Hector Mallot

registre de la pièce est aussi didactique car elle est un plaidoyer pour la paix. Les personnages, réparti en deux catégories, pacifiste et bellicistes, débattent et délibèrent sur la guerre et son utilité. Dans le camp des pacifistes, il y a Andromaque, Hector et Hécube, dans le camp des bellicistes, il y a Démokos, Priam, Pâris, Busiris, le géomètre, les vieillards et Oyax. Entre les deux, il y a Ulysse, Cassandre et Hélène. 4/ Même si la pièce fait référence explicitement à la guerre de Troie, elle

DIALOGUE ENTRE DEUX FIGURES FAMILIERES : Andromaque et Cassandre. Le spectateur se demande si les deux personnages vont correspondent. Andromaque c’est l’amour conjugal et la fidélité : en d’autre termes une épouse et une mère. Au champ VI de L’ILLIADE, Hector fait ses adieux à Andromaque ainsi qu’à son plus jeune fils. Dès sa troisième réplique elle évoque le retour d’Hector. Et elle annonce aussi qu’elle va avoir un enfant. Et comme pour souligner son rôle, elle lance perfidement à Cassandre que le destin

célèbre sont les « horreurs » (V.1005) commissent envers le « peuple » (V998) Troyens. D'autre part, le sentiment maternel l'empêche d'abandonner Astyanax. A travers lui, cette veuve revoie l'image de son mari. A nouveau l'amour qu'elle éprouve envers Hector est mit en avant. Avant de s'affirmer en tant que mère, elle se montre comme veuve d'Hector. Si elle n'écoutait que son instant maternel elle ferait tout pour sauver son enfant, or elle cherche à tout prix à resté fidèle. C'est ce qui la confronte

modernes. En effet , nous disposons d'un extrait de sa pièce de theâtre La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935) où il dénonce la guerre et sa fatalité par le biais d'un discours énoncé par Hector survivant de la guerre, aux morts. Ainsi , nous analyserons dans un premier temps L'oraison funebre que fait part Hector auw morts et puis dans un second temps nous verrons par quels moyens l'auteur dénonce la guerre dans cet extrait . Des le debut de sa tirade , nous voyons qu'Hector s'adresse aux

"bouche" d'Andromaque révèle que l'esprit d'Hector, l'esprit de Troie est toujours vivace et donc potentiellement dangereux. Mais ce que redoute le plus Pyrrhus, c'est la rivalité du mort : Vainement à son fils j'assurais mon secours : "C'est Hector, disait-elle en l'embrassant toujours ; Voilà ses yeux, sa bouche, et déjà son audace ; C'est lui-même, c'est toi, cher époux, que j'embrasse." Astyanax est l'image d'Hector, son héritier. En nommant son fils du nom de son époux mort, Andromaque

fils d'Achille et roi d'Epire. L'idée directrice de cette oeuvre c'est Une chaîne amoureuse à sens unique, Oreste aime Hermione, qui elle, aime Pyrrhus, qui lui aime Andromaque et qui pour finir, aime son fils Astyanax et le souvenir de son mari Hector, décédé. Dans les vers 330 à 372 nous analyserons dans un premier temps le contexte de l'amour et de la haine, puis nous verrons la fidélité malgré les

sont de plus sûrs garants de la vue perçante de nos maris que l’autre cible, que le cœur de l’ennemi emprisonné dans sa cuirasse. Chaque fois que j’ai vu tuer un cerf ou un aigle, je l’ai remercié. Je savais qu’il mourait pour Hector. Pourquoi voulez-vous que je doive Hector à la mort d’autres hommes ? Priam – Je ne veux pas, ma petite chérie. Mais savez-vous pourquoi vous êtes là, toutes si belles et si vaillantes ? C’est parce que vos maris et vos pères et vos aïeux furent des guerriers. S’ils

cherchent des moyens de l’éviter. Parmi eux, Hector, frère de Pâris et héritier du trône de Troie, réussit en premier lieu à persuader ses concitoyens de « fermer les portes de la guerre » ; en référence au temple de Janus à Rome, il existe dans la pièce de Giraudoux un temple dont on ouvre les portes en temps de guerre. Lorsque les émissaires grecs arrivent, tout semble pouvoir mener à la paix ; mais le capitaine de la flotte grecque, Oiax, gifle Hector. Fidèle à son désir de paix, le prince troyen

évoque les souvenirs des horreurs faite par Achille à son mari mort au combat. La vision de la ville en feu s’impose dan sa mémoire et elle est hantée par les images. En premier lieu elle évoque le carnage des Grecs sur son mari : « Dois-je oublier Hector […] de nos murailles ? ». De plus, Racine utilise le thème de la souffrance tout au long de son texte : « ravissent, colère, frapper mon âme… », ainsi que le champ lexical de la terreur « funérailles, frères morts, ensanglantant ». Dans l’acte III

combattre les cités alliés à Troie. La dixième année, il va se retiré du combat et va s’opposer à Agamemnon quand celui-ci lui reprend sa captive Briséis. Patrocle, son cousin, décide de se battre à sa place et se fait tué pas Hector. Fou de rage, Achille se venge et tue Hector dans un combat singulier. Il accroche sa dépouille et le traine derrière son char. Il accepte néanmoins de le rendre à Priam pour que Troie puisse lui rendre hommages lors de ses funérailles. Il va même lui accorder 11 jours