Guinée équatoriale

présente en Afrique car elle a soutenu durant la colonisation des mouvements de décolonisations. La présence commerciale de la Chine en Afrique est soutenu, 41% du commerce de la chine se fait avec l’Afrique. La chine : 2ème client du Gabon, de la Guinée Equatoriale, 2ème fournisseur du Bénin et 1er investisseur au Soudan. Le rôle du forum sur la coopération Sino-africaine, FOCSA (Organisation qui réuni la Chine et l’Afrique. La Chine s’intéresse particulièrement à l’Afrique Australe : * 2ème partenaire

  recrutement.bgfibankbenin@bgfi.com  BGFIBank Congo                                                                BGFIBank RDC recrutement.bgfibankcongo@bgfi.com                                 recrutement.bgfibankrdc@bgfi.com BGFIBank Guinée Equatoriale                                          BGFIBank Madagascar recrutement.bgfibankge@bgfi.com                              recrutement.bgfibankmadagascar@bgfi.com BGFIBank Cameroun                                                        

: La Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale : http://193.251.137.10, instituée par le traité du 16 mars 1994 et entré en vigueur en jun 1999, regroupe 6 pays de l'Afrique Centrale:Cameroun, Centrafrique, Congo , Gabon, Guinée Équatoriale, Tchad. La CEMAC remplace l'Union monétaire (BEAC) et de l'Union Douanière et Économique de l'Afrique Centrale (UDEAC) qui preéxistaient depuis 1964. La CEMAC a pour prinvipaux buts: 1) établissement d'une union de plus en plus étroite

novembre 1972, la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) est la banque centrale commune aux six Etats qui constituent la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) : le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad. Le 22 novembre 2012, la BEAC célébrera quarante années consacrées au bien-être des populations de la CEMAC. › Les six missions de la BEAC : La BEAC a pour mission de : Définir et conduire la politique monétaire de l’Union

|français et d'États qui n'étaient pas des colonies françaises comme| | |le Cameroun (d'abord allemand), la Guinée équatoriale et la | | |Guinée-Bissau (portugais) . Ces pays, après avoir obtenu leur | | |indépendance, ont décidé d’appartenir un ensemble monétaire

La zone franc a en revanche très largement résisté au début des années soixante  à l’indépendance des colonies d’Afrique au sud du Sahara seuls, et après divers atermoiements auxquels le président Nkrumah du Ghana ne fut pas étranger, la Guinée (avec Sékou Touré) et le Mali (avec Mobido Keita) décidèrent de créer leur propre monnaie[2] et renoncèrent ainsi à participer à l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA) qui réunit, à l’intérieur de la zone franc, les autres pays de l’ex-AOF et après

des États de l’Afrique Centrale (CEEAC), créée en octobre 1983 et son Secrétariat Général mis en place en janvier 1985, compte actuellement 10 États membres à savoir l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la RD Congo, Sao Tome & Principe et le Tchad. Elle a une superficie de 6 640 600 Km² pour une population estimée à 130 millions d’habitants. II.    Missions Les missions de la CEEAC sont définies au chapitre II article 4 du Traité qui stipule

préservant l'intégrité des produits contrôlés. INSPECTIONS PETROLIERES Inspections de pétrole brut Contrôles des chargements et déchargements des pétroles bruts dans les terminaux marins et terrestres : Cameroun, Nigeria, Angola, Gabon, Guinée Équatoriale, Côte d’Ivoire Contrôles des transferts de pétroles bruts entre navires Inspections de produits pétroliers Contrôles des chargements et des réceptions des caboteurs dans le dépôt central de Douala pour la consommation nationale

Le BIM d’aujourd’hui sera plus « informatif » qu’analytique. Il traitera de la réglementation mise en place en 2002 pour assainir le secteur de la Microfinance dans la zone de l'Union monétaire (BEAC) =Cameroun, Centrafrique, Congo , Gabon, Guinée Équatoriale, Tchad) et doter les pays d’Afrique Centrale d’un cadre réglementaire pour les Etablissement de Microfinance. On peut dire que cette réglementation est l’équivalent de la loi PARMEC pour l’Afrique de l’Ouest. Mais l’approche retenue par

Départements et Territoires français d’Outre-Mer, à Djibouti, Madagascar et l'Ile Maurice.  Par la suite, la présence commerciale de SNI s’est diversifiée à l’international, notamment en Afrique Centrale et de l’Ouest : Gabon, Congo, Cameroun, Guinée Equatoriale, Sénégal et plus récemment en Afrique du Nord : Maroc, Algérie et Tunisie et en Afrique de l’Est : Ethiopie, Ouganda et Tanzanie. L'entreprise est dotée de moyens pour satisfaire les clients : * 2 Responsables d’entrepôt * 4 manutentionnaires