Le travail est-il libérateur
Le travail est donc vu comme quelque chose de routinier, qui empêche de pouvoir faire ce que l’on veut. Il n’est donc pas libérateur. Ensuite, nous allons voir que le travail peut quand même être libérateur car il peut être une forme d’occupation qui permet aux hommes de faire passer le temps. En effet, le travail peut empêcher de tomber dans l’ennui, d’éviter de ne rien faire durant toutes nos journées. Il peut aussi nous occuper que ce soit en positif avec un travail que l’on aime faire, ou même en négatif avec un travail que l’on n’apprécie pas forcément mais que finalement, ce n’est pas si mal car on aurait pus s’ennuyer toute la journée en restant chez soi. Le travail a aussi comme faculté d’apprendre de nouvelles choses, de se cultiver, de rencontrer de nouvelles personnes, d’acquérir des …afficher plus de contenu…
Et le tout, permet de ne pas tomber dans un train de vie quotidien, à se lasser d’être tout le temps au même endroit. Par exemple, un journaliste peut être amené à partir à l’étranger pour son travail. Celui-ci bénéficiera des conséquences de ce déplacement tel que de voyager à l’étranger, découvrir de nouveaux pays et cela permet également de se forger de nombreuses expériences. Ou encore, un pilote de ligne bénéficie des conséquences de son travail, c’est-à-dire que quand il effectue un vol international il est en mesure de voyager continuellement à travers les quatre coins du monde. Le travail est donc libérateur selon le travail que l’on exerce et les retombées de celui-ci. On peut donc en conclure nous avons vu que d’une part le travail ne semble pas libérateur mais que d’autre part, ceci peut être