Inflation Chômage

concurrence entre les entreprises ce qui va les pousser à innover. Les effets du marché devraient permettre la hausse du PIB (produit intérieur brut) et la baisse du chômage. Néanmoins l’instauration d’un grand marché n’a pas produit les effets attendus, la croissance reste insuffisante (environ12%) et une forte disparité de chômage sur l’ensemble des pays malgré des échanges massifs dans le monde. Cette construction de l’Union européenne comme nous avons pu le voir a amené à la création de la monnaie

-dépenses publiques ; -taux d’intérêt de la BC. -taux d’imposition. 3.2 LA REGULATION DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE [pic] Fluctuations de l’activité Economique : -expansion -récession Régulation de la croissance Lutte contre le chômage Maîtrise du NGP ----------------------- Comment ? des capacités de financement des besoins de financement financement indirect financement direct La monnaie et ses trois fonctions C’est un actif liquide…

dans les pièces) et de création de la monnaie-papier était compréhensible. D’où le fameux Currency Principle (principe de circulation) prôné par Ricardo. Les responsables avaient peur de la création abusive de la monnaie qui déclencherait une forte inflation, donc une fuite devant la monnaie, l’effondrement de l’ordre nouvellement établi. La monnaie ne peut être, dans la réalité socio-économique, neutre pour de multiples raisons. Tout d’abord, en tant qu’unité de compte, elle constitue bel et bien un

pour qui l’Etat doit intervenir pour régler la croissance, maintenir le plein emploi par un rôle distributif avec le développement des services publiques (« Welfare State » : « Etat providence ») Ainsi malgré l’augmentation de la population, le chômage diminue (plein-emploi) et le pouvoir d’achat augmente : tout semble aller dans le meilleur des monde ! 2) Une croissance mondiale : Parmi les pays riches, les 2 vaincus le Japon et la RFA ont les plus forts taux (1p36) revanche économique, mais

croissance, dette réduit à zéro à la fin de l année prévoir la diversification de l économie. Mais l après-pétrole ? Il faut Thierry COVILLE, économiste, professeur associé à Négocia 1. Tableau Macro-économique Croissance soutenue en 2005 (+5,4%), inflation faible (3,2%), excédent courant (21,3% du PIB), excédent budgétaire (14,8% du PIB), réserves en devises de 61 milliards de $, réformes structurelles (baisse d impôts, privatisation , plus grande ouverture du secteur hydrocarbure ) MAIS : 2. Qu est-ce

l’activité économique ? Document 1 Les politiques conjoncturelles articulent à travers le policy mix les mesures budgétaires et monétaires prises en vue de stabiliser l’économie […] Il s’agit en particulier de contrôler l’inflation, de réduire le chômage et d’éviter le déficit de la balance courante. Dans ce domaine, la zone Euro se trouve dans une configuration tout à fait originale. Il y a, d’un côté, une politique monétaire unique et, de l’autre, des politiques budgétaires qui restent sous la responsabilité

laquelle s’exporte chez nous sous forme de hausses de prix des matières premières. Ces mutations profondes du ou des régimes d’inflation devraient amener les Banques centrales à repenser leurs stratégies de politique monétaire. De la croissance sans inflation Les Banques centrales ont construit et ancré leur crédibilité en luttant contre le principal stigmate des excès cycliques à savoir l’inflation. Après guerre, les cycles économiques sont devenus assez lisibles avec un déroulé assez mécanique lorsque

l’économie. Les taux d’intérêt correspondent au prix du capital qui détermine les intérêts versés par l’emprunteur et reçus par le prêteur. Une création monétaire excessive injecterait trop de liquidités dans l’économie ce qui entrainerait une inflation puisqu’il est démontré que le taux d’inflation et le taux d’évolution de la masse monétaire évoluent globalement dans le même sens. (voir question 2) L’inflation est l’augmentation générale des prix. Le taux d’inflation est mesuré par la quantité

prix. De 1945 jusqu’à la fin des années 70 on assiste à une période de plein emploi + croissance + inflation. Dans les années 80, l’inflation demeure et le chômage explose, tandis que dans les années 90, l’inflation baisse à 2% (désinflation).  La stagflation : période de croissance économique faible avec de l’inflation (fin 1980)  La déflation : baisse générale et durable des prix (inflation négative) Début 2009, la France a connue sur plusieurs mois une période de déflation. Spéculer :

revenu courant augmente. Le multiplicateur d’investissement est alors un risque pour l’économie de l’Etat par le biais d’une forte inflation, plutôt qu’une relance pour celle-ci. La politique budgétaire utilisée pour remédier à la crise financière des années 80, en France, en est un des exemples. En effet, cette crise cumule augmentation du chômage et forte inflation comme le montre le graphique ci-dessus ; c’est le phénomène de «stagflation ». Ainsi, augmenter la dette publique pour relancer l’économie