Inflation Choc Petrolier

Les années 1970 : Les chocs Pétroliers et l’entrée en crise (Le cas Français) * Le choc pétrolier de 1973 marque une rupture dans l’histoire économique. La croissance au cours des 30 Glorieuses s’est grandement appuyée sur un prix bas de l’énergie. La dépense énergétique liée à la croissance forte provoquait une consommation incontrôlée, proche du gaspillage, dont les effets sur l’environnement commençaient à être condamnés. * Le déclanchement de la crise va venir de la guerre de Kippour

n'augmentent plus. On ne consomment plus. Le développement d'une inflation. Le coût de production va augmenter, la production de richesse stagne alors que le prix augmente. II) après 1973, une économie déprimée et une croissance ralentie  2,5% de moyenne de croissance jusqu'en 1990 À) des causes multiples  Les marxistes pensent que le choc pétroliers est un phénomène qui s'additionne. Les libéraux pensent que le choc petrolier est pour une bonne part dans la crise. L'ébranlement monétaire

DE 1973 A NOS JOURS 1970 : Stabilité politique et dynamisme économique. Mais J. Chaban-Delmas parle de « morosité » (conséquence de Mai 68). Suite au Gaullisme, Pompidou se fait élire sur le programme du « changement dans la continuité ». 1973 : Choc énergétique (surprise en France). Mais la France conserve son rang de grande puissance mondiale. Abréviations : Fr/fr = France/français(e)PM = Premier MinistreK = milliers FF = Franc FrançaisPdt = PrésidentM = millions => = ConséquenceDM

démissionne de son poste. Le président Valery Giscard d’Estaing nomme Raymond Barre pour lui succéder à la tête du gouvernement dans un contexte de crise économique. En effet, l’économie française connaît une série de déboires depuis le premier choc pétrolier de 1973. La nomination de Raymond Barre au poste de premier ministre marque un tournant dans la gestion de la crise économique. VGE justifie son choix en présentant R.Barre comme le meilleur économiste de France. C’est en effet un universitaire

développement de l’économie d’endettement au cours des Trente Glorieuses Les Trente Glorieuses sont marquées par le plein-emploi et une forte croissance économique des pays développés entre 1945 (fin de la Seconde Guerre mondiale) et 1973 (premier choc pétrolier). Sur cette période, le taux de croissance annuel moyen de la France est supérieur à 5 %. L’économie est en phase de reconstruction et les investissements { réaliser sont considérables. L’épargne disponible est insuffisante pour faire face à tous

1979 où le monde a connu un choc pétrolier, qui prouvent une nouvelle fois l’importance de la puissance des Etats Unis. Le commerce des Etats Unis est quant à lui très dynamique grâce à la diversité de leur économie, copié en partie de celle de l’Europe de l’Ouest, ce qui leur a permis de développer leur richesse déjà éléphantesque. Mais depuis les chocs pétroliers, les pays qui ont subit la crise connaissent un marasme économique qui vient de la hausse des prix (inflation) mais aussi du chômage, contrairement

l’évolution du PIB en France (par rapport à l’année précédente en %) entre 1950 et 2010. Il provient de tableaux de l’économie française, selon l’INSEE. La première courbe présente l’évolution du PIB en valeur càd prenant en compte l’effet des prix (inflation) et la seconde l’évolution en volume, c’est à dire la croissance sans l’effet des prix en ne prenant en compte que l’effet quantité. Le PIB mesure l’ensemble des richesses produits, il correspond à la somme des valeurs ajoutés des entreprises et

CALIANDRO LORENZO CROISSANCE ET INFLATION Tout d’abord rappelons la définition de ces deux agrégats économique : L’inflation s’applique lorsqu’il y a une baisse du pouvoir d’achat de la monnaie. Cette baisse du pouvoir d’achat va alors provoquer une augmentation des prix s’inscrivant dans la durée. C’est ce qu’on appelle l’inflation. La croissance, ou croissance économique, est calculé grâce au PIB. (Produit intérieur brut). Le PIB de l’année précédente est soustrait au PIB de l’année

1920 pour établir ses cycles de 50-60 ans. Inflation et faible taux d’intérêt en phase A et déflation et fort taux d’intérêt en phase B. 1790-1814 (A) 1814-1849 (B) 1849-1873 (A) 1873-1896 (B) 1896-1920 (A). On peut difficilement prolonger l’analyse à cause de la stagflation mais les taux d’intérêt restent révélateurs et il n’y a pas de vraie phase B (diminution de la production en volume). * JUGLAR : cycle d’affaires de 10 ans phase d’expansion (inflation et développement du crédit) puis crise

l'économie-monde naît de la spéculation boursière et a des répercussions sur l'ensemble de la planète en ralentissant le commerce international dans la durée. Certaines personnes perdent tout ce qu’elles possèdent. La crise de 1929 provoque une forte inflation et une hausse spectaculaire du chômage. Les Etats occidentaux revoient leur politique économique libérale et interviennent pour relancer la productivité en un abord keynésien. La seconde grande phase de la croissance économique commence en 1945