Jean Baudrillard

fin du monde mais à la fin du monde du spectacle» (écrit sur les murs de la Sorbonne, de Guy Debord), tout est spectacle, tout est simulacre. Le monde du spectacle est notre monde. 9. En quoi consiste le « nouveau statut du corps » selon Jean Baudrillard ? Le corps c’est un capital, et on doit investir notre corps dans notre corps d’après la publicité. Pour bien investir notre corps on doit investir DANS notre corps (acheter les produits, thalasso…). Phénomène très nouveau. Balzac, Stendhal,

stéréotypes sociaux tels que la minceur et les corps musclés. La cuisine française, dès lors, "troque" le beurre et l'huile contre des poêles "Téflon". Le document 2 est un extrait de l'essai La société de consommation du sociologue français Jean Baudrillard, publié en 1970. L'auteur est un penseur reconnu même s'il fût parfois controversé. Il a travaillé à dénoncer les ravages de la société de consommation sur nos corps devenus objets, soumis à un impératif de faire-valoir. Ce texte de type argumentatif

s’expose dans les musées : Après son apparition dans les années 1950 – 60, la société de consommation a depuis quelques décennies déjà, atteint son apogée. « […] Pour Jean Baudrillard, la consommation est le trait majeur des sociétés occidentales, la “réponse globale sur laquelle se fonde tout notre système culturel“. La thèse de Baudrillard est simple : la consommation est devenue un moyen de différenciation, et non de satisfaction. L’homme vit dans et à travers les objets qu’il consomme. » C’est ainsi

Jean Baudrillard dans son livre La société de consommation, explique : « La consommation est devenue la morale du monde ». Pour lui, la consommation est une mythologie moderne, elle utilise des valeurs symboliques. Le consommateur dans l’acte d’achat, émet un signe aux autres. L’approche de Baudrillard exprime une recherche sociologique du problème. Une définition économique de la consommation se résume en réduisant la consommation à une action, où l’on distingue la consommation finale des ménages

nous avons de moins en moins de besoin. Mais quel a été l’évolution des objets pour en arriver à ce stade de surconsommation ? Et quel a été l’impact sur le comportement et l’environnement humain ? Dans son ouvrage, La Société de consommation, Jean Baudrillard dénonce la consommation à outrance des objets et ses conséquences sur l’homme et son environnement à travers la comparaison entre objet passé et objet présent. Boris Vian dans sa chanson, La Complainte du progrès, ironise sur la société de consommation

l’évolution technologique, on nous propose sans cesse des objets inédits (tels que les derniers produits d’Apple, ou les derniers jeux vidéo) mais qui sont parfois détourné de leur première fonction qui est d’être utile à l’homme comme l’indique Jean BAUDRILLARD à travers son essai Le système des objets. On peut prendre l’exemple du téléphone mobile où Apple à sus transformer cet objet technologique, dont le but était de communiquer, en intégrant de nouvelles fonctions comme l’appareil photo ou bien

soumis(e) aux critères de la beauté (les idéaux de maigreur) dictés par la société. Notre corps et notre apparence sont-ils effectivement dirigés par quelqu’un ou quelque chose à qui ou à quoi nous sommes forcés d’obéir ? C’est ce que soutient Jean Baudrillard dans La Société de consommation. Il prouve que notre société a transformé le corps, simple enveloppe de chair de ce que nous sommes vraiment, en corps « objet de salut ». De telles constatations, assez effrayantes, nous poussent à chercher à

peut-on modifier les mentalités de consommation dans nos sociétés ? Pour tenter de répondre à cette question, nous évoquerons les causes et les solutions du problème. En premier lieu, il faut qu’on soigne le mal à la racine. En 1970, Le philosophe Jean Baudrillard catégorise la société de consommation comme un résultat du vide entre les riches et les pauvres. Qui est plus, Il croit que la richesse et le pouvoir sont devenus des valeurs dominantes de la société moderne et médiatique, au détriment de l'écologie

afforme du culte du corpsparfait et dans une seconde partie nous étudieront que le culte du corps est un mythe complètement paradoxal. Après des siècles d’oublis, on revient au corps qu’on mit en première place. En effet,comme le démontre Jean Baudrillard dans son texte paru en 1974 « La société de consommation », pendant des siècles on s’est acharnés à convaincre les gens qu’ils n’avaient pas de corps et qu’ilsn’avaient pas besoin d’en prendre soin mais aujourd’hui on obstine systématiquement

pourrait enléver les piétons de leurs chemins prévisibles et les pousser vers une nouvelle conscience de la paysage urbaine”[] Exactement ce qu’a fait SC dans son prémier oeuvre. Jean Baudrillard, théoricien d’art français utilise des principes situationnistes; ”Reprenant en partie la critique situationniste de l'urbanisme, Baudrillard a pu prendre l'exemple des aménagements urbains qui prétendent ôter la possibilité même de la « délinquance » en modélisant le territoire et en effaçant tout lieu susceptible