Masturbation

Bataman est souvent un nom de superhéros mal écrit !A 33 ans, alors qu’elle traverse une période difficile, la photographe Frédérique Barraja découvre pour la première fois la masturbation. Cette révélation l’amène à s’interroger sur le rapport qu’entretiennent les femmes avec leur corps, sur une pratique intime encore tabou. Dans le documentaire « Les Branleuses » diffusé sur Canal+, elle part à la rencontre de femmes de 20 à 50 ans qui se confient sur leur sexualité. Au détour de conversations

enfants au moments d'aller se coucher et de s'endormir, comme la "peur du noir", le peur de mouiller son lit (que l'Institution décrite dans le livre encourage afin que l'enfant accepte de dormir d'un sommeil reposant), la peur des conséquences de la masturbation et la peur de la punition (de la castration), le sentiment de violence ressenti chez certains d'entre eux, la peur de l'abandon, la peur de la mort, de ne plus exister en se reposant, la peur du somnambulisme,... Bettelheim appui sur le fait qu'il

réponse fut perçue comme un oui. Finalement, la masturbation consistant à se toucher soi-même afin d’obtenir un plaisir sexuel est souvent revenue (Cooks, Baur, Widman, 2022, p.158 ). La masturbation fut très présente chez tous les personnages. En effet, elle représente une bonne manière de découvrir son corps et d’apprendre ce qui plait lors d’interactions sexuelles. Ivan et Patrick explorent leur homosexualité en commençant par la masturbation afin de comprendre leur corps et leurs désirs (saison

pulsions. a)LE DEVELOPPEMENT PSYCHO SEXUEL La zone concernée est les organes génitaux. L’activité de plaisir (alimentation, défécation) est désormais l’érotisme urétrale (urer : les reins) LA MASTURBATION La première masturbation (primaire) est liée à la miction. La seconde masturbation (secondaire) est un plaisir lié à une source direct de satisfaction. 1)La curiosité sexuelle infantile Le point de départ est la découverte de la différence d’anatomie entre les sexes. A 3 ans

durant le siècle dernier : l'homosexualité ou la masturbation. En 1914, la masturbation était encoreconsidérée comme une pratique nuisible à éliminer dès sa découverte, quitte à aller jusqu'à la contention. En 1928, on s'est rendu compte que les bébés découvraient très vite les sensations agréables venant de leurs organes sexuels. On reconnaît que la contention n'est pas bonne, et qu'au contraire, elle peut fixer l'attention de l'enfant sur la masturbation. On recommande donc, lorsque ce comportement

Causes : maintien à la phase anale Absence du père Ferenczi appelle l’homosexualité : l’homoérotisme 2 types : - homoérotisme de sujet qui se sent femme. - homoérotisme d’objet. Buts sexuels : Homme : + la masturbation Femme : + les muqueuses buccales. 2) Déviation par rapport au but sexuel. A) Transgression anatomique. Le but sexuel n’est pas seulement les parties génitales. Objet sexuel fétichiste : L’objet fétiche se substitut à l’objet

de travail (consultation de site pornographique sur son lieu de travail, impossibilité de contrôler ses pulsions sexuelles dans le métro, lieu public.) En général l'addiction sexuelle se caractérise par les comportements suivants : * la masturbation compulsive * la drague compulsive * la consultation compulsive de sites internet classés X, de journaux ou de services téléphoniques à caractère pornographique * la fréquentation de clubs échangistes, de sex shops, de peep shows

l’origine de la psychose Le cas Schreber1 Plus tard, S. FREUD fait du narcissisme un stade « intermédiaire » dans le développement psychosexuel de l’enfant, (S. FREUD, 1911) se situant entre le stade de l’auto-érotisme, dont le modèle est la masturbation, et le stade caractérisé par l’amour d’objet. Dans le même temps nous pourrons voir comment l’auteur est parti à la recherche d’un mécanisme spécifique à l’origine de la psychose. En 1907, S. FREUD s’interroge déjà sur les rapports entre la paranoïa

la puberté est une erreur et que cela n’a pas permis jusqu’à aujourd’hui de faire une avancée sur la connaissance des pulsions et sur ses différentes origines. On sait pourtant à l’époque de Freud déjà que pendant l’enfance la pratique de la masturbation, les érections…sont pratiques ordinaires. L’amnésie générale de ces pratiques existent soit par le fait de l’éducation soit par l’oubli psychique ( type refoulement comme chez les névrosés) . Serait-elle à mettre en parallèle avec l’amnésie hystérique

l’adulte or, il n’est pas possible de connaître la part exacte d’hérédité avant d’avoir apprécié celle qui vient de l’enfance. Quelques ouvrages de littérature existent à l’époque relatant d’une précocité de l’activité sexuelle chez les enfants (masturbation, érection) mais ces activités sont présentées comme étant phénomènes exceptionnels ou de simples exemples de dépravation précoce. A rappeler qu’à l’époque, les manifestations somatiques antérieures à la puberté sont vues comme signes de dégénérescence