Jean de Sponde

Michel de Montaigne à publié ses premiers « Essais » en 1580, c'est à l'extrait « Que philosopher, c'est apprendre à mourir » que nous allons nous intéresser. Le sonnet II de Jean de Sponde est extrait de « Essai de quelques poèmes chrétiens » paru en 1588. Jean de La Fontaine a écrit la fable « La Mort et le Bûcheron » et l'a publié en 1668. Les « Pensées » de Blaise Pascal on été publiées inachevées après sa mort. Tous ces textes sont des textes relèvent de l'argumentation mais chaque auteur

Devoir de fin de séquence Le document que vous allez lire est composé de plusieurs parties : • la synthèse finale de la séquence sur la poésie qui revient sur les principales fonctions de la poésie. Cette synthèse finale pourra vous aider à faire le devoir final car il vous apportera des idées que vous pourrez réexploiter ; • le devoir maison obligatoire qui se compose de deux sujets. Vous devez n’en faire qu’un. Il permet de revenir sur les principales méthodes vues en classe au cours de cette

SPONDE Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut…  Tout s’enfle contre moy, tout m’assaut, tout me tente, Et le Monde et la Chair, et l’Ange révolté, Dont l’onde, dont l’effort, dont le charme inventé Et m’abysme, Seigneur, et m’esbranle, et m’enchante. Quelle nef, quel appuy, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans estre enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Saincteté, Ton

caractère éphémère de la vie de l’homme. Nourrie de métaphores et de figures d’opposition la poésie est un mode d’expression privilégié de la sensibilité. Jean de Sponde en est sans doute le plus éminent représentant. L’angoisse de la mort est omniprésente et se traduit par une esthétique expressive, hyperbolique et parfois provocatrice. • Jean de Sponde, « Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse » Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse, Qui brave de la mort, sentira ses fureurs

On retrouve une rhétorique de l’outrance en littérature, on y trouve des figures de style comme l’hyperbole, l’oxymore, des accumulations, anti thèse, surcharge métaphorique, le goût de la périphrase. Tout cela est définit par la figure du Paon par Jean Rousset. Il faut parler au sens, les impressionner, grossir les formes, insister sur l’apparence des formes. On n’hésite pas non plus à recourir au merveilleux, ou l’on représente des idées abstraites par des images miroitantes : allégorie en littérature

Première Le Baroque Programme Quelques aspects la poésie baroque : la nature, le monde et l’homme Théophile de Viau, « Le Matin » Tristan l’Hermite, « La Mer » Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion

Première Le Baroque Programme Quelques aspects la poésie baroque : la nature, le monde et l’homme Théophile de Viau, « Le Matin » Tristan l’Hermite, « La Mer » Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion

réalisé par Michel de Montaigne il s'intitule :  « Que philosopher, c'est apprendre à mourir. ».Ensuite il y a les pensées de Blaise Pascal. Ce corpus contient aussi une poésie écrite par Jean de la Sponde . Pour finir cet ensemble de textes contient une fable, c'est un apologue:  « La mort et le Bucheron » écrite par Jean de la Fontaine. I:Explication de la conscience : comment l'auteur peut-il influencer sur cette conscience ? Pour commencer nous pouvons constater que ces différents textes littéraires

été constituée par l’Histoire littéraire du sentiment religieux en France (1915) de l’abbé Henri Bremond, dont le premier volume, consacré aux humanistes dévots, fait ressortir de l’oubli presque tous les poètes religieux de la future Anthologie de Jean Rousset : Brebeuf, La Ceppède, Le Moyne, Martial de Brives, Claude Hopil et bien d’autres. Célèbre pour sa défense de la « poésie pure », Bremond les lit pourtant avec une compréhension large. Au delà du « sentiment religieux », son essai met en lumière

tonnerre » , Louise Labé« « Le Lac », Alphonse de Lamartine « Je comtemplois un jour le dormant de ce fleuve », Jean de Sponde « A Philis », Pierre de Marbeuf II-L'amour et la Terre : « Sensation », Arthur Rimbaud « A Aurore » , Georges Sand « Souvenir », Alfred de Musset « Jamais d'autre que toi », Robert Desnos III- L'amour et l'Air « La mouche et la fourmi », Jean de la Fontaine « Je pense à toi », Appolinaire Préface : La poésie concerne tous les humains et toutes les époques