Honneur

dilemme qui le déchire : son père qui fut déshonoré par le compte le somme de le venger. Or, le compte est le père de Chimène, que Rodrigue aime passionément. Dans cet acte, le héros est déchiré : s’il sauve son honneur, il perd sa maîtresse ; s’il cherche à sauver l’amour, il perd son honneur. C’est le « conflit cornélien » où le héros se voit partagé entre le devoir et l’amour. Il doit choisir entre deux situations impossibles et quoi qu’il fasse, il se voit perdre quelque chose d’essentiel. C’est

cornéliens dans l’œuvre Pour l’infante Bien avant que l'histoire ne débute, l'Infante a déjà été confrontée à un dilemme (citation 1). Elle a dû choisir entre son rang et l'amour. Si elle s'était évertuée à aimer Rodrigue, elle aurait perdu son honneur et renié son sang. Ainsi elle a choisi de se sacrifier et de taire son amour en présentant Rodrigue à Chimène et en travaillant à construire leur amour. Les évènements du récit vont faire renaître son dilemme, bien qu'elle ne changera pas de décision

que quelqu'un vous demande de faire que vous le vouliez ou non. Dieu veut donc que nous apprenions à respecter l'autorité. Quand vous allez chez un juge et vous dites " Votre honneur ", vous ne faites pas à un jugement de valeur au sujet du caractère de cet homme -- il pourrait être un pauvre crétin. Vous dites "Votre honneur "; vous montrez du respect pour le statut et Dieu dit qu'Il a placé les parents dans une position d'autorité sur vous dans votre jeune âge. Nous devons ainsi respecter cette

coupable. Cette injustice était la raison pour laquelle ils étaient si maltraites. L’histoire de ces meurtres s’étaient vite propagées entre le peuple et racontaient à ce jour même. Maxime, âgé de 17 ans avait pris une décision importante, rendre honneur au titre de sa famille. Il ne pouvait plus soumettre aux insultes dites en direction de sa famille et aux punitions qu’ils subissaient. Sa mère lui avait souvent parlé de ses ancêtres, mais a été surpris que nul de ces ancêtres avaient fait un effort

définitivement. Et ici, cette gloire perdu, DD le doit au comte. « Faut-il de votre éclat voir triompher le Compte » Après son affront avec le comte il se sent sans honneur « mon honneur » v 246 ; « Sans honneur » V 250 il a perdu sa dignité. DD veut se venger et récupéré son honneur, sa dignité à travers son fils. « Mon honneur est le sien » Au vers 248 il y a pour la 1 er fois le mot vengeance « Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? » Dans les vers 253 à 258, (lire)

comportementales et organisationnelles au fil de la lecture. 12 5) Propositions 5.1) Synthèse Au final ce sont trois idéaux types (à la manière de Weber), trois manières de vivre en société que définit l’auteur : France Etats-Unis Pays bas Logique Honneur Contrat Consensus Valeurs Fierté, sens de son rang, Bonne foi Honnêteté Sources historiques Gouvernement monarchique, société d’ordres Création par les pères fondateurs commerçants et protestants d’une communauté d’égaux Création du pays

23 A N A LY S E D E L ’ Œ U V R E ACTE I SCÈNE 6 sauvons » (v. 339), « Courons » (v. 346) –, tantôt sous une forme directe – « N’écoutons plus » (v. 337), « Ne soyons plus » (v. 348). • Dans l’avant-dernière strophe, le terme « honneur » apparaît deux fois (v. 334, 339). Cette répétition signale qu’entre les deux devoirs de l’honneur et de la passion, c’est le devoir de l’honneur qui l’emporte. « tue », « peine ». Les mots « mortelle », « abattue », « tue » font directement référence

avoir honte de son passé. Elle se sent trahie. Plus tard il est félicité pour son travail, il ne brule pas les étapes. Il veut récupérer Clotilde, leur gloire à tous c’est DUROY ! C’est le passage précédent le Duel. Un de ces premiers coups dur (honneur et vie en jeu) Dans le roman il n’est pas blessé contrairement au film. Manière romanesque de Clotilde, musique tragique qui met en valeur l’amour de Marelle et Duroy. On dirait qu’elle lui dit adieu, George est blessé, elle accoure... Il veut partir

nettoyer les toilettes hommes et femmes. Amélie ne comprenait pas ce qu'elle avait fait de plus mal. Mais elle avait encore une fois acceptée cette torture incompréhensible. Cette torture dura jusqu'à l'achèvement de son contrat. Pour préserver son honneur, elle avait tout subit. Elle esseya en vain de comprendre ses employés, mais personne ne lui a fait intégrer dans ce cercle. A la fin, elle dit quelques mots d'adieux à ses supérieurs avant de partir, mais on rigolait encore une fois d'elle en se

je ne le suis plus, et ne veux nulle place en des coeurs corrompus. Philinte. Je suis donc bien coupable, Alceste, à votre compte ? Alceste. Allez, vous devriez mourir de pure honte ; une telle action ne sauroit s' excuser, et tout homme d' honneur s' en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, et témoigner pour lui les dernières tendresses ; de protestations, d' offres et de serments, vous chargez la fureur de vos embrassements ; et quand je vous demande après quel