Génocide arménien

chrétienne. Les cultures sont donc différentes. Sur le plan économique, comme la  Turquie est pauvre, les Européens de l’Ouest ont l’impression qu’elle recherche un asile économique en U.E. Du point de vue historique, la non reconnaissance du génocide arménien est un frein pour l’adhésion de la Turquie en Europe bien que les Turcs attribuent la responsabilité des massacres à un régime disparu que fut l’Empire Ottoman. Les négociations concernant l’entrée de la Turquie au sein de l’Union Européenne

La violence de la guerre touche aussi tout le monde : Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. Les civils sont parfois visés (villes bombardées...). La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'Empire ottoman. L'Etat ottoman va faire mourir environ un million d'Arméniens durant la Première Guerre mondiale. VI)Le bilan et les conséquences de la guerre : Le bilan humain est terrible : dix millions de morts au moins, des millions

des morts. Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'empire Ottoman. (environ 1million d'Arméniens morts) qui a lieu en avril 1915 à juillet 1916. (Ce sont les « jeunes turcs » qui dirigeaient l'Empire ottoman et qui ont exécutés les Arméniens en Turquie) D) La place des femmes après la guerre La 1ere Guerre Mondial a véritablement favorisé, durant 4 ans, l'émancipation de

l'ennemi (ils représentent 40 % des victimes de la 1E G.M) : exécutions, viols, travail forcé, otage, blessures de toutes sortes. L'ennemi emmène donc la guerre à l'intérieur, en effet, il s'attaque à des villages et on va même jusqu'au génocide : Génocide des Arméniens (1915). On peut donc parler de front de l'arrière. Par besoin de fonds, les USA prêtent de l'argent aux États. Et afin d'empêcher l'ennemi de s'approvisionner en matière premières ils procèdent à des blocus maritimes → torpillage

Italie…) par les persécutions fascistes contre les juifs et les communistes, ce groupe d’étrangers s’est organisé dans les réseaux de résistances français. Le chef de leur réseau de 23 membres était Missak Manouchian, poète Arménien (réfugié en France suite au génocide de 1915). Il a donné son nom au «Groupe Manouchian ». Le groupe Manouchian est un réseau de résistants étrangers qui a lutté en France de 1942 à 1943, il faisait partie du détachement de « Francs-tireurs et partisans de la main

La violence de la guerre touche aussi tout le monde : Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. Les civils sont parfois visés (villes bombardées...). La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'Empire ottoman. 6) Le bilan et les conséquences de la guerre : Le bilan humain est terrible : dix millions de morts au moins, des millions de blessés qui pour beaucoup ne guériront jamais totalement. Le bilan matériel est lui

1918 ( arimistice). Plus de 60 millions de soldats y ont pris part. Pendant cette guerre, environ 10 millions de personnes sont mortes et environ 20 millions sont devenues invalides. D'autres évènements sont survenus pendant cette période : le génocide arménien (1915-1916), la Révolution russe (1917), qui ont augmenté la détresse des populations. Pour toutes ces raisons, cette époque restera comme une période tragique pour ceux qui l'ont vécu et pour les générations futures..La notion de guerre totale

différents besoins de l'armée. A la fin de la guerre, il y a beaucoup de veuves et d'orphelins. Les civils ont souvent été visés durant cette guerre avec les villes bombardées. Cette guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le Génocide des Arméniens (Empire Ottoman). Cet Empire va faire mourir un millions d'Arméniens durant cette guerre. Bilan Bilan humain : 10 millions de morts au moins, des millions de blessés dont certains qui ne guériront jamais. Bilan matériel : les

lance-flammes envoyés par les Allemands. Enfin, on connaît la guerre sous-marine qui s’est déroulée dans l’Atlantic Nord. Il y a également le génocide arménien : l’empire ottoman est en guerre contre la Russie, aux côtés de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie, des Jeunes-Turcs sont au pouvoir. Le gouvernement donne l’ordre d’exterminer les Arméniens : le génocide est légalisé. En 1916, un événement dramatique arrive c’est la bataille de Verdun : de février à juin, il y a une attaque allemande, résistance

lors irrationnelle. Mais si le rapprochement avec la Géorgie ne posait a priori aucun problème, les relations turco-arméniennes furent loin d’apparaître aussi évidentes. Le génocide de 1915, non-reconnu comme tel, mais de surcroît véritable objet de censure en Turquie dans les années 1990 encore, scelle un passé commun douloureux. L’envenimement du conflit entre Azéris et Arméniens pour la région du Haut-Karabagh (depuis 1988) accélère la rupture : par solidarité avec l’Azerbaïdjan, Ankara renonce