La Vie En Société M Empêche T Elle D être Moi Même

la société est-elle une contrainte pour l’individu ou, au contraire, une condition de possibilité de son émancipation ? Plusieurs philosophes ont des points de vue différents par rapport à cette problématique. Marx appui fortement que c’est la société qui nous définit en tant qu’être humain et qu’elle nous permet d’être libre. Nietzsche, soutient que la société est une contrainte pour l’être humain. Selon moi, la société permet l’émancipation d’un individu superficiellement, mais nous empêche d’être

Dans notre société aujourd’hui, une personne ne peut empêcher une autre de rêver, car l’action de rêver est une action personnelle que détient seul la personne en question. « On peut enchaîner un homme mais pas ses rêves, on ne peut empêcher personne de voyager ». On peut analyser cette phrase comme un simple raisonnement logique : « On ne peut pas empêcher un homme de rêver, or le rêve est un voyage, donc on ne peut empêcher personne de voyager ». Mais est-ce vraiment aussi simple et incontestable

dans une société plus sure et plus juste ? » Etant donné la délinquance et la violence omniprésente dans notre société actuelle, il est peut-être arrivé à certains d’entre nous de se poser des questions telles que : « La justice est-elle vraiment à la hauteur ? Est-il normal de vivre dans un climat d’insécurité (selon le lieu où nous vivons), et est-ce que tout cela ne se résoudrait pas par la peine de mort ? » Les avis à ce sujet sont partagés. Certains diront que la peine de mort empêche la récidive

d'obligation. Mais, l'homme sans obligation n'est pas libre, cette homme là est soumis à la loi du plus fort. Cette liberté n'est que licence. La vrai liberté permet d'effectuer ce que l'on souhaite sans empêcher à autrui de l'effectuer aussi. Cette liberté impose des normes qui permette la vie en société. La liberté est alors soumise à une obligation extérieure, lui imposant des règles et des droits à respecter. Cette obligation sert à ce que l'homme se fixe des limites. Ces limites sont intérieur à

Le travail est-il libérateur ? Dans la plupart des sociétés humaines actuelles, le travail est une nécessité pour beaucoup, puisqu’il est le seul à permettre une rémunération financière. En effet, aujourd’hui la notion de travail est liée à l’idée de production et de rémunération. Il est donc vu comme produire un effort qui sera bénéfique pour un ou plusieurs individus, contre en échange une rémunération. Ensuite, la notion de liberté peut être définie comme l’absence totale de règles, de contraintes

Autrui est le concept qu’on donne en tant qu’être humains pour définir les humains qui nous entourent et font partie de notre vie, temps sur la terre. Ce concept peut varier dans la définition, mais en générale, c’est le complément de mon essence. Se sont les êtres possédant une conscience comme celui du sujet qui font partie de l’environnement de l’homme et qui avec l’aide d’autrui il va créer la famille, l’institution sociale première, a des civilisations entières. La conception religieuse

les hommes à une divinité mais c'est aussi un être absolu qui les rassemble dans leurs croyances et leurs rites. De tout temps, la religion semble occuper une place importante dans la société. En effet, elle se trouve au centre de nombreux conflits mais aussi au centre de certaines lois sur la laïcité qui visent à faire disparaître l'appartenance à une religion dans les lieux publics. Ainsi la religion semble soulever certaines questions dans notre société car elle permet de relier les personnes mais

L’adaptation est au cœur de notre vie depuis le commencement. Que ce soit à son milieu naturel ou à la société qui nous entoure l’adaptation pose toujours problèmes. Quelles sont les limites à poser pour vivre ensemble sans perdre toute notre individualité pour autant ? A ce sujet Blaise Cendrars a écrit : « Un être vivant ne s’adapte jamais à son milieu, ou alors, en s’adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation. Vivre c’est être différent. »Cette citation est paradoxale

Faut-il être seul pour être soi-même ? Etre soi, c’est se savoir être, se savoir exister, tout en étant un être unique. C’est penser, s’apercevoir que l’on pense, savoir que l’on est. Et pour cela, je n’ai alors pas besoins d’autrui. Etre soi c’est affirmer son identité, affirmer une cohérence interne et externe de sa personnalité. Pour le psychanalyste Jung, « le soi est le lieu virtuel où s’unifient le conscient et l’inconscient, permettant ainsi la réalisation de la personnalité psychique

plusieurs ou quelque chose de diverse tandis que le nom unité évoque l’union ou bien l’homogénéisation. La pluralité des cultures désigne donc un ensemble de pratiques et de représentations propres à une société historiquement et géographiquement définie. Les cultures sont plurielles en ce sens que le mode de vie, les valeurs, les normes juridiques ou esthétiques qui les caractérisent les différencient des autres. Il est également important de souligner le pronom indéterminé « des » car, la culture s’emploie