Guy Gilbert

L'urinoir exposé dans le musée à perdu sa signification utilitaire. Toutefois dans cette situation on peut contester le terme d’œuvre d'art, car une œuvre d'art implique une démarche entièrement artistique. On parle alors plutôt d'objet d'art. D'après Gilbert Simondon la beauté des objets technique n'apparaît que dans une insertion, il faut que ces objets soient insérés dans le monde. Simondon donne plusieurs exemple sur l'insertion des objets techniques. « Le phare au bord du récif dominant la mer est

ne croit pas au ciel, c'est-à-dire à Dieu. Le réséda est au contraire la couleur blanche au parfum douceâtre et fade qui représente la royauté. Ce poème fut publié avec la dédicace suivante : « A Gabriel Péri et d'Estienne d'Orves comme à Guy Môquet et Gilbert Dru ». Quatre hommes. Deux communistes et deux catholiques. Tous des résistants, tous morts fusillés par les Allemands. Ce poème très célèbre est un appel au rassemblement pour la liberté, un hommage aux résistants emprisonnés et tombés pour

en 1943 en pleine occupation allemande, il le dédie donc à ces quatre résistants fusillé : Guy Môquet (fils d'un député communiste, fusillé comme otage en 1941, à l'âge de 17 ans), Gabriel Péri (homme politique et journaliste français, membre du Parti communiste, fusillé en 1941), Honoré d'Estienne d'Orves (officier de marine français, rallié au Général de Gaulle en 1940, fusillé en 1941) et Gilbert Dru (il organisa la Résistance dans les milieux de la Jeunesse Chrétienne, fusillé à Lyon en

couleur du socialisme qui est athée et le blanc est la couleur de la monarchie qui est catholique. Ce poème est dédié à 3 grands résistants de droite et de gauche, fusillés par les Allemands. Ces grands résistants sont : Gabriel Péri Guy Moquet et Gilbert Dru C'est donc en référence à des faits réels qu' Aragon écrit ce texte qui a été conçu sous forme de récit, en 3 étapes distincte. La première étape commence au premier vers et se termine au 26eme. Celui qui croyait au ciel Celui qui

2°)le poème classique choisi est « la rose et réséda » les strophes et le mètre sont classiques et rimes régulière  « La Rose et le Réséda » À Gabriel Péri et d’Estienne d’Orves comme à Guy Môquet et Gilbert Dru Celui qui croyait au ciel celui qui n’y croyait pas Tous deux adoraient la belle prisonnière des soldats Lequel montait à l’échelle et lequel guettait en bas Celui qui croyait au ciel celui qui n’y croyait pas Qu’importe comment

1944, Louis Aragon publie La Rose et le Réséda, poème en heptasyllabe, ne comportant ni strophes ni ponctuation, extrait de son recueil de poèmes La Diane Française ; Le poème est dédié à deux communistes (Gabriel Péri et Guy Môquet) et à deux catholiques (Estienne Orves, et Gilbert Dru ) qui ont été exécutes par les Nazis. A travers ces quatre personnages, dans ce poème, le poète Aragon évoque l'opposition de deux courants : l'un ecclésiastique ''qui croyait au ciel'', l'autre politique, les communistes

Résistance sous l’Occupation. « La Rose et le Réséda » : poème qui parait en mars 1943 et qui ensuite est ajouté au recueil La Diane Française. Lors de cette parution, Aragon y a ajouté la dédicace à quatre résistants : Guy Môquet, Gabriel Péri, Honoré d'Estienne d'Orves et Gilbert Dru, soit deux communistes et deux chrétiens. Poème de Louis Aragon, en hommage aux résistants Point méthode. • Commencez par lire avec attention le poème puis relevez les thèmes principaux ainsi que les figures de style

Péri : homme politique et journaliste français, membre du Parti communiste, fusillé en 1941. Honoré d'Estienne d'Orves : officier de marine français, rallié au Général de Gaulle en 1940, fusillé en 1941 . Guy Moquet, fils d'un député communiste, fusillé comme otage en 1941, à l'âge de 17 ans. Gilbert Dru : il organisa la Résistance dans les milieux de la Jeunesse Chrétienne, fusillé à Lyon en 1944, à l'âge de 24 ans C'est donc en référence à des faits réels qu'Aragon écrit ce texte, qui raconte avant

Péri : homme politique et journaliste français, membre du Parti communiste, fusillé en 1941 Honoré d'Estienne d'Orves : officier de marine français, rallié au Général de Gaulle en 1940, fusillé en 1941 Guy Moquet, fils d'un député communiste, fusillé comme otage en 1941, à l'âge de 17 ans Gilbert Dru : il organisa la Résistance dans les milieux de la Jeunesse Chrétienne, fusillé à Lyon en 1944, à l'âge de 24 ans C'est donc en référence à des faits réels qu'Aragon écrit ce texte, qui raconte avant

répétition du même son consonne). Exemple vers 24 : « au cœur du commun combat ». II) Un appel à l'union a) Des personnages qui sont des symboles Dans la dédicace, Aragon associe deux communistes (Gabriel Péri et Guy Moquet) et deux catholiques ( Étienne d'Orve et Gilbert Dru). L'on comprend que les deux héros du poème celui qui croyait au ciel (le croyant) et celui qui n'y croyait pas (l'athée) sont les symboles des résistants catholiques et communistes. La jeune femme prisonnière est l'allégorie