La Division Du Travail Platon

QUESTION #1 La pensée de la division du travail n’est guère nouvelle, elle a passé dans l’esprit de grands philosophes tels que, Aristote, Platon, Xénophon, etc., à l’ère de l’Antiquité grecque. Mais l’histoire attribue à A. Smith, l’instauration des principes de la division et de la spécialisation du travail. Ceux-ci ont pour effets d’augmenter la vitesse de fabrication, rendre les employés plus performants à la réalisation de leurs tâches et de leur permettre de pouvoir innover dans celles-ci

ce que l’on veut." : Paul Valéry 10) LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE "Le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité." : Karl Marx "Le travail est désir refréné, disparition retardée : le travail forme." : Hegel “Le vrai travail est avec l’homme; c’est le travail des champs et des jardins, les heureux échanges formés sous le regard, et la division du travail, mais non point poussée jusqu’à la division des hommes.” : Alain "Mais ce qui distingue

que l’on veut." : Paul Valéry 8) LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE "Le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité." : Karl Marx "Le travail est désir refréné, disparition retardée : le travail forme." : Hegel “Le vrai travail est avec l’homme; c’est le travail des champs et des jardins, les heureux échanges formés sous le regard, et la division du travail, mais non point poussée jusqu’à la division des hommes.” : Alain "Mais ce qui distingue

dénominateur commun pour toute l’Europe. Le christianisme est une religion révélé !! II) Bibliographie Histoire des idées politiques, Dalloz Les grandes œuvres politiques, Jean Jacques Chevalier, chez Armand colin + acheter la République de Platon chez folio 1ère PARTIE : LA GRECE ANTIQUE Introduction Pour notre société occidentale, l’histoire des idées politiques prend son départ avec la Grèce antique. Donc on a tout un héritage apparent, qui remonte à ce legs de l’antiquité grecque

La société et les échanges Introduction 1 I. L’échange est le fondement de la société 1 A. L’échange permet de satisfaire les besoins individuels (Platon) 1 B. Communauté et société (Durkheim) 3 C. L’économie est imbriquée dans la société (Polanyi) 3 II. Les limites de l’échange 4 A. Le don (Mauss) 5 B. Les types d’échanges 5 C. Le concept d’échange 7 III. Echange, valeur et justice 9 A. Les théories de la valeur 9 B. A qui profite l’échange ? 10 C. Echange et aliénation : le fétichisme

LE TRAVAIL I/ ESSENCE ET FIN DU TRAVAIL : TÂCHE SERVILE OU MOYEN D'ACCOMPLISSEMENT DE SOI ? A/ des contraintes en vue d'une satisfaction vital et hédoniste (morale hédoniste : carpe diem) le premier but du travail est le travail autarcique, il nous faut subvenir à nos besoins vitaux en renonçant à la consommation immédiate, consacrer temps et effort pour une satisfaction à venir Mythe du paradis terrestre, Adam et Eve condamnés à travailler, travail=châtiment division du travail, l'échange

ARISTOTE CHEZ PLATON Extrait d’un ouvrage non publié de Bernard SUZANNE écrit en 1993 et intitulé « Le philosophe retrouvé, une (autre) lecture des dialogues de Platon » (les notes identifiées par des lettres minuscules ont été ajoutées en 2009 et sont regroupées à la fin du document). « – Qui donc, dit-il, me répondra ? Serait-ce le plus jeune ? Ce serait lui qui aurait le moins tendance à partir dans tous les sens, et qui répondrait le plus volontiers ce qu’il pense ; et en même temps, chacune

homme public, c’est un homme politique, qui vit au milieu de la cité. Pour Platon comme pour Aristote et d’autres, « l’éducation est le reflet des lois » (Platon) : l’éducation est portée par la vie politique. Pour les Grecs, faire des lois, organiser la société, c’est déjà faire preuve d’éducation. L’éducation est au cœur même de la société. Aristote disait que « l’homme est un animal de la société ». Le but de Platon n’était pas d’écrire ni d’être philosophe, c’était de diriger la cité. Mais

La société et les échanges Introduction 1 I. L’échange est le fondement de la société 2 A. L’échange permet de satisfaire les besoins individuels (Platon) 2 B. Communauté et société (Durkheim) 3 C. L’économie est imbriquée dans la société (Polanyi) 4 II. Les limites de l’échange 5 A. Le don (Mauss) 5 1. Don et contre-don 5 2. Le potlatch (le pouvoir de donner) 5 B. Les types d’échanges 6 1. Les biens, les femmes et les mots (Clastres) 6 2. Mariage

1. LE STATUT DU PLAISIR DANS LA PENSÉE ANTIQUE ET MÉDIÉVALE : PLATON, AUGUSTIN D’HIPPONE ET THOMAS D’AQUIN Marion Duvauchel Professeur certifiée en lettres, docteure en philosophie Introduction Un préjugé largement répandu veut que la disqualification du plaisir soit un héritage de la pensée chrétienne. Cette disqualification est souvent largement attribuée à saint Augustin et il est vrai qu’il a légué à la pensée philosophique chrétienne une notion difficile : « la chair », chair vouée aux