Inflation Chômage

la fiche de paye. Il ne se confond pas avec le salaire réel. Entre les deux se trouve le marché de la monnaie. Le salaire réel correspond à la quantité de biens et services que l’on peut acheter avec le salaire nominal. En cas de hausse des prix (inflation) il arrive que les salariés perdent d’un coté (baisse du salaire réel) ce qu’ils ont gagné de l’autre (hausse du salaire nominal). Sur le marché de la monnaie cela se traduit par une baisse du pouvoir d’achat de la monnaie . En effet, la théorie

(annuelles, trimestrielles, mensuelles) qui portent sur le volume de la production, les prix, le chômage, le niveau des stocks, les carnets de commande des entreprises, etc. Lorsque la croissance effective est supérieure à la croissance potentielle, cela conduit à des tensions inflationnistes (« surchauffe ») ; lorsque la croissance effective est inférieure à la croissance potentielle, on assiste à une montée du chômage. L’écart de production (« gap » en anglais) entre croissance effective et croissance potentielle

d'achat donné par la monnaie à l'intérieur du pays ou elle circule. De ce point de vue, sa valeur interne peut etre affectée par l'evolution du niveau général des prix. ↗ des prix = inflation entrainant l'érosion de la valeur interne de la monnaie, en clair il y a érosion monétaire. Ex: au 01/01 → 1000 € inflation de 10 % au 31/12 → 1100 € pour avoir la même chose donc perte de valeur de la monnaie de 10 % , en clair la monnaie perd de la valeur. La valeur externe ( ou stabilité externe )

bonne partie du grain qu’ils auraient eu à moudre, selon la formule fameuse d’André Bergeron. 3 Taux d’inflation En 1982, Un tournant historique est opéré par François Mitterrand et le gouvernement Mauroy en 1982 qui décide de casser la forte inflation française (supérieure à 13 % en 1980 et 1981) en imposant un blocage des salaires et des prix pendant plusieurs mois. Désormais la hausse des salaires n'est plus indexée sur l'inflation réelle mais sur un taux d'inflation prévu par le gouvernement

des systèmes bancaires par leurs maison-mères, les déséquilibres externes et l’inflation ont fortement diminué, la compétitivité s’améliore et les déficits budgétaires reviennent progressivement à leur valeur d’avant-crise. Toutefois, alors que le chômage s’affiche à des niveaux record, des réformes supplémentaires restent nécessaires pour favoriser le retour à une croissance plus équilibrée et consolider la soutenabilité budgétaire et le système bancaire. ____________________________________________________________

remplit ses objectifs. La politique monétaire keynésienne se fixe comme objectif final l'arbitrage entre inflation et chômage et retient comme objectif intermédiaire les taux d'intérêt : lorsque l'économie est en surchauffe, une politique monétaire restrictive, en augmentant le taux d'intérêt, permet de combattre les tensions inflationnistes. À l'inverse, en période de hausse du chômage, une politique monétaire expansive avec une diminution des taux d'intérêt doit permettre de relancer l'activité

se caractérise par la hausse du niveau général des prix et par la baisse du pouvoir d’achat de la monnaie. L’étude chronologique des indices des prix montre que nous vivons en inflation quasi permanente : les prix augmentent et la monnaie se déprécie. Tantôt modérée (inflation rampante), tantôt galopante (hyper-inflation), L’inflation est toujours au centre des politiques économiques. Nous connaissons déjà l’explication monétaire de l’inflation : l’inflation est la conséquence d’une disproportion

européennes) dans la gestion des fluctuations conjoncturelles. On analysera les mécanismes cumulatifs susceptibles d'engendrer déflation et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. Acquis de première : inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale. Préalable : La partie science économique du programme devant être traitée en une durée indicative totale de 80h et comprenant 7 thèmes, cela signifie qu’un thème doit

situation, donc il remplit sa mission, même si ce qu’il dit est original pour quelqu'un qui est censé nous rassurer. Analyses de risques économiques : toutes les flèches sont à la hausse. Hausse de la gravité, hausse de la probabilité du risque, inflation ou déflation non gérable, volatilité extrême dans l’énergie et les matières premières etc… Ce qui est intéressant c’est en haut de l’échelle de gravité il y a le risque d’échec financier systémique qui stagne voire diminue. Analyses de risques environnementaux

peux enclencher une inflation importée, qui ne fait qu'accentuer le déficit commercial. B. Les effets d'une monnaie forte: réévaluation > Excèdent commercial L'appréciation de la monnaie favorise les excédents commerciaux. L'augmentation du taux de change fait baisser le cout des importations, donc des prix compétitifs à l'exportation. Les entreprises pénalisées par cette augmentation de taux de change, améliorent leur compétitivité. Dans un contexte de forte inflation ou de menace inflationniste