Militantisme

qui les suivent, déstabilisent pourtant rapidement Morrison, d'autant que les paroles de ses chansons, qui prônent l'amour libre, l'usage de la drogue, la consommation d'alcool, le rejet de la morale puritaines, la révolte contre l'autorité, le militantisme contre la guerre, en font un personnage remuant que les services de police décident de surveiller de près. Supportant très mal l'intrusion des agents en uniforme dans les concerts, Morrison profite souvent d'être sur la scène pour improviser quelques

la généralisation des élections universelles. Ils permettent au acteurs dépourvus de ressources personnel de s’engager dans la compétition électoral avec des chances de succès grâce au ressource collective de l’organisation. La rétribution du militantisme : notion développé en 77 par Gaxie. Il analyse lui des incitation sélective que peuvent offrir les organisation partisane et qui peuvent agir comme des déterminant et des motivations du maintien d’un investissement militant. Ces rétribution peuvent

central mais plutôt de « développement durable ». Patrick Matagne, finit sont livre positivement en comptant sur l’émergence de nouvelles générations sensibilisées depuis toujours par ces problématiques écologiques, de nouvelles formes d’écologie, de militantisme ou de mouvement citoyen qui permettrons la généralisation du mouvement. Patrick Matagne dans son livre propose une manière de cerner l’histoire de l’écologie, des prémices des sciences naturelles aux enjeux d’aujourd’hui. En lisant ces pages,

jeunes avec les moyens du bord, mais la grande majorité préféra abandonner toute ambition propédeutique (en dehors de quelques conférences occasionnelles animées par le député local ou un dirigeant UJP de passage) pour se recentrer sur un simple militantisme pratique en collaboration avec l’UNR-UDT. Ce qui ne signifie pas que les cadets n’aient tiré aucun profit de leur passage par l’UJP , mais il s’agit alors d’une formation empirique « sur le tas » (tenir une permanence, animer une réunion, rédiger

importante numériquement) - et s’observe aux plans social et politique, (crise de l’identité professionnelle, perte du sentiment d’appartenance à une classe, affaiblissement des valeurs traditionnelles des ouvriers : fierté du métier, solidarité, militantisme). De « nouvelles classes populaires » caractérisées par la précarité se développent depuis une vingtaine d’années en raison de la montée des inégalités économiques et sociales. - Les conflits diminuent fortement et changent de nature. Les conflits

ont fait 9000 km en tout !). *Type de comportement qui touche les classes aisées. (Californie). Attitude bobo. -Va-t-on passer à la « consommaction » ? *Ne pas parler du commerce équitable très très marginal : 0.0001% du Commerce Mondial. -Militantisme et engagement politique, nouvel engagement des jeunes par l’altermondialisme. Conclusion -Forte dose d’utopie, nécessaire… sens du bien commun.

corruption? » s'interroge Allain Noël. L'auteur évoque les résultats de la « révolution tranquille » pour apporter des éléments de réponses à son interrogation: • la transformation des pratiques politiques et sociales • l'utilisation du militantisme social • l'intervention étatique pour mettre un terme à la division linguistique du travail et aux inégalités associées • les avancées remarquables en matière d'éducation, de revenus, de développement économique et social • la jouissance

intérêts particuliers, vaut expertise pour la définition du bien commun. En misant sur la société civile, la deuxième gauche reprenait à son compte la veine à la fois libertaire et sociale issue de 1968. De la pensée de Michel Foucault jusqu’au militantisme de la CFDT s’impose un consensus anti-étatiste. Pas encore la «réforme» plutôt que la «révolution», mais les «microrésistances» et les expériences locales contre l’exercice vertical du pouvoir. La deuxième gauche réagit contre deux figures de l’autoritarisme

des cadres (sectes protestantes et puritanisme évangélique dans la Nouvelle-Angleterre au XVIIe siècle, fonds islamiques d’investissements, fonds catholiques, fonds juifs, fonds verts, fonds droits de l’homme, etc) qui relèvent de l’éthique ou du militantisme. Pour y répondre, par conviction ou par nécessité, de nombreuses entreprises, notamment multinationales, adoptent des chartes éthiques mettant en avant les idéaux-types et les valeurs communes de leurs organisation, comportements et relations externes

*déclin des parties politiques de masse, évolution vers des parties « attrape tout » (Otto Kirshmeirer) → évolution vers le consensus politique pour ratisser large → Partie + dépendant des subventions publiques *déclin du militantisme classique au profit d'un militantisme distancié (Jacques Ion) Années 60, analystes chercheurs ont constaté l'émergence de mouvement ADHOC dans lesquelles les citoyens s'investissaient pour défendre certaines oeuvres. Ex : mouvement écologiste, anti nucléaire etc