Jardin du Luxembourg

artistes et des étudiants du Quartier Latin, à Paris. Tiré du recueil Odelettes, paru en 1832, « Une allée du Luxembourg » est un très bref poème lyrique, composé de trois quatrains en octosyllabes à rimes croisées. Le poète évoque, avec gaieté d’abord, puis avec une douloureuse mélancolie, la rencontre qu’il a faite, réellement sans doute, d’une jeune inconnue, dans le jardin du Luxembourg. Quelle représentation poétique et psychologique des deux personnages est-elle donc perceptible dans ce poème 

paie sont les plus enviables de la haute administration. Les agents affectés à l’accueil peuvent être payés entre 3000 et 6250 euros et les secrétaires de direction entre 3500 et 7200 euros. Les 75 jardiniers du palais du Luxembourg bichonnent les parterres de son jardin pour un coût annuel de 12 millions d’euros. Plus encore, il faut savoir que sur les 348 sénateurs, un tiers ne viennent jamais ( à Paris), un tiers d’entre eux se montrent par intermittence ; seuls ceux du dernier tiers sont

« Une allée du Luxembourg » Odelettes Gérard de Nerval (1834) Introduction : Les Odelettes qui sont une forme courte de l'ode, poèmes destinés à être mis en musique, sont une quinzaine de courts poèmes que Nerval a écrit au début des années 1830, autour de sa vingtième année. « Une allée du Luxembourg » est un poème de ce recueil faisant référence au jardin public de Paris qui est le cadre de la rencontre entre une jeune femme et le poète. Ce poème est composé de trois quatrains en octosyllabes

particulières. Membre des ‘’Amis de l’ABC’’, un groupe de personnes républicaines politisées et soucieuses d’évolution. Débuts des évènements (1830) Rencontre de Cosette, qu’il surnomme Mlle. Lanoire, lors de ces ballades dans le jardin du Luxembourg. Après presque un an d’absence, Cosette, devenue une ravissante jeune femme, reprends ses ballades dans le parc avec Jean Valjean, il tombe amoureux d’elle. Marius apprend que ses voisins, les Jondrette, sont en réalité les Thénardier

siècle : « D'Anne qui lui jeta de la neige », Clément Marot (1538), page 205 et illustration page 202. XVII ème siècle : « Ma foi, c'est fait de moi », Vincent Voiture (1649), page 211 et illustration page 211. XIX ème siècle : « Une allée du luxembourg », Gerard de Nerval (1834), page 231 et illustration dans les prochaines pages. XIX ème siècle, « mélancolia », Victor Hugo (1838), texte dans les prochaines pages suivie de son illustration. XIX ème siècle, « Mors », Victor Hugo (1854), texte

tailleurs de pierre) est exécuté et destiné a un jardin publique du musée du Luxembourg a Paris puis est remis finalement au Musée d'Orsay où il est aujourd'hui présent. En 1930 le Métropolitain Museum of New York acquis un Ours en marbre. François Pompon est alors universellement connu du publique et de la presse et reconnu, et acquiert une grande popularité. Les jeunes artistes animaliers de l'époque l'adopte comme maître, le suivant au jardin des plantes l'observant dans son travail : Pompon

politiques significatifs qui secouèrent l'Italie durant le précédent siècle. Histoire de l'Art Giorgio Vasari publie son ouvrage fondateur Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes. Art pictural des Grottes La mise en place des Jardin de Boboli derrière le Palais Pitti de la famille Médicis illustre de manière symptomatique « l'art grotesque », ou grotto art. Expansion de la Renaissance hors d'Italie Diffusion en France Partis pour conquérir l'Italie, les souverains français

- Montreuil sur Mer (une fabrique, l'auberge du tiallac d’argent, bureau de police) - Montfermeil chez les Thénardier (une auberge, une boulangerie, une église, un bois du côté de chelles ) -Paris : - Près du jardin du Luxembourg - Quai des célestins, la rue cloche perse : Maison de Magnon, servante de Gillenormand - La Bastille - La rue Roi-de-Sicile (maison de M.Barge, huissier)

enfant écrit par Vasilis Alexakis, publié dans le Monde en avril 1976 puis reproduit dans La ville et l’enfant. Jean Paul Sartre, dans cet extrait de son œuvre autobiographique Les Mots, observe ces expériences passées pendant l’enfance au jardin du Luxembourg. Enfin, un dessin humoristique paru dans le Nouvel Observateur en octobre 1992 dans le dossier : « Où sont passés les parents ? » nous amène à nous interroger sur les limites de trop d’autonomie. Tous ces documents nous conduisent à la réflexion

alors un mur et atterrissent dans le jardin d’un couvent. Ils sont momentanément hors de danger. Dans ce jardin, Valjean se retrouve nez à nez avec M. Fauchelevent, un homme à qui il avait sauvé la vie quand il vivait sous le nom de M. Madeleine. En reconnaissance de ce fait glorieux, Fauchelevent, qui est jardinier du couvent, le cache dans sa masure et plus tard, pas un habile tour de main, le ferra passer pour son frère et entrer dans le couvent comme jardiner. Ce qui lui permettra de rester dans