La Nuit De Mai Le Pélican

Boussakour Yassine 5 A [pic] Mon anthologie poétique Le 09 mai 2011 Introduction Depuis la nuit des temps l'Homme accorde aux oiseaux des sy mboles aussi importants que variés : force, pouvoirs surnaturels,grâce, signe de bon présage ou messager de la mort, etc

extrait de La Nuit de Mai Les deux premiers vers énoncent la thèse romantique de la souffrance comme moteur de la création : "Les chants désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots." Cela rappelle au passage que Chant = poésie lyrique, expression sentiments intimes, mélancoliques. Il y a là quelque chose qui peut paraître malsain, de masochiste ("Laisse-là s'élargir, cette sainte blessure") : nature tourmentée du poète. Les deux vers 3.4 présentent

Le corpus soumis à l’étude est composé de quatre poèmes des XIX et XXe siècles. Ils partagent le thème commun de présenter un animal comme métaphore du poète (c’était écrit en haut du sujet !!!). Musset dans « Le Pélican » extrait des Nuits de Mai publié en 1835, Baudelaire dans L’Albatros extrait des Fleurs du Mal publié en 1857 , Corbière avec « Le crapaud » extrait des Amours jaunes publié en 1873 et enfin Roubaud (le seul poète du XX e siècle dans ce corpus) avec « Le Lombric » extrait des Animaux

Question de Corpus Quelle métaphore le poète offre-t-il de lui-même ? Le corpus est constitué de quatre textes littéraires et sont tous les quatre des poèmes. Le premier texte est un extrait du Pélican du dramaturge Musset paru en 1835 dans son recueil La Nuit de Mai écrit en quelques jours sans dormir à la suite d’une rupture amoureuse. Le deuxième texte est « L’albatros » de Charles Baudelaire paru en 1859 dans le recueil Les Fleurs du mal. Le troisième texte est « Le Crapaud » de Corbière paru

choisi « Le pélican » de Musset originaire du recueil « La nuit de mai ». Il dévoile au lecteur la peine qu'un poète peut avoir pour créer une œuvre, et fait le parallèle avec la scène d'un pélican qui dans son nid nourrit ses petits avec ses entrailles ce qui le fait atrocement souffrir et le fait mourir. Dans ce poème Musset veut montrer ce que ressent un poète quand il compose, il est obligé de mettre tout son corps à l'ouvrage. Cette représentation est assimilée au fait que le pélican doit se vider

chacun apportant une touche unique et indispensable à notre bagage culturel. Ainsi, malgré le fait que Musset, éternel romantique, et Baudelaire, instaurateur du symbolisme, appartiennent à deux courants totalement différents, leurs deux poèmes, La Nuit de mai, extrait de Les Nuits (T.A) et L’Albatros extrait de Les Fleurs du Mal (T.B) se ressemblent par leur genre et par les deux thèmes qu’ils abordent. En premier lieu, les deux auteurs s’expriment par le genre poétique sous des formes différentes

affirmative) Correction : Le corpus soumis à l’étude est composé de quatre poèmes des XIX et XXe siècles. Ils partagent le thème commun de présenter un animal comme métaphore du poète (c’était écrit en haut du sujet !!!). Musset dans « Le Pélican » extrait des Nuits de Mai publié en 1835, Baudelaire dans L’Albatros extrait des Fleurs du Mal publié en 1857 , Corbière avec « Le crapaud » extrait des Amours jaunes publié en 1873 et enfin Roubaud (le seul poète du XX e siècle dans ce corpus) avec « Le Lombric

2) Quel point commun indissociable du statut de poète, relevez vous dans ces différents textes ? Nous allons étudier dans ce corpus 4 poèmes traitant de la métaphore entre l’animal et le poète. Ce corpus est composé du poème « Le Pélican » extrait de la nuit de mai écrit en 1835 par Alfred de Musset poète du 19ème siècle écrivain romantique, appartenant aux poètes maudits, il est également l’auteur de « La Confession d’un enfant du siècle ». Ensuite il y a le poème « L’albatros » extrait des fleurs

première idée développer si avant, on présente l’auteur Musset avec son poème « Nuit de mai ». En effet chez le poète Musset on trouve un nouveau sentiment développer qui est une souffrance. Cette souffrance est un sentiment qui est à l'origine de la création et développer dans le poème avec une personnification du personnage principal du poème qui est le pélican. L'auteur se reflète dans cet animal, il se sert du pélican pour exprimer ses sentiment dans son oeuvre. Ce sentiment de souffrance est déployer

LA MUSE. Alfred de Musset, La Nuit de Mai, 1835 Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur Mais, pour en être atteint2, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d’un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s’abattre sur les eaux. Déjà, croyant