l’amant de feu qui descendait vers elle. Il précipitait sa chute, empourpré comme par le désir de leur embrasement. Il la joignit ; et, peu à peu, elle le dévora. Alors, de l’horizon, une fraîcheur accourut ; un frisson plissa le sein mouvant de l’eau, comme si l’astre englouti eût jeté sur le monde un soupir d’apaisement. Le crépuscule fut court ; la nuit se déploya, criblée d’astres. Le père Lastique prit les rames ; et on s’aperçut que la mer était phosphorescente

absence de matériel réa - Hyperthermie maligne. - Porphyrie. - hypersensibilité - ATCD hépatite - chimiothérapie - Insuffisant hépatique - grossesse < 6 mois - ttt par isoniazide - neurochir si gde lésion - Toux, laryngospasme - Nausées, vomissements - Frissons au réveil. - Arythmie - Hyperthermie maligne. - hépatite à l’halothane - Entretien adulte, enfant - Ambulatoire - Utilisation en neuro chir mieux que les autres halogénés - absence de matériel réa - Hyperthermie maligne. - Porphyrie. - hypersensibilité

| | |« attachent un homme à la terre » |-« une flamme, une grande flamme » | | |« la Seine… presque chez moi » |-« un frisson, un frisson de peur » | | |La nature est paisible mais aussi grandiose, avec une |-« un cri, un cri horrible » | |Perception du |grande largeur de vue :

d’une façon très subtile à l’aide de la nature. Mort : « Les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12) « Il a deux trous rouges au côté droit » (v.14) Champ lexical Champ lexical de la mort « bouche ouverte » (v.5) « tête nue » (v.5) « étendu dans l’herbe » (v.7) « Pâle » (v.8) « froid » (v.11) « deux trous rouges au côté droit » (v.14) Indices de mort : « Les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12) Double rôle de la nature La nature dans ce poème décrit non seulement

|Soldat : dort (état), étendu (état), sourire | | | | |(action), frissonner (action), baigner (action) | | | | |

jetaient des clameurs prolongées, énormes, enflées comme des vagues, si sonores et si puissantes, qu’il semblait qu’elles dussent soulever et faire sauter le toit pour se répandre dans le ciel bleu. Leur bruit vibrant emplissait toute l’église, faisait frissonner la chair et les âmes. Puis tout à coup elles se calmaient ; et des notes fines, alertes, couraient dans l’air, effleuraient l’oreille comme des souffles légers ; c’étaient de petits chants gracieux, menus, sautillants, qui voletaient ainsi que des

s’imaginer dans la peau du narrateur. b) Ce livre est facile à lire car il est court, c’est un journal intime avec un seul personnage à la fois. c) -« Comme il est profond, ce mystère de l’invisible ! » -« Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un frisson d’angoisse. » -« Cette fois je ne suis pas fou ! Je… je… je l’ai vu ! » 4) Je conseillerais ce livre à un ami car c’est un livre court et facile à lire. Il n’y a qu’un seul personnage vu que c’est un journal intime