Le Cid Monologue

 Pierre Corneille est un auteur français qui vécut au XVIIème siècle. Il est connu pour avoir écrit des tragi-comédies comme Le Cid. Corneille a vécu lors de la transition entre le baroque et le classicisme. En 1936 il écrit l’illusion comique. L’écriture de cette pièce marque un tournant dans sa vie d’auteur puisqu’il n’écrira presque que des tragédies après. Cette pièce raconte l’histoire d’un père, Pridamant, à la recherche de son fils, Clindor. Nous allons voir en quoi ce texte souligne-t-il

ATELIER  DE LITTERATURE (Calabre) Corpus de documents : Corneille, Le Cid (1636),Acte I, scène 6. 1637 Racine, Bérénice , Acte IV, scène 5 , 1670 Molière, Dom Juan ou Le Festin de Pierre, Acte I, scène 2, 1665 Madame de La Fayette, La princesse de Clèves, Tome IV, 1678 http://www.tv5.org/TV5Site/publication/publi-314-le_Jeu_de_l_amour_et_du_hasard__de_Marivaux.htm Objectifs didactiques: Se familiariser avec le théâtre du XVII, passage du baroque à la tragédie racinienne. Comprendre

Khôlle n°2 : Médée – CorneilleActe 5 – Scène 2 Introduction : Ce monologue est extrait de la première tragédie de Corneille, Médée, composée en 1635. Personnage emblématique de la mythologie grecque, Corneille n’est pas le premier à prendre comme inspiration Médée, puisque Sénèque en latin et Euripide en grec s’étaient déjà emparés de l’héroïne dans leurs tragédies. Il met en scène Médée face à un dilemme, spécialité de Corneille (dilemme cornélien). Acte 5 Scène 1 : D’un coup de baguette

change en monologue. Il peut s’agir alors d’une longue tirade que récite un personnage seul sur scène, comme s’il se parlait à lui-même. Dans une pièce en vers comme le Cid, il peut arriver qu’un monologue soit constitué d’un ensemble de strophes en vers de longueur variée. C’est le cas à l’acte I, scène 6, où Rodrigue réfléchit sur un sujet grave. Les vers sont alors de longueur variable, mais leur ton est personnel et émouvant. Ce sont desstances.      Il faut comprendre que le monologue est le seul

l'interruption (texte 1). ET REPRÉSENTATION  La tirade d'un personnage seul en scènes s'appelle un monologue ; il s'adresse à lui-même, mais aussi au public. Le monologue permet à un personnage de faire le point sur sa situation, d'exprimer son trouble, de dévoiler son état d'âme au spectateur. Il se présente parfois comme un dialogue simulé, avec des questions ou des destinataires différents (ex : la monologue de Coelio au début du texte 2).  Enfin, on appelle apartés les répliques que le personnage

registre tragique qui fait intervenir le destin ou la fatalité (force supérieure décidant de la vie humaine) et ne peut se passer de la présence sous-entendue de Dieu ou de dieux, par la noblesse d’esprit de Bougrelas aux lignes 18-19et par son monologue à la ligne 119 qui exprime son désarroi face à la mort de sa mère et de la vengeance qui repose sur ses épaules. Une part du registre polémique a été utilisé qui a permis de jouer le rôle d’armes, de violence verbales et d’effets oratoire pour la

Théramène à la fin de Phèdre de Racine). Quand le personnage est seul sur scène (ou se croit seul) et s’exprime, il s’agit d’un monologue. Celui-ci a pour fonction l’information du spectateur et l’introspection du personnage qui fait le point avec lui-même comme Figaro (Le Mariage de Figaro, acte III, scène 5) et parfois délibère comme Rodrigue dans les stances du Cid (acte I, scène 6). Le chant peut se mêler à la parole comme la danse aux gestes, par exemple dans les comédies-ballets comme Le

Rodrigue. Devant la cathédrale de Burgos le peuple rend grâce à Dieu. Le Roi annonce la victoire sur les Maures, puis, non content d’avoir armé Rodrigue chevalier, il nomme Don Diègue gouverneur du prince héritier. Colère du Comte, soufflet, monologue de Don Diègue ("O rage, ô désespoir !" ). Survient Rodrigue ; le coeur déchiré, après une apparition fugitive de Chimène, il accepte de venger son père. ACTE II- Dans une rue de Burgos, Rodrigue erre seul, abattu ; il fait nuit. Enfin il se décide

également présence de grandes tirades lyriques et de véritable morceaux de bravoure. Tous ces éléments prouvent la présence de réalisme dans le théâtre. Pour justifier l’idée, nous Epouvons également nous conférer à l’exemple de Gérard Philipe dans le Cid. I. b. Le réel est rendu par l’illusion elle-même La notion de vraisemblance évolue d’Aristote à Hugo et fonde la plupart des règles du Ethéâtre. On peut le justifier à travers l’Art Poétique de Boileau. … Les grand auteurs essaient de rendre

théâtrale Echange verbal entre plusieurs locuteurs, le dialogue théâtral se caractérise par des éléments spécifiques. On doit distinguer : a) Les répliques qui s’adressent aux différents personnages qui sont face à face sur scène. b) Le monologue : c’est le discours d’un personnage seul en scène (en se parlant à lui-même il tente de sortir d’une crise et informe par là même le public de ses sentiments). c) L’aparté : un personnage baissant la voix est censé être entendu du public, mais