Glissement de terrain

Gravure de Battista Passaro Le Dernier Jour de Pompéi de Karl Briullov (1830-1833) Huile sur toile (456,5 cm x 651 cm), Musée russe (Saint-Pétersbourg). Eruption de 79 5) Les risques volcaniques de ce volcan aujourd’hui sont : - les glissements de terrain, pouvant piéger et tuer les habitants ; - les projections de cendres, détruisant toutes les terres cultivées/cultivables (famine), asphyxiant les habitants, risquant de causer des décharges de foudres et déclenchant les feux de forêts ;

ou bien lors de la remontée d’un magma qui va modifier les terrains qui sont autour de lui (métamorphisme de contact). Il y a dans tous les cas augmentation de la température et de la pression. En effet, plus on descend dans la croûte terrestre, plus la température croît (environ 1°C/30 m dans les mines du nord) et l’intrusion d’un magma chauffe les terrains qui se trouvent autour. Pour ce qui est de la pression, le poids des terrains situés au dessus augmente considérablement la pression dans le

territoires sont confrontés à trois types de risques majeurs. Les risques naturels qui sont liés aux aléas climatiques (cyclones, inondations, sécheresse…) et géologiques (séismes, tsunamis, volcanisme…), parfois à la combinaison des deux (glissement de terrain…). Les risques technologiques qui sont liés aux activités industrielles et aux transports de matières dangereuses (accident nucléaire, industriel – Bhopal en Inde, p.ex. 20 à 25 000 morts – pollutions des sols, de l’air, de l’eau – marées noires

naturels. En effet, le territoire méditerranéen concentre des risques liés au climat (incendies de forêts l'été, précipitations orageuses en automne). La pente est un facteur de risque dans les milieux montagnards avec les avalanches ou les glissements de terrain. Les milieux tropicaux sont très exposés aux risques climatiques (cyclones) et aux séismes. Mais surtout, les inondations concernent 1/3 des communes françaises. Certains aménagements aggravent les risques naturels, comme les constructions

d'un repas par jour, il a faim et soif, il a envie d'un bock (verre de bière). Seulement cette soif, c'est comme sa marche, c'est très symbolique, c'est une soif de conquête, de gloire, d'ambition, c'est l'illusion du réel. On a un glissement de la focalisation zéro (narrateur omniscient) à la focalisation interne. Duroy marche, décidé (fier), part à la conquête de la capital, il a un rythme dynamique (bien montré par les participe présent), il est plein d'assurance, de

foncière ▪ manque cruel de logements ( autoconstructions (ex Maroc) ▪ spéculation immobilière ( différenciation de l’espace, fraudes (marché //) ▪ construction au mépris des risques ( danger (éboulements, glissements de terrain…) ▪ urbanisme anarchique, habitat informel (bidonvilles ex favellas du Brésil, slums de Calcutta…) ( Saturation spatiale (jusque dans les cimetières en Egypte et Turquie) o proximité parfois importante entre résidences

http://www.rue89.com/2013/01/16/mariage-homo-huit-heures-de-debat-resumees-en-huit-arguments-238647 ARGUMENT N°3: l’intérêt d’un enfant c’est d’avoir un père et une mère Argument imparable à l'évidence. "L’UMP ne se placera jamais sur le terrain du droit à l’enfant, mais défend le droit de l’enfant", assure la droite pour qui la complémentarité homme/femme doit rester indissociable de la filiation. Problème: l'application de cet axiome reviendrait à bouleverser le droit à l'adoption tel qu'il

de la présence d’un océan ou d’un bassin dans lequel des sédiments se sont déposés au fond horizontalement. Carte géologique du Sud de Caen Gros grains Trace des ondulations des vagues Lorsqu’il y a des effondrements sous marins ou des glissements de terrain au fond du bassin, il y les grains des sédiments détritiques en suspension. Ces grains s’organisent donc sous la forme d’un granoclassement : les grains les plus gros tombent le plus vite au fond et les grains les plus fins se déposent plus

de choc s’appelle l’épicentre ou foyer. L’ampleur des séismes se mesure sur l’échelle de Richter qui indique la magnitude qui est graduée de 1 à 9 (l’énergie libérée par l’ébranlement). Les séismes entraînent des tsunamis, des glissements de terrain et une érosion accélérée des sols. Le volcanisme englobe différents types d’éruptions : la plus dangereuse est l’explosive car l’explosion s’accompagne de nuées ardentes (vapeur d’eau), des cendres, des bloques qui dévalent à 150 km/h la

disparition des deux tiers de la biodiversité mondiale. La déforestation est également source de fragmentation des habitats, ce qui est la première cause d’extinction des espèces. Le recul des forêts (surtout sur les pentes) favorise les glissements de terrains, des avalanches et coulées de boues. Le lessivage des sols consées par les pluies n’est plus freine par la végétation, la pluie emporte donc l’humus et met à nu la roche mère. Mise à part les conséquences écologiques sur la flore essentiellement