Le Maréchal Joffre

fortifié: tranchée, fort... Elle se résume par «laisser l'ennemi venir». Joseph Jacques Césaire Joffre, né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et mort le 3 janvier 1931 à Paris (7e), était un officier général français pendant la Première Guerre mondiale, artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne et de la stabilisation du front nord au début de la guerre. Il a été nommé maréchal de France en 1916. C'est aussi un des responsables militaires les plus controversés du XXe siècle

tandis que les Belges se replient sur Anvers. Le 6 août, la Belgique demande de l'aide à la France. Un corps de cavalerie Sordet est envoyé immédiatement par Joffre pour reconnaître les mouvements de l'ennemi et la Vème armée Lanrezac vient soutenir l'armée belge sur la Meuse. «Après une mauvaise estimation de l'avancement allemand, Joffre change le plan XVII en insérant la IVème armée entre la Veme et la 3°IIIème, tout en procédant à des redistributions d'unités d'une armée sur l'autre pour renforcer

l'Allemagne peut s'appuyer sur l'arrière-pays industriel de Moselle et du Luxembourg. Falkenhayn n'ignore pas non plus que la place forte de Verdun est très affaiblie par le désarmement des forts et le retrait de garnisons décidés en août 1915 par Joffre. Enfin Verdun a une signification affective particulière pour les Allemands. C'est là qu'en 843 a été partagé l'empire de Charlemagne, référence commune de l'histoire française et allemande. Depuis les 2 pays se sont bien souvent disputé la place

Plicque Lieu de création France Date d'exécution 1915 Historique A appartenu à Maurice Maréchal Description Caisse en sapin sans coins * Cordier, touche et 4 chevilles en bois résineux * * Neyen & Plicque étaient menuisiers(Source : Inventaire du musée) Marques et inscriptions Marque à l'encre : ″274e Regt d'infie / en campagne - / Neyen & Plicque / 30.6.1915 ″. Signatures des généraux : ″Foch, Gouraud, Joffre, Mangin, Pétain″ Longueur totale 1410 mm Oeuvre exposée Oui Mode d'acquisition

La Première Guerre Mondiale Personnages importants : Gorges Clemenceau, Maréchal Foch (commandant en chef des Alliés en 1918) Philippe Pétain (défenseur de Verdun), Maréchal Joffre (Marne) Dates : 28 juin 1914 : assassinat de l’archiduc d’Autriche-Hongrie, François Ferdinand 28 juillet 1914 : l’Autriche déclare la guerre 6-13 sep. 1914 : bataille de la Marne 21 fév. au 15 déc. 1916 : bataille de Verdun 1 juillet 1916 : bataille de la Somme 1917-1918 : mutineries dans l’armée française

de civils, notamment lors du Génocide arménien. Opposant presque tous les Etats d'Europe, elle est l'aboutissement du nationalisme et du militarisme sur ce continent. S'achevant le 11 novembre 1918 par l'armistice à Rethondes dans le wagon du maréchal Foch, entre les deux principaux protagonistes, la France et l'Allemagne, ce conflit a profondément bouleversé l'Europe, mettant fin aux grands empires et faisant triompher le principe de l'Etat-nation, laissant le champ libre aux grandes idéologies

énoncé. La bataille de la Somme est la première bataille d’envergure franco-britannique de la Première Guerre mondiale. Lors d'une réunion de trois jours en décembre 1915, les chefs d'état-major britannique et français Joseph Joffre et Douglas Haig, prennent la décision de mener une opération commune dans le département de la Somme, près du fleuve du même nom. Elle opposera les alliés britanniques et français aux allemands. L'offensive de la Somme fait partie des tentatives

provoquant l’entrée en guerre de la Grande-Bretagne.

Les Français pénètrent en Alsace Lorraine mais bientôt la 2eme armée est battue et entraîne dans sa retraite la 1ere armée, on se bat en Champagne, les Allemands sont à 30kms de Paris. Le général Joffre forme une 6eme armée, le gouverneur de Paris utilise les taxis pour acheminer une partie de cette armée sur la Marne, les allies remportent une victoire et les Allemands se retranchent sur l’Aisne , la Somme , la Champagne.   Le premier combat aérien

Charles de Gaulle[1] que le maréchal avait alors pris sous son aile. La publication de ce livre avait pour but de faciliter l'entrée à l'Académie française du maréchal[1]. Mais en janvier 1928, Pétain chargea le colonel Audet de revoir et d'achever le manuscrit, ce qui irrita De Gaulle qui s'y opposa : « Un livre, c'est un homme. Cet homme, jusqu'à présent, c'était moi. S'il s'agit de triturer mes idées, ma philosophie et mon style, je m'y oppose et vais le dire au maréchal »[1]. La querelle entre Pétain

DELBOSC Sébastien le 4 mai 2010 30 bd Maréchal Joffre Bât Gm3 – Apt.142 21000 Dijon Tél : 03.80.74.49.09 Madame, monsieur, Je vous rédige ce courrier, afin d'exprimer mon mécontentement vis à vis de l'un de vos contrôleur. En effet, le 2 avril 2010, je prends avec ma grand mère, le TGV n°7677 de 21h28 en direction de Dijon depuis Gare de Lyon. Quelques jours avant j'avais commandé son billet de train plus sa carte de réduction sénior par internet. Le jour du voyage, nous n'avons