La Politique Est Elle Nécessairement Immoral

fondement de l’ordre social. Et c’est non seulement les institutions politiques qu’elle fonde, mais également les mœurs, les tabous, les interdits, les prescriptions sociales. Mais, que les premières sociétés aient été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait «  qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion). En effet, par delà la fonction fondatrice du politique sur le théologique, la religion occupe selon Bergson une fonction idéologique

24. La morale (L - ES - S) ....................................................................................... 51 25. La perception (L) ............................................................................................... 54 26. La politique (L - ES - S) .................................................................................... 55 27. La raison (L - ES - S - Techn.) .......................................................................... 57 28. Le réel (L - ES - S) .....

fondement de l’ordre social. Et c’est non seulement les institutions politiques qu’elle fonde, mais également les mœurs, les tabous, les interdits, les prescriptions sociales. Mais, que les premières sociétés aient été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait «  qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion). En effet, par delà la fonction fondatrice du politique sur le théologique, la religion occupe selon Bergson une fonction idéologique

fondement de l’ordre social. Et c’est non seulement les institutions politiques qu’elle fonde, mais également les mœurs, les tabous, les interdits, les prescriptions sociales. Mais, que les premières sociétés aient été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait « qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion). En effet, par delà la fonction fondatrice du politique sur le théologique, la religion occupe selon Bergson une fonction idéologique

24. La morale (L - ES - S) ....................................................................................... 51 25. La perception (L) ............................................................................................... 54 26. La politique (L - ES - S) .................................................................................... 55 27. La raison (L - ES - S - Techn.) .......................................................................... 57 28. Le réel (L - ES - S) .....

faut-il respecter toute les cultures ? Deux approches : une approche absolue, générale du rapport nécéssaire obligatoire légitime et puis une approche politique avec celle du droit. On ne peux pas traiter de la même manière les cultures au sein d'un espace régis par des lois et puis traiter les cultures dans l'absolue Cela nous amène à deux définitions du respect : une version extérieure. Est-il nécéssaire de travailler à la préservation des cultures ? Cela voudrait dire qu'on ne protège pas

distinguer 2 fonctions essentiels de la règle de droit : 1er règle. Lorsque la règle de droit tend à imposer un ordre publique, elle ne peut pas être contourné. L’ordre publique c’est l’ensemble des règles considérés comme essentielles à l’organisation politique, économique, et sociale (ex payer des impôts, respecter le code de la route). 2e règle. Proposer plusieurs type de rapport économiques, familiaux sociaux. Proposé et non obligé, les individus ont le choix. Les 1er règles sont impératives, et

conflits quotidiens avec autrui sont fréquents » à l’affirmation générale, ayant valeur de loi, « ces conflits sont définitivement nécessaires ». Autrement dit, le conflit est-il l’essence du rapport à autrui? Si nos rapports avec autrui sont nécessairement conflictuels, commençons d’abord par recenser les principales formes que revêt cette relation conflictuelle et par dégager la nature, ainsi que les figures, de ce noyau conflictuel auquel sembleraient se réduire nos liens avec les autres, avant

que les droits de l'homme sont au fondement de toute action politique. Vous pouvez ainsi distinguer deux plans : la raison d'Etat peut se justifier au nom d'une nécessité, mais elle ne justifie pas pour autant moralement. Sur ces divers points, vous trouverez des indications complémentaires en vous rendant sous la rubriques FAQ et en consultant les sujets suivants : La Raison d'Etat s'oppose-t-elle nécessairement à la morale? (Politique et morale) Peut-on considérer que l'Etat a toujours raison

pas immorale de penser cela en effet, dans la mesure où cette conception de l’Histoire réfute par avance toute prétention qu’aurait l’Homme d’agir sur son Histoire, d’y accomplir des actes librement, voire d’en modifier le cours ? Est-il légitime de penser que l’Histoire se répète ou est cyclique, que l’Homme n’y devient ni meilleur ni pire, ou bien est-il plus juste de supposer que l’histoire et un progrès de l’humanité, tant au niveau technique et scientifique qu’au niveau moral et politique ?