Les Sentiers De La Perdition

envers «  les pauvres, veuves, orphelins et menu peuple n'ayant autre biens qu'un peu de rentes » car les débiteurs ne remboursent plus leurs empreints et ces premiers se retrouvent alors démunis de tout bien. D'un autre côté, «  les usuriers ayant senti la fumée empruntèrent l'argent, de tous cotés pour frauder les créanciers ». C'est la malhonnêteté des usuriers qui rend impossible l'abolition des dettes. De plus, une société égalitaire ne

causer son arrestation et sa réincarcération. Mais à la fin, Zucco arrivera à s’évader encore une fois et disparaitra sur le toit de la prison en un éclat de soleil. L’histoire de Zucco est croisée avec celle de la « gamine » : une jeune fille en perdition qui a la toute base ne connait rien de la vie mais qui finit par « grandir » beaucoup plus vite qu’on ne pourrait le penser par rapport à son vécu. Dans la scène 3 qui est la première scène ou elle apparaît, la gamine est seule avec Zucco et

celle d’avec Salmon, un ami de longue date qui, dans « Poème lu au mariage d’André Salmon », s’est marié à Paris. Guillaume Apollinaire évoque leurs lieux de rencontre du temps de leur jeunesse, il raconte leur vécu et tels des « pèlerins de la perdition » dit-il, ils se sont perdus de vue pour ne se rencontrer à nouveau que le 13 Juillet 1913. 2) Le voyage spirituel Ici, nous faisons particulièrement allusion à la mort. En Allemagne, plus précisément à Munich, le poète se rend dans un cimetière

calme est si plein, si profond /Que le cœur en soi même l’écoute » montrent tout deux que le cœurs est intimement lié avec cette mer du fait que celui-ci peut « l’embrasser » ainsi que l’écouter. Le texte de Victor Hugo montre en la mer un lieu de perdition où peu n’en ressort vivant. « Combien de patrons morts avec leurs équipages ! » fait de la mer un lieu où l’horizon est tellement vaste que l’on peut facilement s’y perdre. Le poème de Jules Laforgue, lui, décrit le bord d’une plage brumeuse avec

d'humanisme très rupestre, l'autre, cuistot pommé qui noie son amertume et pourchasse des jeunes filles d'un soir pour ne plus avoir à donner cet amour qu'on lui a volé... deux hommes que tout oppose, et qui justement vont s'unir pour sauver une belle en perdition. Les chevaliers des temps moderne ont encore de beaux jours devant eux. Alors, certes, on peut reprocher à ce bouquin, les petites facilités prises par l'auteur. La romance. La grand-mère qui bien sûr vient vivre avec eux. Mais, c'est écrit déjà

écharpes » (serpent ?), « la resplendissante figure qui se détachait », « une chèvre, une bête de sabbat qui me regardait en riant » (Cf. rire du diable) près d’elle et qui « a des cornes de feu », « piège du démon », elle viendrait de « l’enfer ». « je sentis que le sort me saisissait » (sortilège dans ce sens là) + nombreuses comparaisons et des métaphores qui font d’elle un être surnaturel : « comme des fils d’or », « comme les rayons d’une roue », « comme une nuit d’été », « comme deux écharpes », « sa

du promeneur, l’idée est que le rêve éveillé est source de bienfait pour l’homme. Face au monde hostile, la rêverie n’est plus perçue comme un monde de perdition, au contraire, elle devient un moyen de défense et de reconstruction d’une identité fragilisée par les agressions de la vie quotidienne. Grâce à la rêverie, l’homme peut enfin se sentir lui-même. Enfin, le rêve est un outil qui permet de changer de vie. Selon certains auteurs, le rêve nous pousse à provoquer le destin et ainsi s’obliger

en mon ésprit et veint le sufoquer- Mon âme même se sentie alors blamée de part la simple existance d'êtres aussi abjectes . Se livrants aux bas plaisir, aux vains ammusemant, afin de satisfère leurs si éphémères tantations, ils parveinrent à ce que mon propre être vienne à se remettre en cause la définition d' “humain” jusqu'àlors établie et reconnue pour vraie. - Mais l'homme, imparfait, nait et demeur en la voie de la si ésante pèrdition à son propre et inappèrçu détrimant - . Je contamplais

Hypothèse renforcée par la suite de la phrase : « mes paroles firent TANT d’impression » hyperbole. « Rappelant tout ce qu’il lui restait de force » GB insiste sur le caractère craintif et faible de la jeune femme : caricature de la jeune femme en perdition, à la merci des brigands. «  se jeter à mes pieds » valorisation de GB : libérateur et garant de son « honneur » « elle pouvait compter sur moi » GB=preux chevalier Il relève la jeune femme : geste significatif, il rétablit l’égalité après

« Oh ! N'insultez jamais une femmes qui tombe... » Victor HUGO Les Chants du crépuscule, 1835. Pour l'introduction : Présenter l'auteur : Victor HUGO, chef de file du mouvement romantique (dates), écrivain polygraphe (= écrivant avec un égal talent du théâtre avec Hernani, de la poésie – lyrique ou engagée -avec les Contemplations ou Châtiments, des romans Les Misérables, des discours politiques à la Chambre, etc). Mais également un homme de combat, s'étant engagé dans de nombreuses causes