Le Portrait De Javert

conservateur (ils inspirèrent à Alexandre Dumas l'histoire du comte de Monte-Cristo), attirèrent l'attention sur la lutte contre le crime. La police, garante de l'ordre politique, devint aussi le rempart de la propriété. Le Corentin de Balzac, le Javert de Victor Hugo, le Salvator de Dumas sont autant de facettes d'un mythe nouveau : le policier. Un policier qui triomphe plus par l'intelligence que par la force. En reconstituant les restes de la jument à laquelle était attelée la charrette portant

société propre à l'époque décrite. Ce sont des princes et des ducs pour Mme de La Fayette; des banquiers, des bourgeois pour Balzac; des ouvriers ou des politiciens véreux pour Zola. Dès l’incipit d’Une vie de Maupassant, ce dernier nous brosse le portrait physique mais surtout moral de Jeanne, une jeune vie chaste pleine d’espérance, d’illusions sur l’amour, sur la vie. La voila à l’âge inconfortable où l’on est souvent conduits à déformer la vie par le rêve. Les jeunes lecteurs en particulier, à

Victor Hugo que sont Javert, d’une part, et l’évêque, d’autre part. Javert est l’incarnation du regard qui enchaîne Jean Valjean à son passé : il est la chaîne qui fait de Jean Valjean un bagnard. Jean Valjean est celui qui pense et dit : « je sais ce que tu es : tu es et tu seras éternellement celui que tu étais, quelques que soient les masques qu’il te plaira de porter : tu es, tu seras ce que tu as toujours été : un bagnard. » S’il n’y avait dans le monde que des Javert, les Jean Valjean ne

Mrs. Aouda et en allant délivrer Passepartout, prisonnier des Indiens. Activité n°4 (Lecture) : Étude du portrait de Phileas Fogg (chapitre 1, p. 7 à 11 « il faut convenir que l’excentricité a du bon ! ») 1) Dégagez le plan de cet extrait et pour chaque partie, précisez ce que l’on apprend du protagoniste. 2) En quoi la description l. 17 à 39, p. 8 est-elle surprenante ? 3) Montrez que ce portrait est rédigé avec beaucoup d’humour. 4) Relevez les mots et expressions appartenant au champ lexical de l’habitude

l'on mesure le degré de vraisemblance et d'authenticité qu'il faut lui accorder. La caractérisation du personnage peut être explicite (le narrateur indique les marques de l'état-civil qui fixent les distinctions sexuelles et sociales, il brosse les portraits ou analyse les ressorts psychologiques qui dépeignent un caractère), mais elle est plus souvent implicite : les connotations attachées aux noms mêmes, les combinaisons narratives, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre

Je repris mes sens signifie « je repris mes esprits ». • sentir un frôlement ; sentir à mon côté, mon sabre ; on ne sent plus son cœur : ici, le verbe sentir renvoie à des sensations physiques, tactiles ou physiologiques. Le portrait démoniaque Nicolas Gogol, « Le Portrait » Livre de l’élève, p. 58 à 60 Préparer la lecture L’adjectif démoniaque signifie « lié au démon », «  méchant  », «  mauvais  ». Il est formé sur le nom démon. Synonymes : diabolique, satanique, infernal, endiablé… Dégager

l'on mesure le degré de vraisemblance et d'authenticité qu'il faut lui accorder. La caractérisation du personnage peut être explicite (le narrateur indique les marques de l'état-civil qui fixent les distinctions sexuelles et sociales, il brosse les portraits ou analyse les ressorts psychologiques qui dépeignent un caractère), mais elle est plus souvent implicite : les connotations attachées aux noms mêmes, les combinaisons narratives, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre

désillusion ? 4. Est-ce que le fait de montrer les faiblesses d'un personnage de roman conduit nécessairement le lecteur à le mépriser ? 5. Dans le roman, peut-on dire que les scènes de la vie sociale nous en apprennent autant sur les personnages que leur portrait physique et psychologique ? 6. Dans quelle mesure le personnage de roman donne-t-il au lecteur un accès privilégié à la connaissance du cœur humain ? 7. Julien Sorel, Milady, la Thénardier : nombreux sont les personnages de roman qui n'inspirent

d’emprisonnement décents, ou le fait que tout séjour en prison doit être destiné à permettre une réinsertion future tandis que faire de la violence sur les prisonniers.· en ce qui concerne le rôle de la police, il apparaît dans Les Misérables avec la figure de Javert et la connotation que Victor Hugo lui donne est plus menaçante que protectriceUn roman exemplaire ayant marqué à jamais l’histoire de la littérature française· s’on save qu'il y a une dimension de témoignage sur des problèmes concrets, on peut aussi

la pensée de l’auteur, publiés, l’un en 1831, l’autre en 1835 et le dernier en 1837. Ce livre les continue. Seulement, dans “Les rayons et les ombres”, peut-être l’horizon est-il plus élargi, le ciel plus bleu, le calme plus profond.» Traçant le portrait du poète idéal, Victor Hugo dit la raison, à la fois de cette identité des thèmes et de leur diversité : «Rien de plus divers en apparence que ces poèmes ; au fond, rien de plus un et de plus cohérent. Son oeuvre, prise dans sa synthèse, ressemblerait