La Diplomatie Preventive Et La Diplomatie Defensive

Introduction Partie 1 : Le concept de la diplomatie préventive Partie 2 : La crise politique à Madagascar Partie 3 : L’intervention de la Commission de l’océan Indien Conclusion INTRODUCTION La Commission de l’océan Indien (COI) a été créée le 10 janvier 1984 par l’Accord général de Victoria signé par trois pays : les Seychelles, Madagascar et Maurice. Un protocole d’adhésion datant du 10 janvier 1986 permet aux Comores et à la France d’y adhérer. La France devient membre de

antiques tel Alexandre le Grand. Ceci incite donc à la recherche de causes à l'impérialisme romain fait d'expansion durable. Il apparaît donc en premier lieu des motivations d'ordres économiques, puis des motivations militaires fait de guerres dites défensives. Une cause de l'impérialisme est aussi l'organisation de la société romaine en ordre militaire. L'impérialisme romain répondit à un besoin économique mais surtout à l'appât du gain sous forme de butin. La tentation de la praeda est tout à fait

La sécurité collective La Charte des Nations Unies institue, par la combinaison de mesures préventives et coercitives, un système de sécurité collective censé dissuader (ou réprimer) les Etats susceptibles de porter atteinte à la paix. Les articles 42 et 43 donnent d’ailleurs les moyens au Conseil de Sécurité de prévenir et de punir les actes d’un Etat agresseur. Néanmoins, trois conditions doivent être remplies. Tout d’abord, les Etats doivent se mettre d’accord sur la définition de l’agresseur

GOUVERNANCE DE CRISES Gilbert DERDERIAN Les organisations contemporaines : le contexte « Une société sans risque est une société qui meurt » Elaboration de projet : approche préventive et globale du risque méthode d’analyse du risque état d’esprit conjuguant ambition, anticipation, intuition difficultés, aléas, oppositions  maitriser le risque à chacune des étapes Quelle part de l’intuition dans la prise de risque / prise de décision ? Il n’existe pas de crise permanente. Approche globale :

réélue sous programme de ne pas entrer en G, 4 mois après il rentre en G 8 janv 1918: discours 14 points → très idéologique : max commerce et ↘ contrôle (libéralisme: libre-échange: pas de taxes, douanes) = liberté d'éco échange commerce : fin diplomatie secrète, armée min = sécurité, paix : colonialisme remis en cause = fin colonies = liberté peuples à disposer d'eux-mêmes Modèle de l'Etat-Nation: chaq peuple à un Etat qui doit ê en sécurité et les laisser frontières trkl : + imp: assemblée

sécurité absolue ? I – La transformation des menaces classiques A. La Guerre froide, l’âge d’or de la sécurité En 1945, nucléaire paraît devoir changer la conception de la sécurité : arme que l’on ne peut pas employer, vanité des frontières, arme défensive reposant sur dissuasion et sur MAD (destruction mutuelle assurée) Cependant, guerre froide apogée de la conception classique de la sécurité : menace avant tout militaire, menace territoriale, menace étatique. pour assurer la sécurité, course aux

le faire. + Par ailleurs, ils désirent également prolonger ce qu’on appelle la vision « messianique » des États-Unis, c’est à dire une Amérique qui favorise la démocratie contre la tyrannie, y compris par la force lors de « guerre préventive », pour lutter contre le terrorisme et les régimes menaçants et dans le but d’accélérer ce processus de « maturation politique » : la mise en place d’un régime démocratique. Certes pour des raisons morales, mais aussi et

instaure une interdiction irréversible du recours à la force sauf dans le cas de l’exception de légitime défense (I). Mais si en pratique l’attitude des États confirme leurs engagements, entre en jeu le débat de l’usage de la force pour une action défensive ou dans l’anticipation d’une agression : quand l’action du Conseil de Sécurité rend elle caduque les interventions étatiques (II) ? I. L’affirmation progressive de l’interdiction du recours à la force L’Organisation des Nations Unies, devenue

risques de s'allier pour faire une guerre préventive Puissance comme expression de l'intérêt national Morgenthau Force et puissance Aron. Sépare critères en 4 catégories tournant autour de la force militaire Soft power Nye. Usage de la force = contre-productif Puissance structurelle Susan Strange, 4 piliers : sécurité, financiers, économiques, savoir Substitue la sécurité à la puissance Kenneth Waltz Sécurité sociétale Caractéristiques de la diplomatie Ulman et Buzan Public / direct / Multilatérale

s'engage à ne pas initier de guerre chimique. Toutefois, précise John Hart, "un Etat peut 'répondre en nature'", c'est-à-dire utiliser des armes chimiques s'il est attaqué par de tels moyens par un autre Etat ou une coalition militaire. La nature "défensive" ou "offensive" d'un programme de développement d'armes chimiques est évaluée selon les termes de la CIAC et de la Convention de 1972 sur l'interdiction des armes bactériologiques et sur leur destruction (PDF). La question fait toutefois débat. "Certains