Malaise Des Banlieues

ville B. L'exclusion urbaine. La ville et l'exclusion. La mixité sociale et la politique de la ville 5. La crise des banlieues A. Le malaise des banlieues : sources de la spirale de l'exclusion et de la précarisation. L'image stigmatisée des banlieues B. Le mythe des 'banlieues-ghettos' C. Une culture de banlieue. Le hip-hop, une culture des rues ? Existe-t-il une culture de banlieue ? Bibliographie sélective : Ouvrages de base (lecture de base) : BIALES M, BIALES C., LEURION Rémi, RIVAUD J. L, Dictionnaire

Amérique. On a besoin de mettre un nom sur ces gens. On est au cœur d’une zone de turbulence. Elle va produire une révolution conservatrice, avec les néoconservateurs. Elle conduit à la maison Blanche Ronald Reagan. Son programme : mettre un terme au malaise engendré par la Guerre du Vietnam, faire des USA les leadeurs du monde libre, et en finir avec le communisme et la guerre froide. Il va réussir à réaliser tout son programme. Dans l’opinion publique Reagan est toujours en tête des sondages. Il y a

un grand succès électoral, le parti a quand même participé à la diffusion des questions sociales. Ainsi, un Département National du Travail est créé en 1907, et entre 1905 et 1942, une cinquantaine de lois sociales sont promulguées. Néanmoins, le malaise social augmente, et la situation ne fait que s’amplifier après la crise de 1929. 2 L’interdépendance entre Perón et les ouvriers La politique lors de la période 1930-1943 reste marquée par la corruption et la fraude électorale. L’explication

l'alternance des 2 visages (F.Castro et PPDA) → réalisée par montage, avec les images mises à disposition des journalistes qui n'étaient pas présents → manipulation des images. La scénarisation Cf. Le sujet d'Envoyé Spécial sur le malaise dans les banlieues → on y voit des images de trafic d'armes dans les caves des barres d'immeubles. En réalité, il s'agissait de scènes jouées avec des AK47 factices. Justification de la production → « nous savions de sources sures que cela se passe comme ça

avances. [...] Deux mois avant la mort d'Angèle, il l'avait menée, un dimanche, aux buttes Montmartre. La pauvre femme adorait manger au restaurant ; elle était heureuse, lorsque, après une longue promenade, il l'attablait dans quelque cabaret de la banlieue. Ce jour-là, ils dînèrent au sommet des buttes, dans un restaurant dont les fenêtres s'ouvraient sur Paris, sur cet océan de maisons aux toits bleuâtres, pareils à des flots pressés emplissant l'immense horizon. Leur table était placée devant une

magie.. Rien ne semble plus relatif que la pudeur - au sens de "tabou de la nudité"... Montaigne: " De vray, la pudicité est une belle vertu, et de laquelle l'utilité est assez connüe; mais de la traitter et faire valoir selon nature il est autant malaisé, comme il est aisé de la faire valoir selon l'usage, les lois et les préceptes." [Essais, I, 36.] L'homme moderne tend à se couvrir, la nudité n'est pas signifiante: elle devient l'absence de vêtement, nous cherchons à l'éviter pour qu'elle reste

Immersion : Les Jarett sont une famille ordinaire, appartenant à la moyenne bourgeoisie américaine, et représentant particulièrement bien le milieu des années soixante-dix aux Etats-Unis. Des "gens comme les autres", vivant dans le cadre d'une banlieue huppée de Chicago : Lake Forest, en Illinois. Cependant, le statut social et le confort privilégié des Jarrett soulignent d’autant mieux les remous manifestes sous la surface lisse de leur vie. En effet, depuis la mort accidentelle de son frère

déambulations sur tous les lieux du monde marqués par la misère et la mort : le front de 14, les hôpitaux de l’arrière, l’Afrique coloniale et l’Amérique du taylorisme et du « dieu dollar » avant de s’incruster, minable médecin sans clientèle dans une banlieue rongée de toutes les tares de l’ivrognerie, de la cruauté et de la sottise la plus épaisse. Mort à crédit (1936) fera avec Voyage une sorte de diptyque, en évoquant l’enfance de Ferdinand et son adolescence. Au gré des apprentissages toujours ratés

d’actualité au moment où l’on célèbre le centenaire de la naissance de son auteur. L’histoire se situe au début des années Soixante dans un milieu bourgeois technocratique aisé. La protagoniste, Laurence, qui travaille dans la publicité, ressent un malaise croissant envers l’égocentrisme de son entourage social et familial ainsi que, mais de manière plus abstraite, envers la spirale de la consommation et des relations de pouvoir dans les pays industrialisés. Catherine, sa fille de dix ans, 71 Dossier

aérolithe au milieu de ces fourrés perdus" (B.F., page 20) "La laideur en était celle des corons ouvriers" (B.F., page 21) "celle [... des maisonnettes de garde-barrière" (B.F., page2l) "ce mastaba de la préhistoire avec une guinguette décatie de la pire banlieue" (B.F., pp. 21-22) Nombreux sont les autres termes utilisés dans le récit pour désigner cette maison forte : "blockhaus", par exemple : B.F., pp. 20, 21, 24, 33, 49, 72, 77. (terme militaire provenant d’ailleurs de l’allemand) "maisonnette de Mère