La Folie des grandeurs

Cette grandeur de Don Quichotte apparaîtra plus nettement au moindre déplacement de l'intention parodique de l'auteur vers son propos politique. Car les pérégrinations du personnage seraient seulement ridicules si le monde qu'il parcourt était exempt lui-même de folie. Mais la déraison de ce temps est d'un autre acabit, qui fait du chevalier l'apôtre obstiné d'un Idéal désormais dépassé. Comme le note Georg Lukács, avec Don Quichotte, "la sublimité devient folie" parce que cette sorte d'être ne peut

l'aveuglement des hommes ? Cet objet d'étude porte sur la question de l'homme. L’homme est un des grands sujets auquel les écrivains, depuis l'Antiquité, ont consacré leur réflexion. Le corpus est constitué de quatre textes : il s'agit de Éloge de la folie, datant de 1511 et écrit par Érasme. Il est humaniste et dénonce que la religion se sert des faiblesses humaines. « Le divertissement », issu du livre Pensées rédigé en 1669, fragment 126 de Pascal. Cet écrivain fait parti du classicisme. Il étudie

à l’ensemble du genre humain. Mais cette solitude semble mener Victor à la folie. Sa création génère un déchaînement de passions, s’accompagne d’une frénésie créatrice. Son isolement l’écarte du monde des Hommes, le rend inhumain par cette folie dans la frénésie de la grandeur et de la démesure ; il devient presque le monstre. Ainsi apparaît l’idée de « cellule solitaire », d’enfermement, de cloisonnement propice à la folie. Ne deviendrait-il pas lui-même la bête, l’animal à enfermer ? Victor prend

Napoléon Ier) et à une satire par contraste (Hugo oppose la grandeur du tigre à la petitesse du singe). Il s’agit d’une fable, c’est-à-dire à un texte allégorique qui demande à être décrypté : le tyran est représenté sous la forme d’un « singe », c’est-à-dire comme un imitateur et comme un être vil et grossier, tandis que Napoléon Ier est implicitement comparé à un tigre : animal autrement redoutable… Le singe apparaît dénué de toute grandeur : il n’est qu’un « brigand » qui répand autour de lui non

rire >< font rire. Répétition de la racine « semble » D’après St Thomas, il faut préférer les riches aux pauvres.  Les vrais chrétiens respectent les folies (les conventions sociales) par respect pour la volonté de Dieu. Ex de la folie : la préférence des riches s’expliquent par le respect du bon chrétien. Exemple historique de Percée qui, vaincu par Paul Emile, avait demandé de ne pas être trainé dans son triomphe. Seule solution : la mort, mais il ne s’est pas tué.

– ELOGE DE LA FOLIE - ( Erasme -1511) 16ème. Renaissance – Humanisme Erasme : théologien néérlandais (1469- 1536) Homme de lettres, ordonné prêtre en 1492 Grand voyageur, connait Thomas More (philosophe inventeur de l’Utopie) Grande liberté de penser, chrétien convaincu mais critique du clergé et des papes dont le comportement est contradictoire avec Evangiles (pauvreté, chasteté, humilité) Œuvre importante, surtout correspondance avec princes, prélats de nombreux pays. Ecrit en LATIN

six romans et plus de trois cent nouvelles. Ses œuvres retiennent l’attention des lecteurs par leur grandeur réaliste, la présence importante du fantastique, et par le pessimisme d’un auteur face à la société de son temps, mais aussi par une maîtrise stylistique reconnue. Mais la carrière de Maupassant ne durera qu’une décennie, c’est-à-dire de 1880 à 1890, avant qu’il ne sombre dans la folie, folie qui précipita sa mort à l’âge de 43 ans. Il fut cependant reconnu de son vivant, et, renouvelée par

Qu'il s'agisse d'un Essaie fantaisiste et ironique comme L'éloge de la folie d’Érasme d'un roman parodie d'épopée comme Gargantua de Rabelais ou d'une autobiographie des Essaie de Montaigne ces 3 textes pourtant de date différente porte la marque des valeurs humanistes tantôt le lecteur les déduit par opposition avec des personnages peints négativement car il l'ai boffaient. Pour l'humaniste l'avis dont être marqué par la juste mesure et l'équilibre, ces valeurs prennent la forme du « bon sens »

caresserai, bouchonnerai, baiserai, mangerai  » -Il connaît imparfaitement les gestes de la tragédie, « Un côté de cheveux », cette réplique montre le décalage burlesque de la scène. Dut à la bassesse morale de ses répliques, il ne possède pas la grandeur tragique des héros cornéliens français - Il utilise une image pleines de préjugée, une image rétrograde de la femme cf métaphore animalière 3. Pour nourrir une scène comique - Arnolphe apparaît comme un personnage versatile changeant d’humeur

confirme cette référence. Dans cette pièce de théâtre, elle est amoureuse d’Hamlet mais sombre dans la folie se croyant abandonnée par son amant et se noie. Rimbaud reprend le lieu « grands monts de Norwège » à la ligne 19 ainsi que le thème de la noyade « La blanche Ophélia flotte » à la ligne 2 et de la folie « ô pauvre folle » à la ligne 29. Il accentue par de nombreuses hyperboles la grandeur de ce personnage : « grand lys » ligne 2, « grand front » ligne 12, et « grande chevelure » ligne 21.D’autre