La Goulue

personne qu’il rencontre dans son chemin vers Voreux. la fosse de Voreux : “Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, lui semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde”. Etienne Lantier, venait de se faire renvoyer pour avoir giflé son chef et qu’il traînait sur les chemins à la recherche d’un emploi depuis huit jours. II (p.72-83) Les Maheu, qui travaillent depuis

réelle ou fantastique, on ne peut se le préciser au début de l’extrait. En tout cas une forme ambigüe, vivante parce que capable de respirer. L’image se précise au fur et mesure que l’on avance dans notre lecture. On décèle plus clairement une bête goulue accroupie là pour manger le monde avec l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine. Ce qui se dégage de ces descriptions, outre le sens aigu du détail dont fait preuve le romancier, c’est une impression angoissante. Ces lieux froids, sombres

a souhaité que cette ouvrage soit condamné ce qui n'a pas été accompli. *extrait de Pantagruel : Pantagruel fils du géant Gargantua perdit sa mère en venant au monde.On lui donna pour l'allaiter un troupeau de vaches laitière, mais il était si goulu qu'il ne se contentait pas de sucer le lait et qui lui arrivait parfois de les dévorer vivantes... ou « Peu de temps après le bon Pantagruel tomba malade et eu tant mal à l'estomac qu'il ne pouvait boire ni manger, et puisque un malheur ne vient

n'y a pas de structure juste. L'auteur joue aussi sur l'opposition entre l’appétit des "vers" et la répulsion du lecteur envers cette scène rebutante. Cette idée ce traduit dans le texte par de nombreuses répétitions des termes "vers", "mangés", "goulus". La réitération du mot "vers" permet également à l'auteur de jouer sur les mots entre le vers poétique et la créature animale. Enfin, la description du corps est macabre et terrifiante, puisque le poète, grâce à l'hypotypose, nous donne le sentiment

même m'en douter, bah! ça conserve." Zola décrit la fosse, un lieu effrayant "Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde." Les bâtiments sont mal éclairés, pleins de trous noirs inquiétants avec la complication de leurs salles et de leurs étages. Zola raconte la façon dont Etienne Lantier découvre ces lieux effrayants. Après avoir

mines, creuser dans des positions difficiles… La fosse est un lieu effrayant : « Cette fosse, tassée au fond d’un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde. 2) Le développement de la société

mangé de vers,Décharné, dénervé, où les os découverts,Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l’une des mains tombe de pourriture,Les yeux d’autre côté détournés à l’enversSe distillent en glaire, et les muscles diversServent aux vers goulus d’ordinaire pâture : Le ventre déchiré cornant de puanteurInfecte l’air voisin de mauvaise senteur,Et le nez mi-rongé difforme le visage ; Puis connaissant l’état de ta fragilité,Fonde en Dieu seulement, estimant vanitéTout ce qui ne te rend plus

réalité de cette scène aux yeux du lecteur. Pour rendre réel, sollicitat° des 5 sens du lecteur : - Vue : + abondamment solliciter -> yeux - Odorat : puanteur -> nez - Toucher : mains, « dépulpé, décharné, ventre déchiré » - Goût : « rongé de vers, vers goulus, mangé » - Ouïe : « rongé, déchiré » : les allitérat° & les assonances produisent les don grouillant des vers. C. Décomposition dynamique - La main « tombe », les yeux se « distillent » rappel qu’il s’agit d’un corps non pas pourri mais pourrissant

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narrateur nous avertit que ces lecture de livres « salit » puisque il dit « elle se graissa les mains » pourtant cela ne touche pas Emma qui « avalait de longs chapitres » de ses livres(intervention du narrateur qui est en faite Métaphore de l’ingestion goulue de livre ce qui montre encore que ses livres ne font ps réfléchir et le peut de biens qu'en pense le narrateur) à un tel points que elle est fasciner par le milieu aristocratique et qu'elle se voit personnage de roman « elle aurait voulu vivre »