Les Amants du Flore

principal, comprend que l’atavisme familial le poursuit encore. Lecture Cet extrait est constitué de deux paragraphes. Le premier présente Jacques Lantier aux prises d’une pulsion meurtrière au moment où il a voulu embrasser une jeune fille, Flore. Le second propose à travers la réflexion du personnage l’explication et la compréhension de son besoin de tuer. Nous étudierons dans un premier temps l’importance du discours indirect libre, puis la description de la « bête humaine ». Enfin, nous

compagnie de l'Ouest, se présente chez les Misard. Sa tante, Phasie, lui confie ses soupçons : son mari cherche à l'empoisonner pour récupérer un héritage qu'elle tient caché. Lantier, troublé par la présence de Flore préfère quitter la demeure. Il se souvient : un soir alors que les deux amants s'embrassaient, Jacques dû réprimer une bien morbide pulsion, un besoin de meurtre. Alors qu'il erre le long de la voie ferrée, Jacques aperçoit un homicide dans un train. Ses soupçons sont confirmés quand il

exceptionnels par sa richesse écologique, comme le Parc National de Doñana, un des plus grands sols humides de l'Europe et refuge de milliers oiseaux, de Montagne Enneigée avec de beaux paysages et une grande diversité flore et faune grâce à ses alentours maritime, dont le lit marin attire aux amants de la plongée.

conclut par un non-lieu. Tandis que les relations du couple Roubaud-Séverine se dégradent, la liaison de Jacques et de la jeune femme provoque la jalousie de Flore, amie d'enfance de Jacques et secrètement amoureuse de lui. Fille des garde-barrière, elle fait dérailler leur train et, les voyant tout de même sains et saufs, se suicide. Les deux amants s'apprêtent à supprimer Roubaud, qui gêne leur amour, mais c'est Severine que Jacques tuera, repris par sa névrose criminelle. Roubaud et Cabuche, un homme

Flore, amoureuse de Jacques Lantier, est devenue folle de jalousie depuis qu’elle a découvert la liaison du jeune homme avec Séverine. Pour se venger, elle provoque un spectaculaire accident de train qui doit entraîner la mort des 2 amants. Nous assistons ici à la mort de la Lison, la locomotive de Jacques à laquelle, il est très attaché et nous constatons aussi par un effet de miroir l’effet que produit cette mort sur ceux qui y assistent. La lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait

alourdit les membres et qui durcit les jointures » décrit les effets de l'âge sur une personne, ce qui une fois de plus, personnifie la machine. A travers cette personnification, Jacques montre la machine comme un être humain mais aussi comme une amante car il lui donne un nom féminin « la Lison », ce qui prouve le lien fort qu'il a avec elle. Ce lien apparaît également dans la phrase « la pauvre Lison » à valeur hypocoristique. L'apposition concessive « elle toujours si luisante » avec l'insistance

un non- lieu.      Tandis que les relations entre Roubaud et Séverine se dégradent, la liaison de Jacques et de la jeune femme provoque la jalousie de Flore, amie d'enfance de Jacques, et secrètement amoureuse de lui. Fille des gardes- barrières, elle fait dérailler le train et, les voyant sains et saufs, se suicide. Les deux amants décident de supprimer Roubaud qui gène leur amour, mais c'est Séverine que Jacques tuera, repris par ses pulsions meurtrières. Il s'enfuit alors que Roubaud et

Peiade qui a pour but d'enrichir la langue française. C'est un poète de cours qui dédie ses livres à cassandre, Helène, et Marie C'est un sonnet en alexandrin qui parle de la mort de sa femme aimée, marie (paysanne) et aussi, de Marie de Clèves (amante d'Henri III) Comment ce poème rend il hommage à la femme aimée? Nous allons pour répondre à cela parler du deuil du poète et de la célèbration de la beautée de la femme Axes : (fait par ma prof) I Situation présente : Le deuil du poète - champs

Les personnages féminins Introduction Dans le roman « La Bête humaine », Emile Zola accorde une place particulière à ses personnages féminins à la fois tentatrices, amantes, susceptibles d’inspirer les pulsions les plus violentes et victimes de ces mêmes pulsions meurtrières. Fidèle à la vraisemblance du tableau qu’il veut faire de la société française du XIX é siècle, le romancier présente des femmes plutôt secondaires dans le milieu social ; en revanche, sur le plan narratif, elles

une seule de ses deux filles Flore, Louisette est morte. Grandmorin a une sœur Mme. Bonnehon qui habite à Doinville. Jacques rend visite a sa marraine tante Phasie, elle lui confie qu'elle est persuadée que son mari essaye de la tuer en l’empoisonnant a petit feu car il chercherait selon elle a lui prendre 1000francs que son ex mari lui a léguée en mourant. Après le dîné Jacques décide d'aller voir de plus près la maison du président Grandmorin, il y découvre Flore dans le jardin entrain de prendre