Inflation Chômage

global CHAPITRE 2 : l’inflation et le chômage SECTION 1 : l’inflation Définition : L’inflation est une hausse cumulative et auto-entretenue du niveau général des prix. Traditionnellement on présente plusieurs causes de l’inflation : l’inflation par la demande, par les couts, de productivité, monétaire, sociologique, importée, par les structures économiques, par les structures politique. 1. r L’inflation par la demande Il y a inflation par la demande si la demande est supérieur

Agence Principale de Ouagadougou et d’Économie Appliquée (ENSEA - ABIDJAN) MEMOIRE DE FIN DE CYCLE THEME : INFLATION ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE DANS LES ÉCONOMIES DE L’UEMOA. Présenté par : Sous la supervision de : NIKIEMA Adama M. YAGO Ahmed

1920 pour établir ses cycles de 50-60 ans. Inflation et faible taux d’intérêt en phase A et déflation et fort taux d’intérêt en phase B. 1790-1814 (A) 1814-1849 (B) 1849-1873 (A) 1873-1896 (B) 1896-1920 (A). On peut difficilement prolonger l’analyse à cause de la stagflation mais les taux d’intérêt restent révélateurs et il n’y a pas de vraie phase B (diminution de la production en volume). * JUGLAR : cycle d’affaires de 10 ans phase d’expansion (inflation et développement du crédit) puis crise

baissé en volume. Taux de chômage augmente en moyenne. Environ 15 % de la pop active pour les principaux pays industrialisés. Taux plus important qu’il le laisse paraître. Ex : USA structurellement déficitaire en main d’œuvre. EH : 1933 : 12 millions de chômeurs All : 6 millions de chômeurs, 35% de la pop active. Très violent car secteur agricole très important, mais relativement à l’abri du chômage. Autre facteur aggravant : pas de PS. Enfin , on a une définition du chômage très restrictive à l’époque

provoque au bout de 3trimestres un niveau de production plus élevé de 1,8%. Au bout de 4ans, les prix ont augmentés de 2,5% alors que l’augmentation de production n’est plus que de 0,3% ∆MS = +3%  ∆Y = +1,8% ∆P = +é, 5% 4ans  ∆Y = +0,3% II) Inflation et politique monétaire La fonction de demande globale dépend de la politique budgétaire et de la politique monétaire. Elle s’écrit : YD : YD( �� , G, T) YD ∶ YD �� �� MS P YST c’est la production offerte à l’instant T. �� c’est le coefficient

croissance, l’emploi et le taux de chômage. • L’état favorise la relance de l’I en facilitant leur Financement grace à une politique monétaire expansive. (baisse du taux d’intérêt.) • Baisse du Tx d’intérêt = coût crédit + faible (financement externe) Et accroît effet de levier, rentabilité. • Pour keynésiens, politique monétaire expansive = effet positif sur l’investissement et croissance, mais, négatif car baisse tx d’interet = Hausse inflation. [donc, moins de croissance.]

politiques économiques bloquent cette libre négociation. 2. Avantages d’un marché concurrentiel Eliminer automatiquement tout déséquilibre. Si situation de pénurie (excès de demande et donc épuisement de l’offre), d’excès d’offre (surproduction ou chômage), il faut pouvoir agir sur les prix. Smith et sa main invisible du marché, tandis que la panification de l’Etat fait subsister les déséquilibres. Si marché concurrentiel, on a pas de coûteux et long processus d’acquisition de l’info sur ces derniers

compétitive apparut comme une alternative à la dévaluation, impossible dans un régime de change fixe (le Système Monétaire Européen). III Processus et objectifs de cette politique monétaire Cette politique a pour but de réduire une inflation et un taux de chômage très importants. Composantes de la désinflation compétitive : - une politique monétaire plus stricte réduisant la croissance des moyens de paiement en circulation (hausse des taux d’intérêt) - une politique budgétaire moins

politico-économique personnelle. Dans Inflation et Systèmes monétaires (Dollars and Deficits: Inflation, Monetary Policy and the Balance of Payments, 1968), Milton Friedman énonce sa théorie du « taux de chômage naturel », déterminé par des forces réelles, comme la structure du marché du travail, les imperfections du marché et l’assurance-chômage. Tout effort pour abaisser le taux de chômage en dessous de ce « taux naturel » entraîne obligatoirement une inflation qu’il faut accroître sans cesse pour

inflation moyenne 2014 sera de 0.5%, celle de décembre proche de 0.1% Depuis maintenant mi-2013, les prix n'évoluent que très faiblement, en complet décallage avec la tendance pourtant observée depuis le début des années 2000. Nous semblons assister à un ajustement général du niveau des prix en france. Avec la baisse des prix du pétrole, la baisse de l'Euro par rapport au Dollar, le niveau de chomage élevé, la faible croissance, l'inflation va rester faible à court terme. L'année 2015 devrait