Jean Baudrillard

 JEAN BAUDRILLARD, « La société de consommation ». 1. La thèse de ce texte est qu'aujourd'hui, les Hommes pensent posséder des objets, alors qu'au contraire, ce sont ces objets mêmes qui les possèdent. L'Homme vit au travers de ce qu'il consomme, il voit naître un objet, il le voit vivre puis s'éteindre ; tandis qu'auparavant, les objets vivaient durant plusieurs générations. Les Hommes sont en réalité esclaves de cette société de consommation, et vivent dans un monde virtuel créé par les médias

Idées d’accroche : · Forte affluence au mondial de l’automobile en octobre 2008 mais annonce de chômage technique chez certains constructeurs automobiles. · Croissance fordiste : de la production de masse à la consommation de masse. · Jean Baudrillard et La société de consommation (1970) 1. La demande détermine la croissance économique (= effets à court terme) 1.1. La demande anticipée détermine la croissance. 1.1.1. La demande anticipée par les entreprises détermine le niveau de

comportemental du moment. Elle renforce le phénomène d’adhésion au marque qui son des lors analyser comme une référence. La publicité renforce aussi les clichet en particulier au niveau de la vision des différents styles. Pour le sociologue Jean Baudrillard, « la société de consommation nous imposerez une sorte de bonheur obligatoire qui passerez par la consommation. » Celon lui, « le rôle de la publicité et de suggérez qu’on ne peut pas vivre sans acheter.

Philosophie Exposé II / La société de consommation, société de signes. Baudrillard, Le système des objets, Tel, Gallimard, 1990, p.277 Jean Baudrillard est un célèbre philosophe et sociologue français né en Juillet 1929 à Reims et décédé en 2007 à Paris. Ses œuvres ont une importance, notamment en ce qui concerne la critique de la société de consommation. Son premier livre qui a fait de lui un homme reconnu date de 1968, Le système des objets, et un second, La société de consommation deux ans

vélociférique » (Lacoste, 2000), tandis qu’en 1880 Friedrich Nietzsche observe l’émergence d’une culture « de la précipitation, de l’empressement indécent et transpirant, exigeant que tout soit fait tout de suite » (cité dans Honoré, 2005 : 36). 14Pour Jean Baudrillard (2001), la vitesse nous amène au vide : La vitesse est le triomphe de l’effet sur la cause, le triomphe de l’instantané sur le temps comme profondeur, le triomphe de la surface et de l’objectalité pure sur la profondeur du désir. […] Triomphe

la Seconde Guerre mondiale (le Salon des arts ménagers en est le fer de lance au milieu des années 1950). En France, dans les années 70 et singulièrement en Mai 1968 la diffusion de la société de consommation a été pointée : Le philosophe Jean Baudrillard formalise cette mise en cause dans un ouvrage intitulé La société de consommation3, dans lequel il estime que la consommation qui était d'abord un moyen de satisfaire ses besoins primaires est surtout devenu un moyen de répondre à une injonction

amalgame. Il est à la croisée des influences les plus diverses et variées. On va retrouver de multiples philosophies et religions, tel le taoïsme, le bouddhisme, le christianisme, le gnosticisme, la Caverne de Platon , Simulacres et simulations de Jean Baudrillard ; on va retrouver également de nombreuses références à la culture populaire qu'elle soit américaine, européenne ou asiatique à travers les jeux vidéos, les Bds, comics et mangas, les arts martiaux. De cette manière, il présente un aspect fondamental

Cette tendance se répand chez les particuliers. Mais le gras n’a pas disparu, il est caché dans les plats industriels et la restauration rapide. Plan Plan : 1.2 Le second document est un extrait de l’essai La Société de consommation de Jean Baudrillard, publié en 1970. Il est de type argumentatif. L’auteur veut démontrer que les régimes visant la maigreur ne sont pas le résultat du dictat de la mode, même si son influence est incontestable, mais une réaction au fait que la société actuelle

«valeur esthético-morale », ligne 14, ils sont aussi les seuls à posséder des vertus morales (autrement dit, l’obésité commence à refl éter certains vices). Il était indispensable de saisir ce basculement étrange pour comprendre le document de Baudrillard et pour réussir la seconde partie du développement personnel. Fischler termine ce premier paragraphe par quelques remarques simples : « la bonne minceur » doit s’accompagner d’une certaine musculature (la mollesse n’est plus au goût du jour)

Baudrillard : simulacre et simulation Simulacre et simulation Un simulacre désigne une apparence qui ne renvoie à aucune réalité sous-jacente, et prétend valoir pour cette réalité elle-même. Selon Baudrillard, un simulacre est, avec ses propres mots la « vérité qui cache le fait qu'il n'y en a aucune ». Exemple de simulacre : Dans le chapitre " Du Nihilisme ", Baudrillard fait remarquer que, lorsque la toute-puissance de Dieu ne peut être ressentie qu'à travers l'icône qui le symbolise