Impact Des Firmes Multinationales Dans La

durable, même au sein des pays développés. Dans les pays moyennement avancés (PMA), la croissance ne profite pas non plus à l’ensemble de la population. La plupart des entreprises permettant le développement économique de ces pays sont des firmes multinationales dont les dirigeants sont issus des pays développés. En effet, ces derniers délocalisent leurs entreprises dans des PMA pour diverses raisons et notamment parce qu’ils sont confrontés à une réglementation beaucoup moins contraignante surtout

d’exercice des activités et des métiers de contenu en leur sein jusqu’à peser sur les « cultures de filière ». Il conviendra d’y convoquer à la fois les spécialistes de l’économie industrielle et ceux de l’organisation et du management des firmes, en particulier multinationales. La conjugaison de leurs apports ne sera pas de trop pour mieux apprécier la réalité de ces « synergies » si souvent invoquées pour justifier fusions et alliances mais parfois si décevantes, saisir les articulations entre logiques globales

un article publié dans la célèbre revue Harvard Business Review, l’économiste Théodore LEVITT utilise explicitement le thème « globalization » pour faire référence à l’existence de nouveaux marchés favorables à l’écoulement des produits des firmes multinationales. Pourtant, il faudra attendre 1990 pour que le terme devienne générique grâce à l’ouvrage The Bordless World: Power and Strategy in the Interlinked Economy du stratège Japonais Kenichi OHMAE. 2) …A la mondialisation actuelle De nos jours

potentiels ; 3. le pouvoir de négociation des fournisseurs ; 4. la menace des produits de substitution ; 5. l'intensité de la concurrence intra sectorielle. Le poids de ces cinq forces permet de déterminer la capacité des firmes en présence à dégager un profit. Si toutes les forces sont élevées, le profit possible sera limité. À l'inverse, si les forces sont faibles, il est théoriquement possible de dégager un profit important. Le point essentiel consiste donc à hiérarchiser

mouvement que l’on appelle… la mondialisation de l’économie. »27 Multinationales et actionnaires Ces firmes qui se sont déployées dans le monde entier s’appellent des multinationales. Ce sont des entreprises qui possèdent des filiales, dont elles ont le contrôle total ou partiel (s’il y a plusieurs groupes au sein d’une même enseigne), dans différents pays, où même avoir une étendue mondiale, comme Coc Cola. Une multinational est donc une entreprise dont les activités dépassent les frontières

étatique et peuvent aller jusqu’à menacer la puissance des Etats firmes transnationales / multinationales. Le firmes transnationales naissent essentiellement d’une problématique d’un Etat trop petit Philips (fin du XIXème siècle), première firme transnationale, aux Pays-Bas, restait sur un marché trop petit pour lui permettre de se développer normalement sortie des frontières multiplication du commerce international. Ces firmes portent un nom la plupart du temps erroné. Elles ont des bureaux

d’affaires et accords multiples liés aux développement international (négociations et management avec les fournisseurs, distributeurs etc.) * La diversité culturelle interne à l’organisation : S’observe dans les services mkg des groupes multinationaux, ou plusieurs équipes sont en relations et établies dans leur pays respectif. La dimension culturelle est donc une variable clé indispensable à la compréhension des autres macroenvironnements. 1.2. Distinguer les niveaux de « contenu

international : état : politique étrangère, coopération ou guerre, processus intégrationniste Séance 5 : les organisations internationales gouvernementales : Nations Unies, l’OTAN, l’OMC, FMI Séance 6 : l’UE Séance 7 : Les ONG Séance 8 : Les firmes multinationales Séance 9 : acteurs illicites transnationaux Séance 10 : point d’actualité immédiate 15/01/15 Introduction : I. La discipline des Relations internationales Sous discipline de la science politique, qui va prendre au cours du 20ème siècle

2010 Introduction La responsabilité sociale des entreprises (RSE) est la résultante d’une pression de la part des sociétés civiles telles que des associations écologiques ou humanitaires souhaitant que ces entreprises prennent en compte les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités et de leurs pratiques. Les entreprises ont donc été amenées à mettre en place des chartes et des labels afin de prouver leur implication dans une démarche responsable au niveau économique, social et environnemental

toute une intelligentsia très fortunée, a son statut à défendre et une armada d’avocats et de scientifiques est à leur solde. En face il n’y a que le pouvoir du bon sens et la possibilité d’émouvoir l’opinion publique malgré la main mise par les multinationales sur les médias. C’est pour cela qu’il faut avoir conscience que le combat est quasiment perdu d’avance. Mais pendant la deuxième guerre mondiale, les résistants se battaient contre l’injustice, sans imaginer la victoire finale.     Chacun peut