Imaginer Un Monde Idéal

sépare jamais les couples 2- On alterne homme-femme 3- On organise une table uniquement pour les enfants 4- On choisit, sans le lui dire, un meneur pour chaque table. Il s’agit d’une personne qui sait faire la conversation et qui mettra tout le monde à l’aise. 5- On ne dévoile à personne son plan de table avant le jour J, au risque de devoir tout bousculer à la dernière minute. 6- On évite de vouloir rabibocher deux sœurs qui ne s’entendent plus en les installant à la même table. 7- On évite

problématique de ce roman pourrait concerner l’explication des mœurs de la catégorie ouvrière. Dans ce roman, la théorie de Zola à propos du déterminisme est omniprésente. 2) Le « monde » du roman La fiction se déroule au XIXe siècle, l’époque de vie de l’auteur. Zola raconte donc une histoire de son temps. On peut imaginer que dans ces conditions, le souci du détail et de la reproduction du réel imposé par le réalisme est plus facile à mettre en œuvre. Les personnages : Gervaise Macquart : née

univers utopiques et contre-utopiques ont en commun de ne pas être simplement des mondes imaginaires. Ils sont le résultat d'un projet politique. Ce projet vise à rendre possible un idéal : idéal d'égalité dans l'utopie collectiviste de Thomas More ou dans celle de Campanella, idéal de pouvoir absolu dans 1984, idéal d'ordre et de rationalité dans Nous Autres. L'idéal de bonheur est peut-être un peu plus ambigu. Il est défini comme la suppression de toute souffrance dans Le Meilleur des Mondes, et

parisiens » que l’univers urbain et moderne permet de faire des rencontres qui sont le reflet d’un monde complexe. Brève rencontre d’une femme à qui il dédie ce poème, découverte de l’Idéal et regret de ne pas l’avoir abordée. Il s’agit d’un sonnet en alexandrin avec des rimes embrassées dans les quatrains. Les quatrains évoquent le récit d’un coup de foudre, le poète se trouve face à une femme idéale qui l’éblouie. Les tercets sont une méditation du poète après le passage de la femme, il dialogue

Etre raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ? Le désir, mouvement qui porte vers un objet qu’on imagine source de satisfaction, est souvent opposé à la raison. Celle-ci dans le sens d’être raisonnable, c’est-à-dire être responsable de ses actes en faisant usage de la raison éthique, qui dicte nos conduites sociales. Or le désir et la raison tout en faisant parti de l’essence de l’homme sont très différents. En effet la raison est une faculté universelle quand le désir est particulier

de Némée, l'hydre de lerne) (antiquité) ; Légende arthurienne (Roi Arthur a chargé de mener la quête du Graal et d'assurer la paix du royaume) (moyen-âge). Univers différents du nôtre [Exemples] Verne : Voyage au centre de la terre (découverte d’un monde inconnu) ; épopée d'Homère : L'Iliade et l'Odyssée (descente aux enfers pour capturer Cerbère) Péripéties extraordinaires [Exemples] Verne : Michel Strogoff (courrier du tsar de Russie, il doit aller de Moscou à Irkoutsk, route pleine d'obstacles)

Avoir un idéal est indispensable pour les uns, car rien ne définit plus l’être humain que de donner un sens à sa vie. C’est une attitude à proscrire pour les autres, tant l’excès, la désillusion et la dépendance que cela induit peuvent être destructeurs. Et il est vrai que si la mise en œuvre d’idéaux sociaux et politiques a permis de transformer le monde, elle a aussi constitué le plus court chemin vers l’enfer. Peut-on éviter le pire et préserver le meilleur ? Son premier souci est de définir

s’adonner à la rêverie n’était pas cautionné. A partir du XIXe siècle, le droit d’imaginer était réhabilité : l’imagination n’était plus considérée comme une divagation ni comme un refuge pour se détacher du monde et fuir les problèmes. Rêver s’imposa comme un moyen d’appréhender le monde avec plus de sensibilité notamment grâce au récit concernant l’origine de la théorie gravitationnelle de Newton. Le corpus proposé met en évidence la problématique suivante : quels sont les effets de la rêverie 

Baudelaire nous raconte une scène de vie en mer. Il exprime l’idée du voyage grâce à son champ lexical de celui-ci : « Les hommes d’équipages »,  « compagnons de voyage » et « le navire ». Le poète cherche à donner au lecteur l’impression de découvrir un monde auquel il n’a pas accès, il découvre autre chose. 2) Le récit d’une capture - La structure choisie est une chronologique. Les trois premières strophes nous permettent de reconstituer l’action. La déictique « à peine » en début de vers et de strophe

c’est bien que celui qui rêve espère et que celui qui espère vit. Il imagine son futur, construit sa propre histoire. Me contredirez-vous si j’affirme que peu de gens aiment lire des romans empreints de longues descriptions? Sans action ni dénouement, toute histoire peut facilement perdre son intérêt et sa valeur. Mais la réciproque est-elle vraie? Peux-ton dire que l’espoir fait vivre? Vivre dans un monde de fiction, idéal mais inaccessible? Dans un futur proche qui chaque jour se fait plus