Inflation Chômage

entre les idées de Keynes et de Friedman se centre autour des préoccupations suivantes : Quel doit-être le rôle de l’Etat en matière de politique économique ? - Doit-il, ainsi que le préconise Keynes, intervenir pour éviter la dépression et le chômage ou, au contraire, comme l’affirme Friedman, s’abstenir et laisser jouer le marché ? è Les auteurs : John Maynard Keynes et Milton Friedman A) J. M. KEYNES – 1883-1946 (voir sa biographie dans un précédent dossier). B) MILTON FRIEDMAN (né en

indicateur. 5 2) Solde de la balance commerciale. 6 A) Définition et formules. 6 B) Pertinence. 6 C)Tableaux d'indicateurs de la Hongrie. 7 D) Causes/explications des variations. 7 E) Situation actuelle du pays pour cet indicateur. 7 3) Taux de chômage. 8 A) Définition et formules. 8 B) Pertinence. 8 C) Tableaux d'indicateurs de la Hongrie. 9 D) Causes/explications des variations. 9 E) Situation actuelle du pays pour cet indicateur. 9 4) Taux d'inflation. 11 A) Définition et formules 11

favorable à la croissance ? Ne risque-telle pas de provoquer une hausse excessive des prix et des bulles financières et immobilières ? A contrario, un rationnement du crédit ne conduit-il pas à une baisse excessive de la production qui engendre chômage, baisse des salaires réels et déflation ? 5. Après avoir mis en évidence les fluctuations et les crises, nous essaierons de les expliquer puis nous nous interrogerons sur les politiques économiques de lutte contre l’instabilité et sur leur efficacité

il y a inflation. Cette inflation provoque donc une hausse des prix qui se traduit par une perte de pouvoir d’achat et donc une diminution de la consommation. De plus, celle-ci sera accentuée par une perte de confiance du vendeur comme du consommateur en la monnaie, ce qui fera préférer aux vendeurs de garder leurs biens (comme nous pouvons le remarquer dans le document 2) et donc entrainera une diminution de vente et d’achat. Ainsi, la production diminuera et aura pour conséquence le chômage et le

et enfin le chômage s’accroît en même temps que la déflation accélérée d’ailleurs par certaines politiques économiques (notamment en France avec la déflation Laval). La crise de 1929 est survenue en fait après de sérieux désordres dans les années 20 : mouvements de capitaux internationaux instables, création monétaire et inflation. Plus près de nous, la crise de 1974 se caractérise par des déséquilibres économiques persistants. Les années 70 ont été marquées par la stagflation (inflation et stagnation

des biens et services, un déséquilibre entre l'offre la demande entraîne des variations de prix. L'augmentation durable des prix est qualifiée d'inflation.  Sur le marché du travail est un écart entre l'offre et la demande de travail conduit au chômage, lui-même source d'inégalités sociales.  Sur les marchés internationaux, un écart important et prolongé entre les flux entrants et sortants entraîne, pour un pays, un déséquilibre extérieur. Ces déséquilibres économiques et sociaux se produisent

sur les documents ci-dessous. 1) Expliquez les relations entre monnaie et inflation. 2) En quoi la quantité et la qualité de monnaie conditionnent-elles les comportements des agents économiques ? 3) Quelles sont les conséquences de l’inflation sur les comportements des agents économiques (ménages et entreprises) et sur le fonctionnement de l’ensemble de l’économie ? 1. Expliquez les relations entre monnaie et inflation. Il y a un lien direct entre la monnaie et l’inflation, car plus la masse monétaire

langage courant, on assimile l’inflation à une hausse des prix. Dans l’opinion commune, l’inflation à plutôt mauvaise presse, elle est généralement considérée comme quelque chose de néfaste. Toute hausse des prix qui n’est pas inflationniste et toute inflation n’est pas un mal. I. Toute hausse des prix n’est pas inflationniste. La hausse des prix du foie gras et des chapons pendant la période des fêtes n’est pas inflationniste. A. Définition. On ne peut parler d’inflation que lorsque la hausse

base monétaire (baisse du taux d’intérêt) induit une augmentation du niveau général des prix (inflation). Il doit en résulter une augmentation des exportations et une diminution des importations ce qui devrait induire un excédent de la balance commerciale et une dépréciation du taux de change. Donc, selon cette logique, pour déprécier le taux de change il faut renoncer à la stabilité des prix (inflation). Or la mission de la BCE est de lutter contre l’inflation c’est pourquoi elle néglige la parité

suffisamment bien payés en retour de la vente de voitures ») et des coûts environnementaux. Il s’en suit une hausse des prix, donc du taux d’inflation, donc une baisse de la rentabilité. Il s’en suit des faillites, donc du chômage. Ce nouveau phénomène est la stagflation (chômage + inflation), généralement accompagné d’une croissance faible, ou pire : d’une dépression. A la différence des 30 glorieuses où ce furent les ménages qui furent privilégiés (80% du PIB), 20% des richesses payées sont désormais au