La Comédie De Boileau

gamme des effets comiques, de la farce la plus bouffonne jusqu'à la psychologie la plus élaborée. En élevant la comédie, considérée avant lui comme un genre mineur, il a donné un élan vital au théâtre. En 1661, il crée avec le musicien Lully la comédie-ballet. Il obtient grâce à son succès la protection du roi Soleil. Au cours d’une représentation du « Malade imaginaire », sa dernière comédie-ballet, Molière est pris de malaise ; il meurt à son domicile parisien en 1673. Il est enterré de nuit, sans

littéraires principaux malgré qu’ils s’opposent. Donc dans beaucoup d’œuvres et chez beaucoup d’auteurs on retrouve les deux approches. Puis à la fin du siècle il y a eu la querelle entre les Anciens et les Modernes. Les Anciens dont La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, prétendent que tout est découvert, tout est inventé, donc il n’y a pas de progrès dans l’art. Les Modernes de leur côté et surtout Charles Perrault, l’auteur des Contes de la mère l’Oye, affirment qu’il reste beaucoup à trouver et à améliorer

règles du théâtre classique. Cet ouvrage est suivi d'autres théories, tels que le Discours sur le poème dramatique de Corneille en 1660 ou l'Art Poétique de Boileau, en 1674. Tous s'inspirent de la Poétique d'Aristote. Les 3 unités. "Qu'en un jour, qu'en un lieu, un seul fait accompli / Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli" écrit Boileau (chant 3, vers 45-6) pour parler des contraintes du théâtre classique. Cela permet de cadrer le spectateur afin de mieux le toucher et de donner un caractère

et grossier. En parallèle avec le burlesque se développe la tragi-comédie, moins irrespectueuse des Anciens, mais avec une forme libre considérée comme populaire ou vulgaire. Le classicisme Courant littéraire de 1661 à 1789. S’inspire des grands auteurs : Corneille, Molière, Racine. Au niveau esthétique : imite les Anciens, normes et règles précises, recherche l’harmonie parfaite. 1674 : Art Poétique de Boileau. Souci mentaliste : critique de la société et des mœurs chez Molière

b) La comédie A l'époque du classicisme, la comédie est un genre mineur, comme la tragédie. La comédie a moins de règles que la tragédie car pour les théoriciens elle est considérée comme un genre mineur. Molière est la figure de ce genre, même s'il existe plusieurs auteurs comiques. Il essaie de redonner un point de vue positif de la comédie en s'inspirant des règles du théâtre classique surtout pour l'unité de lieu et de temps. Corneille lui s'inspire des anciens (des comédies latines tel

tirées de l'Antiquité grecque (Racine) ou romaine (Corneille). La comédie met en scène une action basse et donc des personnages bas (normalement des bourgeois mais parfois des paysans). Il est donc permis de représenter des gens de l'époque. Normalement on critique un défaut commun (avarice, sottise, hypocrisie, infidélité, ambition démésurée). La comédie raconte le renversement du malheur au bonheur. Le dénouement typique d'une comédie est le mariage (même si le jeune couple n'est pas toujours au premier

la peinture ou l'architecture (voir l'architecture classique en France). Sommaire 1 Origine et définition de la notion 2 Littérature 2.1 Contextes 2.2 Caractéristiques 2.3 Théâtre 2.3.1 Les règles du théâtre classique 2.3.2 Tragédie 2.3.3 Comédie 2.4 Roman 2.5 La poésie en général 2.6 Autres genres 3 Musique 4 Peinture 5 Sculpture 6 Architecture 7 Arts décoratifs 8 Notes et références 9 Voir aussi 9.1 Articles connexes 9.1.1 Architecture 9.1.2 Littérature 9.2 Liens externes

Corneille-Molière Il existe une "affaire Corneille-Molière" depuis que le 16 octobre 1919 l’écrivain et poète Pierre Louÿs (1870-1925) annonça dans le très sérieux journal Le Temps que Pierre Corneille (1606-1684) était l’auteur des principales comédies de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673) ; autrement dit, que Corneille était, selon une pratique alors courante dans le milieu théâtral du XVIIe siècle, le prête-nom du comédien et directeur de troupe Molière, amuseur attitré du roi

toucher le public, tout en le purifiant de ses passions.  Les règles de la bienséance et de la vraisemblance : on ne doit pas mourir sur scène. L’artiste doit corriger la Nature, s’il y a lieu ("le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable", Boileau).  Les règles du merveilleux et du sublime : les théoriciens exigent que le poète concilie les deux exigences contradictoires, le merveilleux et la vraisemblance (le Deus ex machina au théâtre). Le sublime est caractérisé par le naturel, la simplicité

Ciuta mais il nous donne des informations sur le fait que Coelho est amoureux de Marianne qui le rejette. Claudio apparaît, c’est le mari. Les noms des personnages ont une connotation italienne donc il y a une référence à la comédie, personnages qui appartiennent à la comédie (exemple : maîtres, valets,…mais aussi le tutoiement). 2è texte : Il présente de grandes didascalies, genre dramatique. Cependant, c’est plutôt un univers privé qui est décrit car c’est un intérieur bourgeois qui est présenté