Horace

Les femmes de la fatalité : Horace retrouve la tradition antique de la tragédie. En effet dès le début un oracle fixe le destin de Camille. « Albe et Rome demain prendront une autre face, Tes vœux sont exaucés, elles auront la paix, Et tu seras unie avec ton Curiace, Sans qu’aucun mauvais sort t’en sépare jamais » Camille pense qu’il s’agit de l’annonce de son bonheur mais il est mêlé à des paroles horribles (on les connait prémonitoires). Camille se demande ou est la vérité. L’oracle

toile 330x425 cm Louvre Il représente un épisode de l'histoire légendaire de la Rome Antique, où les frères Horaces défendent en combats singuliers la jeune république face au Curiaces champions de la ville d'Albe. Liés par mariage à leurs sœurs respectives, le sacrifice des Horaces et des Curiaces exalte les vertus patriotiques. Le seul survivant du combat fut l'aîné des Horaces, qui à son retour fut maudit par sa sœur Camilla pour la mort de son amant. Si le combat apparaît bien dans plusieurs

Les Lois de la Composition Le Serment des Horaces de Jacques-Louis David est une oeuvre imposante illustrant de manière allégorique un épisode de l’histoire de Rome : les frères Horaces jurent devant leur père de mourir pour défendre la cité face aux Curiaces, leurs frères rivaux. La scène conjugue tous les éléments du drame antique : l’honneur guerrier porté au paroxysme, pour le premier groupe de personnages à gauche ; l’exaltation du sacrifice total pour le personnage central, et enfin l’accablement

Né d’une commande de Louis XVI qui souhaitait une œuvre noble et morale, le Serment des Horaces de Jacques Louis David (huile sur toile, 330 × 425 cm, musée du Louvre, Paris) évoque un épisode de l’Histoire de Rome de Tite-Live, le combat des trois Horaces, tenants de Rome, contre les trois Curiaces, tenants d’Albe, pour mettre fin à la guerre qui oppose les deux cités. Inspiré de la tragédie de Corneille, le moment représenté est celui où les frères prêtent serment devant leur père de vaincre ou

ANALYSE D’UNE ŒUVRE « Le serment des Horaces » Jacques Louis David 1785 Jacques Louis David, peintre français né le 30 Août 1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles, était considéré comme le chef de file de l’école du Néoclassique, dont il incarne le style pictural. Cette œuvre que nous allons étudier, « Le serment des Horaces », l’à rendu célèbre, mais n’est pas pour autant sa plus grande composition. Ce titre revient à une composition peinte pour Napoléon, « Le sacre de Napoléon »

L’œuvre à analyser est une huile sur toile, achevée en 1784 par l’artiste français Jacques Louis David, intitulée « Le serment des Horaces ». Il s’agit d’un tableau de grand format (330x425cm) qui est conservé au musée du Louvre, à Paris. Louis David étant considéré comme le chef de file de l’Ecole néoclassique, dont il incarne le style pictural, ainsi que l’option intellectuelle, on comprend que cette œuvre se rattache au Néoclassicisme. Le tableau auquel on le rapproche le plus souvent est «

Horace est une pièce de théâtre de Pierre Corneille inspirée du combat entre les Horaces et les Curiaces.(Les 3 Horaces et les 3 Curiaces étaient les champions mythologiques qui, d'après la légende rapportée par Tite-Live, se seraient battus en duel pendant la guerre entre Rome et Albe-la-Longue, durant le règne de Tullus Hostilius (troisième roi de Rome entre 673 et 641 av. J.-C.). Elle fut jouée pour la première fois en mars 1640. La pièce, dédiée au cardinal de Richelieu, fut le second grand

Le Serment des Horaces, J-L DAVID Grande composition: 3 mètres 30 de haut sur 4 mètres 25 de large. Huile sur toile. Genre: peinture d'histoire, La scène se passe dans la cour intérieure d'une maison de patriciens romains. Le fond obscur concentre toute l'attention sur le premier plan. De même que chez Greuze l'espace représenté est fermé parallèle au plan du tableau. Trois groupes de personnages: de gauche à droite : les trois frères, puis le père, enfin les trois sœurs. Pour les hommes

Horace, Pierre Corneille. Lucas Delcambre Horace est une tragédie en cinq actes, écrite par Corneille en 1640 au XVIIème Siècle, il s’inspire d’une légende rapporté par un auteur Latin, Tite-live. La pièce raconte l’histoire de deux familles, la famille Horace et la famille Curiace, et plus particulièrement un conflit entre les 3 frères romains Horaces et Les 3 frères Albains Curiaces. Ils se seraient battus dans un combat singulier pour sceller la fin de la guerre entre Rome et Albe, qui commençait

 Horace, symbole du devoir de l’Etat - Accusation d’Horace (vers 2/3) montre un sentiment d’indignation et de trahison - Raisonnement (vers 4 à 6)  verbe à l’impératif - Répétition du verbe « aime » - Sens du devoir et de fidélité envers Rome (vers 6) - Antithèse (vers 4) se réjouir de la victoire Curiace C’est un gentilhomme d’Albe fiancée à la romaine Camille. Il est choisi avec ses deux frères pour affronter les Horaces. Tout comme son adversaire, il ne souhaite