Le Plan Schlieffen

Constitution de la Triple Entente (France + Royaume-Uni + Russie) et de la Triple Alliance (Allemagne + Autriche-Hongrie + Italie). Les membres de ces 2 blocs antagonistes s’attachent à resserrer leurs liens. • 1912 → France et RU avaient mis au point un plan de coopération militaire. L’Allemagne et l’AH renforçaient aussi leurs liens. • Phénomène de course aux armements observable dans chaque pays. Allemagne → armement naval. Double power standard → la flotte du RU doit être égale à la somme des flottes

allemands vont réagir et les belges vont se sentir inquiétés notamment lo rsqu’ils entendent, grâce à l’espionnage, que l’état allemand envisage comme stratégie si il y a une guerre con tre la France, de passer par la Belgiq ue = plan Schlieffen (appliqué en 1 914). Un autre facteur de tension était le fait que la Belgique se retrouve coincée entre deux blocs diplomatiques et militaires : o L’Entente Cordiale 1907 (France + Grande-Bretagne + Russie) o La Triple Alliance 1 882

l’Atlantique Nord étaient d’un intérêt stratégique évident pour la flotte allemande et ses sous-marins. Hitler, cependant, ne manifesta que peu d’intérêt pour ce projet avant janvier 1940. À ce moment, les conditions météorologiques, défavorables au plan d’invasion brutale des Pays-Bas et de la Belgique, l’incitèrent à reconsidérer ses positions et à modifier l’ordre des opérations. Selon les études des experts, il était préférable de prendre la Norvège en débarquant simultanément dans les villes portuaires

qui, avec l'aide de Bismarck, réussirent à faire retirer les troupes du tsar Nicolas II de la Bulgarie. Cette crise bulgare eût trois principales conséquences, à savoir la fin de la Ligue des trois empereurs, l'affaiblissement de l'Allemagne sur le plan de la médiation qui prit parti contre la Russie, ainsi que la fin du traité de contre-assurance (entre l'Allemagne et la Russie). La diplomatie menée par Bismarck connu là son premier véritable échec. Otto Von Bismarck fut démis de ses fonctions en

Les états vainqueurs, c’est la Russie qui gagne la Finlande, une partie de la Pologne dont les intérêts sont territoriaux. L’Angleterre est vainqueur dont les intérêts sont maritimes, elle gagne l’île de Malte ( petit et totalement stratégique sur le plan maritime) il va donc diriger le trafique maritime, elle se fait donner des territoires coloniaux ( le Cap) en Asie ( le Sri Lanka) elle apparaît comme le principal bénéficiaire. Autre grand vainqueur la Prusse : Le plus grand des états allemands. Le

République (ministère Waddington, Gambetta est président de la Chambre ; la République est aux républicains) - l’hymne national devient La Marseillaise, les Chambres rentrent à Paris (Furet : « La Révolution française entre au port ») - début du plan Freycinet (construction de chemins de fer, jusqu’en 1914) - loi Paul Bert : les « hussards noirs » (Charles Péguy) de la République sont formés dans les Ecoles Normales (cf La gloire de mon père, Marcel Pagnol, 1957) 1880 - la République adopte

scandaleuse qu'aujourd'hui. Mais personne n'a vraiment voulu la guerre, ou même accepté clairement l'idée d'y recourir. Dans une Allemagne qui pourtant joua un rôle funeste fin juillet 1914, quand une partie de l'État-major (dont le fameux général Schlieffen, auteur de la stratégie suivie en 1914) suggère en 1905 une guerre préventive contre la France, en profitant de l'affaiblissement momentané de son allié russe battu par le Japon, le chancelier Bülow refuse fermement. Après la seconde crise marocaine

France : Une stratégie résolument défensive derrière la ligne Maginot et les obstacles naturels ( Meuse, Ardennes) réputés infranchissables A l’invasion des Pays-Bas et de la Belgique, Gamelin croit à une simple réédition du plan Schlieffen de 1914… 2. En Allemagne, le Plan Manstein stratégie offensive, fondée sur la mobilité et la rapidité d’unités motorisées (aviation, divisions blindées) pénétration initiale en Belgique et aux Pays-Bas pour attirer le gros des forces adverses attaque ultérieure

stratégie diplomatique choisie, mais ont aussi favorisé sa rationalisation à l’extrême : puisqu’il a réussi, c’est qu’il était génial et qu’il a mis en œuvre un plan des le début. Bismarck appelle cependant la diplomatie « l’art du possible », cette approche de rationalisation à l’extrême travestit donc sa politique, puisqu’elle lui impute un plan, un but, des alliés et des ennemis déterminés. On nous dit que Bismarck se serait gagné l’amitié de la Russie à son arrivée au pouvoir fin 11862, en la soutenant

:  Une stratégie résolument défensive derrière la ligne Maginot et les obstacles naturels ( Meuse, Ardennes) réputés infranchissables  A l’invasion des Pays-Bas et de la Belgique, Gamelin croit à une simple réédition du plan Schlieffen de 1914… 2. En Allemagne, le Plan Manstein  stratégie offensive, fondée sur la mobilité et la rapidité d’unités motorisées (aviation, divisions blindées)  pénétration initiale en Belgique et aux Pays-Bas pour attirer le gros des forces adverses  attaque