Frisson

j’aperçus une lumière, et bientôt mon compagnon heurtait une porte. Des cris aigus de femmes nous répondirent. Guy de Maupassant, « La peur » Extrait 8 : ........................................................ Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d’angoisse. Je hâtai le pas, inquiet d’être seul dans ce bois, apeuré sans raison, stupidement, par la profonde solitude. Tout à coup, il me sembla que j’étais suivi, qu’on marchait sur mes talons, tout près à me

relaxant. Dans le poème de Nelligan c'est plutôt violant. Il y a aussi plusieurs élément du poème qui peuvent le prouver. L'utilisation de l’accentuation dans le vers 7: «frissons glacé» en est un élément, car seulement le mot frisson nous fait comprendre qu'il fait froid, mais en ajoutant le glacé, cela amplifie le mot frisson et rend le vers encore plus violant. Il y a vraiment une intensité différente au niveau de l'utilisation du thème, mais peut importe que ce soie doux ou violent, le résultat

2010-2011 Niveau : 2eme année Durée : 2 heures TEXTE : Je tentais de reconnaître mon pardessus parmi ceux qui encombraient* l’entrée quand j’entendis pour la première fois sa voix. « Vous partez déjà ? » La phrase était banale et pourtant un frisson étrange me parcourut le dos, comme si cette voix eût été pourvue d’organes tactiles* que j’aurais senti courir sur ma colonne vertébrale. Je me tournai et fus frappé par sa beauté. Elle me parut d’abord très grande, puis je vis que cette impression

TRIBUNE Comme au sortir d’une mêlée, j’émerge ébouriffé et défrisé de cette finale de la Coupe du monde de rugby que nous a offert l’Eden Park Stadium d’Auckland. A l’affiche, France contre All Blacks. Les All Blacks ! Ce mot me fait courir un frisson par tout le corps. Ce mot me couvre du maillot numéro 14, celui d’un trois- quart aile droite trempé de sueur adolescente. J’ai 18 ans, et mes quatre- vingt-cinq kilos sont lancés à 40 km/h dans un étroit couloir bordé d’une demi-tonne de muscles

descriptions détaillées on arrive à se représenter les scènes et donc l’histoire nous paraît plus réelle et plus intéressante. Dès le début de la nouvelle le narrateur installe une atmosphère tendue en employant un champs lexical de la peur comme « frisson » ou « un gros serpent noir », animal qui fait plutôt peur. Cela crée des tensions et du suspens, ce qui nous incite à lire le texte jusqu'à la fin. Malheureusement il me semble que le titre étant « la peur » on s’attend à une fin terrible voir

ailleurs, on remarque que le mot « vent » est répétée à plusieurs reprises : « Un vent froid », « Quelques bruyères sèches, chassées par le vent ». Ces expressions sont associés au champ lexical du froid : « Un vent froid », «  Elle frissonnait », « ce frisson qui la glaçait ». Elles permettent de créer un effet de forêt malfaisante, glaciale, qui terrorise. En outre, la fillette ignore tout de ce qui l’entoure, ce qui accentue sa terreur : le recours au champ lexical de l’ignorance : « [Elle]

sur l'organisme Le froid fragilise la barrière principale, la peau. Pour augmenter la température interne, la peau subit une vasoconstriction (les vaisseaux sanguins se contractent) au niveau des extrémités (mains, pieds, oreilles, nez), et les frissons apparaissent. Figure illustrant la réduction de la circulation sanguine à la périphérie du corps par vaso-constriction des vaisseaux sanguins La peau devient sèche et inconfortable. Les muqueuses des voies respiratoires sont en permanence

fantastique, car ce genre se situe aux frontières du réel et du surnaturel. Ensuite, une autre émotion fortement répandue dans ce récit est l’angoisse. Le 2 juin, le narrateur a inscrit dans son journal : « Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d’angoisse. » Encore une fois, l’auteur utilise une répétition. Cette fois, le narrateur souffre de ses nuits agitées qui provoquent chez lui un haut taux de stresse qui se traduit par de l’angoisse, car il ne sait

l'Être Invisible. En premier temps, le narrateur illustre la peur qui émane du personnage à l'approche du Horla. La peur du personnage se manifeste lorsque le Horla l'épie pendant sa promenade dans la forêt: « Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d'angoisse. […] ». (L. 25) On peut déduire qu'il sentait une présence invisible tout près de lui. En fait, le texte révèle la peur du personnage par cette gradation: « je le sais... je le sens aussi que quelqu'un

-Dans la phrase «  qui l’aperçoit frissonne du plus mystérieux des frissons  » : on note la répétition du terme onomatopéique du substantif « frisson » aussi dérivé en verbe. C’est-à-dire que le mot mime phonétiquement l’acte de frissonner. -> A cela s’ajoute une allitération en « ss ». La répétition du « ss » et de « frisson » : font éprouver au lecteur un frisson dans tout le corps. Ce à quoi les termes «