Incipit Benjamin Constant

caractéristique de la narration chez Modiano, faite d’une série d’aller et retour entre présent et passé, entre des époques souvent floues, chronologie bouleversée. 3. Une écriture qui entretient le mystère (question 3) On retrouve ici l’une des constantes du style de Modiano : brièveté de la phrase, des répliques échangées notamment, absence de développement, une syntaxe volontairement dépouillée. Le caractère évasif des répliques est souligné par les nombreux points de suspension qui laissent place

fiction, qu’il remet en cause. « Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? » (Incipit de Jacques le Fataliste) 4. Le personnage sensible du courant pré-romantique Une nouvelle sensibilité apparaît dans la seconde moitié du siècle avec l’influence des romans réalistes anglais et La Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau (1761)

notions narratologiques (incipit, dialogues rapportés, personnages) ; éléments d’histoire littéraire et culturelle : le courant réaliste Objectifs secondaires : visée argumentative de l’auteur (dénonciation du racisme) ; le registre pathétique Support : Boitelle de Maupassant Lien avec le texte précédent (« Le Reflet ») : le thème du racisme ; la visée argumentative de l’auteur. Objectif de la séance : dégager les mouvements du texte ; comprendre le fonctionnement d’un incipit. Activités : - dégager

sentiment de déréalisation. Journal d'Amiel publié en 1883 puis en 1923 (à titre posthume) : vision angoissante d’une décomposition de l’être parlant, de défragmentation (Protée change de représentation sans arrêt, un caméléon, « une métamorphose constante »). -> p.108 de Mrs Dalloway quand elle se regarde dans le miroir et qu’elle « rassemble des particules » pour se voir vraiment + la métaphore du diamant comme une absence à soi-même. Ainsi ausculté, l’intime n’est plus le lieu d’une certitude et

élégies adressées à des amis, tout comme Chénier. Enfin, le quatrième grand élégiaque romain, c’est Ovide (Publius Ovidius Naso). C’est un poète très important, une des figures majeures de la lyrique occidentale qui a eu une influence majeure et constante, y compris au Moyen-Âge. A partir du XII° siècle, il est très connu dans l’occident médiéval, surtout pour les Métamorphoses (dont le thème est les métamorphoses mythologiques). Ovide est un des écrivains antiques les plus connus au Moyen-Âge et

support par lequel celui-ci s’exprime. » Walter BENJAMIN (1892-1940) 669 © Groupe Eyrolles La philosophie de l’histoire de Walter Benjamin s’articule sur sa pensée sur l’image, sur la représentation. La mémoire est alors le support qui conserve les images qui surgissent et qui, sans elle, s’évanouiraient avec chaque présent. Le passé s’exprime, au sens littéral du terme (« poussé au dehors »), à travers le prisme de la mémoire. Benjamin appartient à cette génération de philosophes qui

beaucoup de sens au fur et à mesure que la pièce progresse. Dans le christianisme, nous attendons Jésus, « la seconde venue du Christ », qu'un public chrétien voie Godot. Les Juifs, en revanche, attendent toujours la venue du Messie. Benjamin Noé, « Les lecteurs demandent : qu'a dit Beckett au sujet de l'attente de Godot ? » sur https://vintage-kitchen.com/fr/faq/readers-ask-what-did-beckett-say-about-waiting-for-godot/#Who_is_Godot_according_to_Beckett consulté le

agressifs (09’10’’) ; Paris semble littéralement envahi par des flots de voiture déferlant sans cesse ; la course de Marceline/Albertine en vélo, ajoutée par le scénario, se fait dans un véritable dédale chaotique de voitures… : le monde urbain semble en constant mouvement, ce qui est une caractéristique de la ville moderne. La grande Histoire est par ailleurs plus présente que dans le roman : ainsi, Aroun Arachide et ses « troupes » portent les mêmes uniformes que les Chemises Noires de Mussolini, et

le premier incipit. Avec ce genre d'autobiographie, c'est l'identité de l'auteur réel qui disparaît au profit de l'identité du narrateur. De plus, le narrateur cite les différentes étapes sur lesquelles il va s'arrêter ce qui offre, dès le début, une lecture sommaire du cheminement de son récit. La présence d'un incipit au début de chaque livre, va d'une part, maintenir le contact avec le narrataire, et par conséquent assurer la réception du récit et d'autre part, c'est un incipit révélateur

photographie dans Nadja est-elle ainsi un procédé maïeutique ou démagogique ? La photographie revendiquée comme un biais contre la sacralisation littéraire n’est-elle pas un recours fétichiste ? L’image photographique, reproductible à l’infini selon Walter benjamin, tue toute notion d’unicité, banalise, prostitue. Breton prétend que l’utilisation de la photographie dans Nadja est d’ordre révolutionnaire. La photographie, ici, un outil révolutionnaire ? Vraiment ? Breton dans son rapport fétichiste à l’iconographie