Les Thèmes De Diable Au Corps

soi-même pour étudier les phénomènes psychiques) c’est-à-dire observation intérieure de mes propres états de conscience. Pour Descartes l’homme est double : essentiellement pensée, sum res cogitans et inessentiellement corps. Tout ce qui n’est pas pensée conscience relève donc du corps. Pour Sartre l’homme est un être nécessairement conscient puis que condamné à la liberté. Du reste « il n’y a pour une conscience qu’une façon d’exister, c’est d’avoir conscience qu’elle existe ». L’inconscient psychique

Laurence Lefebvre, "Habanera, Éditions Ex Aequo 2009. Ce roman aborde différents aspects du culte vaudou dans l'océan Indien et notamment l'île de la Réunion, et contient une très belle description de cérémonie vaudou. • Kathy Reichs, Les os du diable, Éditions Robert Laffont 2009 (Devil Bones) aborde différents aspects des cultes dits occultes, le plus souvent par ignorance. • Ian Fleming, Vivre et Laisser Mourir, Éditions Bragelonne (1955 réédition 2007). Le roman original qui inspira le

-2- SOMMAIRE INTRODUCTION : 1°) La situation et argumentation de travail ________________________ p. 5-6 2°) Question de départ __________________________________________ p. 7 1ère PARTIE : CADRE THEORIQUE : 1°) La relation de soin et le corps __________________________________ p. 9-10 2°) La distance thérapeutique _____________________________________ p. 11-12 3°) L’intimité __________________________________________________ p. 12-13-14 2ème PARTIE : METHODOLOGIE : 1°) Choix des personnes

française en 1852. En retour, le poète fait des vers de circonstance et remplit des commandes. Désormais, l'enfant terrible du romantisme n'est plus; il ne reste à la place qu'un écrivain professionnel. L’oeuvre Pièces du théâtre • La Quittance du diable (1830) • La nuit vénitienne (1830) • La Coupe et les lèvres (1831) • À quoi rêvent les jeunes filles (1832) • André del Sarto (1833) • Les Caprices de Marianne (1833) • Gamiani ou deux nuits d'excès (1833) • Lorenzaccio (1834) • Fantasio (1834)

déchire la liste des courses » (p. 23). Il multiplie, dans sa nar­ ration, les métaphores, qu'il associe souvent au culte de la religion catholique et à Dieu, contre qui il semble en guerre : « Je mangeais de la crème glacée, comme un apôtre, le corps du Christ » (p. 14) ; « la lune brillait dans le ciel comme l'œil de Dieu sur le pla­ fond de l'église » (p. 55), « cette tarte [Cla­ rence] mentait comme un apôtre » (p. 76)... Il a recours aux jeux de mots et aux expres­ sions qu'il déforme à volonté

réconciliation du « je », âme et corps et réalité rugueuse à étreindre ; dans le second cas (prologue au récit d’une confession), on peut douter de la résolution de la crise et voir le poète inéluctablement voué à l’enfer, au retour du même selon une logique saisonnière réitérative qui serait celle de la rechute. Quant à moi, je préfère parler au sujet de ce texte de prélude ou plutôt d’« ouverture », au sens musical du terme, comme contenant en germe la plupart des thèmes qui parcourront l’ensemble

conventions à la fois de la tradition occidentale et de l’abstraction pour s’inspirer du dessin d’enfant ou des graffitis. Ses portrais poussent très loin une impulsivité agressive - incisions, grattages de la surface – qui culmine dans l’outrance des Corps des dame liant «  le métaphysique et le grotesque ». La figuration se trouble pour accentuer le caractère matériel du travail dans les Paysages du mental 1952 puis surtout dans les Texturologies et Matériologies de 1957-1960 étendues de matière picturales

déchire la liste des courses » (p. 23). Il multiplie, dans sa nar­ ration, les métaphores, qu'il associe souvent au culte de la religion catholique et à Dieu, contre qui il semble en guerre : « Je mangeais de la crème glacée, comme un apôtre, le corps du Christ » (p. 14) ; « la lune brillait dans le ciel comme l'œil de Dieu sur le pla­ fond de l'église » (p. 55), « cette tarte [Cla­ rence] mentait comme un apôtre » (p. 76)... Il a recours aux jeux de mots et aux expres­ sions qu'il déforme à volonté

sujets de discussion que la société de l’époque n’était sans doute pas prête à entendre. A ce propos, le théâtre de Camus faisait également l’objet de nombreux débats. Les questions de la justice, de l’absurde, du totalitarisme faisaient parti des thèmes principaux de son théâtre. On le voit notamment dans Les Justes, Caligula, L’Etat de siège. Ce sont des pièces qui abordent ces différents sujets selon une pensée relativement mesurée. 6 Ainsi, les deux auteurs ont mis en avant leur pensée

Dumas prônent la suppression des genres et le mélange de 1 Prophète : personne qui prédit l’avenir, devin. 2 la tragédie avec la comédie ; ils rapprochent les extrêmes, « l’ombre à la lumière, le grotesque au sublime, en d’autres termes le corps à l’âme, la bête à l’esprit » (Hugo, Préface de Cromwell, 1827). On abandonne les règles classiques de vraisemblance, de bienséance, d’unité de lieu et de temps. Lors des représentations d’Hernani, en 1830, les partisans de la pièce de Hugo, menés