La Nouvelle Revue française

répond dans cette biographie extrémement documentée et précise le journaliste et biographe Pierre Assouline. Au long des 484 pages des éditions Balland, l’auteur explore le parcourt unique de cet éditeur mais aussi « un demi siécle d’édition française ». L’ouvrage se compose d’un avant-propos et de dix époques. Né le 18 Janvier1881, Gaston Gallimard, premier fils d’une famille fortunée de rentiers , rompra rapidemment avec avec son père et ses études au lycée Condorcet, où il rencontre Roger

collabore avec lui à la rédaction d’un ouvrage sur « Brest Port Transatlantique Européen ». SON ŒUVRE « Le Grand Meaulnes », le roman qu’Alain Fournier portait en lui et travaillait depuis plusieurs années paraît en 1913. D’abord dans la Nouvelle Revue Française (de juillet à octobre 1913), puis en volume chez Emilie-Paul. Il est salué par la critique, comme un chef-d’œuvre mais manque de peu le pris Goncourt. « Le Grand Meaulnes » d’Alain Fournier est classé à la 9ème place des 100 meilleurs

(elle maîtrise le japonais oral) et songe à s'y installer définitivement. Elle entre dans une grande entreprise japonaise et y reste un an. Une expérience malheureuse qu’elle romancera dans Stupeur et tremblements qui sera couronné par l'Académie française. Après cela, elle rentre en Belgique et envoie le manuscrit de son roman Hygiène de l'assassin à de nombreux éditeurs. Albin Michel le publie en 1992. La critique est rude avec elle : il est mis en doute qu'elle ait écrit seule ce roman, soi-disant

avec Roger Martin du Gard, Paul Valéry ou Francis Jammes, amitiés qui s'effaceront parfois au fil du temps, comme celle qui fut intense et tourmentée avec Pierre Louÿs. Il crée avec ses amis La Nouvelle Revue française dont il est le chef de file et joue alors un rôle important dans les lettres françaises. Parallèlement, il publie des romans sur le couple comme L'Immoraliste en 1902 ou La Porte étroite en 1909 qui le font connaître. Ses autres romans publiés avant et après la Première Guerre mondiale

Martin du Gard, Paul Valéry ou Francis Jammes –, amitiés qui s'effaceront parfois au fil du temps, comme celle de ses jeunes années, intense et tourmentée, avec Pierre Louÿs. Il crée avec ses amis La Nouvelle Revue française dont il est le chef de file et joue alors un rôle important dans les lettres françaises. Parallèlement, il publie des romans sur le couple comme L'Immoraliste en 1902 ou La Porte étroite en 1909 qui le font connaître. Ses autres romans publiés avant et après la Première Guerre mondiale

» 18. ARTUR José, Parlons de moi, y’a que ça qui m’intéresse : « La radio et la télé resteront toujours, avec ou sans image, de la parole alternée avec de la musique, des mots et des notes, rien de plus. » 19. ATTALI Jacques, Fraternités – Une nouvelle utopie : « La parole est la première démonstration de la nécessité de l’autre. » 20. ATTLEE Clément : « Démocratie, ça veut dire gouvernement par la discussion, mais ça n’est efficace que si vous pouvez couper la parole aux gens. » 21. AYME Marcel

continuer, je vais continuer ». -L'œuvre est un témoignage sur la fin d'un monde. Témoin perspicace de son époque, Samuel Beckett a annoncé la fin de l'art (En attendant Godot) et la fin d'une époque marquée par la prééminence, en Europe, de la culture française (Fin de partie). -A partir de 1944 et jusqu'à sa mort, Beckett écrira en fait une œuvre bilingue ; il ne s'agit pas d'un passage définitif au français mais à une coexistence assez équilibrée entre les deux langues, avec toutefois une certaine prédilection

comme enseignant de français. A son retour en France, Giraudoux devint secrétaire particulier de Maurice Bunau-Varilla, qui dirigeait le journal Le Matin. C'est là qu'il commença à écrire des nouvelles et à s'insérer dans la scène littéraire parisienne. Il publie « Provinciales » (1909), recueil de nouvelles sur la vie dans les petites villes de province, et « L'école des indifférents » en 1910. En 1910, il intègre le ministère des Affaires étrangères, où il fit carrière, seulement interrompu par

dans l’organe des étudiants de l'Action française, L'Étudiant français. Avec Pierre Bénouville, André Bettencourt et François Mitterrand, il fait aussi partie de ces étudiants résidant à l’internat des pères maristes (situé au 104, rue de Vaugirard à Paris) qui fréquentent les chefs de La Cagoule sans adhérer forcément à la formation d'extrême droite. Parallèlement, il publie quelques nouvelles dans La Nouvelle Revue française et La Revue du siècle, nouvelles d’où ressort l’influence de Giraudoux

yeux se révulseront et il s’oubliera dans une jouissance indicible. Quand tu le verras ainsi désarmé et à ta merci, ne le tue pas mais retiens que toi seule pourras l’envoûter de la sorte, chaque fois que tu le voudras, toi. Ce pouvoir, c’est l’arme nouvelle que je vous laisse. Dis à toutes mes filles, le moment venu, qu’elles en fassent bon usage et qu’elles n’oublient jamais que nous sommes en guerre et que la paix des hommes ne sera jamais qu’une paix de dupes!». In La guerre des femmes (Nei Abidjan