La Nuit étoilée

« Ecoute ! – Ecoute ! – C'est moi, c'est Ondine qui frôle de ces gouttes d'eau les losanges sonores de ta fenêtre illuminée par les mornes rayons de la lune ; et voici en robe de moire, la dame châtelaine qui contemple à son balcon la belle nuit étoilée et le beau lac endormi. Chaque flot est un ondin qui nage dans le courant est un sentier qui serpente vers mon palais, et mon palais est bâti fluide, au fond du lac, dans le triangle du feu, de la terre et de l'air. Ecoute ! – Ecoute ! –

Oreiller. Ami des endormis comme de ceux qui croquent la vie,c'est toi qui nous unit quand commence la nuit. Dès que sur toi une tête se pose, immédiatement, c'est l'osmose. Grâce à ton doux duvet, on a l'impression de planer, la tête dans les cieux et les nuages cotonneux. Que tu sois de plumes rembourré ou bien de lin tressé, c'est toujours toi que nous cherchons le premier. En effet, quand tu n'es pas là, la tête se situe beaucoup trop bas et se retrouve à plat. Impossible alors

dû à la nuit étoilée, dont la terrasse ressort totalement illuminée grâce à sa lanterne qui éclaire d'un jaune étincelant qui en recouvre presque la façade de couleur verte. Cette lanterne éclaire également les pavés de la rue changeant leur teinte. Cette terrasse illuminée est remplie de couleurs chaudes et donne l'envie de s'y installer comme pour se réchauffer de la pénombre de la nuit. Au dessus du café on peut apercevoir des appartements qui se confondent avec la couleur de la nuit. On a l'impression

les plaines d’Afrique. Le premier jour était fantastique, nous avons vu toutes sortes de belles choses et le guide nous fournissait des explications sur la vie quotidienne de ces animaux. La première nuit, nous sommes installer dans un site aménager de tentes et de tables. La nuit est étoilée et nous faisons un repas sur un feu ouvert, c’était fantastique. Le lendemain matin, je me suis réveiller a l’aube. Etant la seule debout, j’en ai profiter pour me promener dans les environ et prendre plein

poèmes des textes et des dessins ; ce sont à la fois des poèmes à lire, des poèmes à voir. Apollinaire a rassemblé ses poèmes en six chapitres : « Ondes », « Etendards », « Case d’Armons », « Lueurs des tirs », « Obus couleur de lune » et « la Tête étoilée ». À l’exception d’ « Ondes », tous les titres sont une évocation de la guerre. Il a sous-titré son recueil, «  poèmes de la paix et de la guerre » : ce sont là les deux thèmes principaux évoqués par l’auteur. On peut aussi proposer un classement

« soleil » v3, « éther » v3, « sphères étoilées » v4 accession à l’infini L’expérience poétique efface la barrière de la finitude. multiplication des pluriels, ex : « les cieux » v18 éther = substance de l’univers (impalpable) = immatériel = sensation d’expansion sans limites « confins » + « sphères étoilées » = limites de l’inaccessible la dynamique de l’inspiration poétique anaphores

Lamartine (179061869)), issu du recueil intitulé « des Méditations poétiques » : Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir

sur l’aspect éphémère de l’amour. Je vais présenter ce texte d’après ses 4 strophes : Premier quatrain : Personnification de la nuit. Deuxième quatrain : C’est le lever du jour. Premier tercet : Apparition du poète Deuxième tercet : L’émotion du poète EXPLICATION DE TEXTE: Premier quatrain c’est la Personnification de la nuit. Le poète personnifie la nuit. A travers une métaphore qui représente une femme. Le tableau s’ouvre subitement sur une couleur sombre. Il utilise l’adverbe «

1 Commentaire d’un extrait du chapitre 12 de la deuxième partie de Madame Bovary de Gustave FLAUBERT : de « Quand il rentrait au milieu de la nuit… » jusqu’à « … les auvents de la pharmacie. » TEXTE 5 10 15 20 25 30 Quand il rentrait au milieu de la nuit, il n’osait pas la réveiller. La veilleuse de porcelaine arrondissait au plafond une clarté tremblante, et les rideaux fermés du petit berceau faisaient comme une hutte blanche qui se bombait dans l’ombre, au bord du lit. Charles les regardait

par une description de l'arrivée d'un personnage à Montsou. Des les premières lignes, l'auteur nous décrit l'atmosphère à l'aide de nombreuses descriptions « dans la pleine rase », « sous la nuit sans étoile »,. L'adjectif « rase » exprime l'immensité, le ride et la solitude. Le privatif « sans étoilées » décrit l'ambiance sombre et lugubre du paysage. Ceci est renforcé par l'adjectif »noir » et le terme « ténèbres ». Après la description des lieux, Zola définit le personnage. Celui-ci représente