Je Regardais Ma Voisine Et Fus ébloui Par Elle

Français. Le réalisme et le naturalisme. • Question 1 La conception de la femme dans ce texte est l’image d’une femme idéale par excellence, consolatrice dégageant de la tendresse mais aussi belle et séduisante. La phrase « Je regardais ma voisine et fus plus ébloui par elle que je ne l’avais été par la fête » montre que le narrateur est surprit de la beauté de cette femme. Celle-ci met en valeur certaines parties de son corps, notamment ses épaules, son cou et sa gorge. Question 2 : Ce texte

QUAND ANGELE FUT SEULE … Suite , inventée. Il y avait bien vingt ans qu’on n’avait pas vu un rat à la maison. En sortant la poubelle, elle ne s’était pas rendue compte que sa voisine d’en face, Germaine Richard, était à sa fenêtre, les yeux rouges, baignés de larmes, car elle avait perdu l’homme qu’elle aimait. Elle observait Angèle de sa fenêtre. D’ailleurs, elle observait tout le monde à présent, étant donné qu’elle passait toutes ces journées devant sa fenêtre. Elle regardait la poubelle

s'endormir en attendant le bon plaisir de sa mère, et se posa près de moi par un mouvement d'oiseau qui s'abat sur son nid. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon coeur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules

s'endormir en attendant le bon plaisir de sa mère, et se posa près de moi par un mouvement d'oiseau qui s'abat sur son nid. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon coeur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules

s'endormir en attendant le bon plaisir de sa mère, et se posa près de moi par un mouvement d'oiseau qui s'abat sur son nid. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête ; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon cœur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules

sont très sensuels « peau » « gorge ». On distingue déjà nettement le sentiment amoureux et le désir qu’elle provoque chez le narrateur. Plus rien ne compte, ses désagréments sont oubliés, il est en extase devant cette beauté « Je regardais ma voisine et fus plus ébloui par elle que je ne l’avais été par la fête ». C’est un instant inoubliable pour lui « Elle devint toute ma fête ». Il la dévore du regard et aucun détail de son corps, de sa tenue, de ses cheveux, ne lui échappe. Il est fasciné par

s'endormir en attendant le bon plaisir de sa mère, et se posa près de moi par un mouvement d'oiseau qui s'abat sur son nid. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon cœur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules

"il était impossible de sortir, je me réfugia dans un coin d'une banquette abandonnée", puis la personnage se concentre, de même, sur une femme : "elle devint toute ma fête", le champ lexical du regard est également présent : "je regardai ma voisine et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête", "mes yeux furent tout à coup frappés". Pour les deux personnages le monde est comme arrêté par cette vue éblouissante, tout le reste n'a aucune importance. On retrouve le même champ lexical

médecin n’était pas très rassurée, elle n’appréciait pas vraiment l’avion, contrairement à mes frères Tom et Luc (5 et 7 ans) qui passaient leur temps à chahuter et à rire sans arrêt. En arrivant dans cette nouvelle maison nous étions tous éblouis par la beauté de la vue. Cinq minutes après notre arrivée, nous sautions tous dans la piscine chauffée car c’était un mois de mars plutôt froid : la température avoisinait les 13°C. Cette soirée fut mémorable ; après trois heures passées à jouer

y a quelques jours de cela, je me promenais sur la montagne Berg. Lorsque j’eu enfin accédé à son sommet, j’observai la vaste vallée qui la contournait, notre royaume. Le constat fur fort accablant, partout, je ne vis que désolation et misère. Je regardai alors vers le ciel, qui me sembla si beau et si pur. J’étais au bout de mes forces, affligé, quand tout à coup je me sentis m’élever. Je ne pourrais te relater avec précision ce qui s’ensuivit. Tout ce dont je me rappelle est l’étrange impression