La Vie Devant Soi Romain Gary émile Ajar

si laid et si mal fait qu’on douta longtemps s’il avait forme humaine. »), où la beauté est inversement proportionnelle à la sagesse. « J’essaye toujours de parler à l’envers, pour arriver peut-être à exprimer quelque chose qui soit vrai. » ÉMILE AJAR, Pseudo « Parce que je survole un texte célèbre, chacun croit l’entendre pour la première fois. » COCTEAU, Antigone La prose n’est pas en reste, et on pourrait évoquer ici le travail de l’écrivain italien Alessandro Baricco, qui s’est réapproprié

abandonné de tous, sauf de son voisin, Nick Carraway, le cousin de Daisy, qui nous révèle cette histoire. Romain GARY, La Vie devant soi Publié sous le pseudonyme d’Émile Ajar, ce roman valut à Romain Gary son second prix Goncourt en 1975. Histoire d’amour d’un petit garçon arabe pour une très vieille femme juive : Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne veut plus monter et contre la vie parce que « ça ne pardonne pas » et parce qu’il n’est « pas nécessaire d’avoir des raisons pour avoir

au Trésor public. A la mort de leur mère, le 5 septembre 1848, son héritage leur permet de vivre en tant que rentiers. Se croyant destinés à des carrières d'ar-tistes, ils se mettent à dessiner et à peindre à l'aquarelle monuments et paysages. La vie littéraire des deux frères débute en 1851 par l'échec de leur premier livre. Ils commen-cent le Journal, tenu par Jules. Ils deviennent ensuite journalistes. Ils publient quelques lignes dans une nouvelle. L’article sera jugé licencieux. Les deux frères

ŒUVRE L’Enfant, Guy de Maupassant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 AUTOUR D’UNE ŒUVRE La Promesse de l’aube, Romain Gary . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 AUTOUR D’UN THÈME Les étapes de l’apprentissage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

indemnité de 5 milliards de francs-or) - renouveau religieux - Commune de Paris (mars-mai, généraux Lecomte et Thomas), Semaine Sanglante (exécution de l’archevêque de Paris par les Communards, exécution en masse des Communards par les Versaillais devant le mur des Fédérés du cimetière du Père-Lachaise) - succès de l’emprunt pour la libération du territoire national - le comte de Chambord publie un manifeste affirmant sa fidélité au drapeau blanc (cf lettre de 1873, « il a flotté sur mon berceau

ROMANS Aboulela, Leila 3592A100 La traductrice ; 1 CD (8 h. 38 min.) ; Zoé, 2003 Lu par Mme L. Bovay, 2009 Histoire d'amour entre une jeune veuve soudanaise et un professeur écossais, pour qui elle traduit des textes arabes Ajar, Emile 4795A100 Gros-Câlin ; 1 CD (6 h. 03 min.) ; Gallimard, 1978 Lu par M. M. Bonneau, INCA Un homme ordinaire se noie dans l'océan de solitude de la capitale française. Comme bouée de sauvetage, il se trouve un jour un drôle de compagnon : Gros-Câlin, un serpent

incarnera jusqu’à la fin du roman, qu’il clôture aussi, un personnage ordinaire et banal, à l’existence sans passion ni relief ; dont le caractère semble donc déterminant dans le devenir de la future Madame Bovary ; héroïne insatisfaite, qui aspirera à une vie romanesque, éloignée de la médiocrité de son existence… jusqu’à se donner la mort. Plan semi-rédigé  Lire et compléter I – Une situation narrative insolite  Une entrée in média res Un narrateur personnage témoin au statut ambigu : le passage

réinterprète à sa manière. À quinze jours de la représentation, la professeuse de français qui «mettait en scène» les lâche. Arrive alors un vieux monsieur de soixante-douze ans, Émile Mosca. Retraité, marié à une femme douce qu'il n'aime pas vraiment, occupant son temps libre à faire les courses de ses voisins, il a été artiste toute sa vie, faisant du music-hall et jouant dans des opérettes, et rêve encore et toujours de théâtre, aime chanter pour les enfants. Il survient à l'improviste dans une répétition

d’adolescents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2 Récits autobiographiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 Dossier ROMAIN GARY, un auteur caméléon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 3 Figures de mères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 Atelier d’expression orale Prendre

manifester du plaisir que lorsqu’elle joue. Plaisir du jeu où le « je » peut exister, « je » sachant se soumettre aux règles du jeu qu’elle semble ignorer dans la vie sociale, scolaire et familiale. Elle semble soumise à la répétition d’actes agressifs et/ou provocants allant jusqu’à une mise en scène d’une tentative de se tailler les veines devant le public adolescent d’une cours de récréation, enfin reconnue, regardée, dans une sorte d’acte fantasmatiquement héroïque, jouant de la possible mort représentée