José-Maria de Heredia

fréquentations | Influences subies | Vécus importants | Traits de son œuvre | Œuvre | Autres | 1863 Maria avec la jeune gouvernante Maria Gerhard à Londres.1864 naissance de sa fille Geneviève.1871 naissance de son fils Anatole qui décède en 1877. | Fils d’un père fonctionnaire.Difficultés financières.Milieux Parnassiens et symbolistes.Valéry, Gide, Claudel, Leconte de Lisle, Debussy, Manet, José Maria Heredia, Hugo, Zola, Wild. | Edgar Poe dont il traduit les poèmes en 1888.BaudelaireThéophile GautierThéodore

Lecture Analytique Heredia Les conquérants Introduction : écrivians d'un seul livre, jose maria de heredia qui fesait partis du groupe du parnasse contemporain et qui a hérité des théories « l'art pour l'art » publia en 1893 les trophées. Les conquérants est l'un des poèmes de ce recueil. Ce poème est un sonnet classique qui parle de l'histoire des conquistadores (expéditions maritimes pour ouvrir de nouvelles routes et découvrir de nouveaux pays fin XVème). Plan : problématique :

Marie de Heredia, née à Paris le 20 décembre 1875 et morte à Paris le 6 février 1963, qui signait Gérard d'Houville, est une romancière et une poétesse française , fille de José- María de Heredia. Toute enfant elle fréquentait déjà poètes et artistes . Leconte de Lisle, Anna de Noailles, Paul Valéry ... ont été accueillis chez elle ou chez son père . Elle écrivit ses premiers vers à la Bibliothèque de l'Arsenal, dont son père était directeur . Sa vie

FICHE DE LECTURE LES TROPHEES – HEREDIA Résumé de l’oeuvre Ce recueil, composé presque tout entier de sonnets, se divise en plusieurs groupes : la Grèce et la Sicile, Rome et les Barbares, Moyen âge et Renaissance, Orient et Tropiques, la Nature et le Rêve. Il porte à un très haut degré les qualités essentielles du Parnasse. D'abord l'impersonnalité, car le poète, sensible à la seule émotion du beau, ne nous laisse connaître de soi-même que la précision de son regard et la sûreté de sa main

Parnasse propose un idéal classique : — impersonnalité — perfection formelle — retour à l'antiquité — III. Les principaux manifestes, auteurs et quelques œuvres majeures. * Écrivains représentatifs : Théophile Gautier, Leconte de Lisle, José-Maria de Heredia. * Les principaux précurseurs du Parnasse sont Théophile Gautier (« Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid ») et Victor Hugo (pour les Orientales), ainsi que Théodore de Banville. Cette

au-dessus du commun des mortels pour ses poèmes, mais mêlé à la foule, il n'est rien et devient ridicule. Baudelaire faisait ainsi partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non compris par les gens de son époque. Les Conquérants – José-Maria de Hérédia (19è) Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,Fatigués de porter leurs misères hautaines,De Palos de Moguer, routiers et capitainesPartaient, ivres d'un rêve héroique et brutal.Ils allaient conquérir le fabuleux métalQue Cipango

Problématique : Homme faible qui ne peux réaliser ses désirs. Champs lexicaux de la mort, de la souffrance. De la mélancolie, de la passion. Méditation sur la faiblesse de l’être humain, et l’étude du « moi »  Victor Hugo  Alfred de Vigny  José Maria de Heredia Le réalisme (19e s) Rupture avec le romantisme Les réalistes veulent tout d’abord décrire le réel de manière objective tout en laissant place à l’imagination et à la sensibilité. Sa description du réel est influencée par sa propre

  Dionysos vainqueur des bêtes et des Dieux  D'un joug enguirlandé n'étreint plus les panthères ; Mais, fille du soleil, l'Automne enlace encor  Du pampre ensanglanté des antiques mystères  La noire chevelure et la crinière d'or. José-Maria de Heredia, Les Trophées ----------------------- Nom : Labrunie Prénom : Gérard Pseudonyme : Gérard de Nerval Nationalité : Française Né le 22.05.1808 à Paris Mort le 26.01.1855 à Paris Ecriture : Poète, dramaturge, romancier

Triomphalement peint d’or et de vermillon, Qu’il soit de chêne brut, de cyprès ou d’érable ; Heureux qui peut dormir sans peur et sans remords Dans le lit paternel, massif et vénérable, Où tous les siens sont nés aussi bien qu’ils sont morts. José-Maria de Heredia, Les Trophées Les coquillages Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâmes A sa particularité L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos cœurs Quand je brûle et que tu t’enflammes ; Cet autre affecte tes langueurs

vierges. Qu'importe un monument funéraire, des cierges, Le psaume et la chapelle ardente et l'ex-voto? Puisque le vent du nord, parmi les cyprières, Pleure et chante à jamais d'éternelles prières Sur le grand fleuve où git Hemando de Soto. José-Maria de HEREDIA Biographies: Philippe DESPORTES: Philippe DESPORTES est né en 1546 à Chartres, et mort le 5 octobre 1606 à l'abbaye Notre-Dame de Bonport. Surnommé le « Tibulle Français » pour la douceur et la facilité de ses vers, il fût