Minos

fertur) des techniques de séduction de Pasiphaé (Ipsa novas frondes et […] subsecuisse manu v ). Narration de la tentative de rapprochement physique avec le taureau (it comes armentis v ), l’amour adultère est désigné par la périphrase Minos a bove victus erat v (l’utilisation du plus que parfait insiste sur le caractère définitif et irrémédiable de la situation) - accumulation questions de rhétoriques pour dénoncer la démence de la passion, succession d’interrogations directement

Ariane est une jeune princesse crétoise, âgée de 16 ans, dont le père est le roi Minos et la mère, la reine Pasiphaé. Après avoir appris l’origine du Minotaure par sa nourrice Tarrha, elle découvre le pacte obligeant le roi Egée à livrer à Minos, tous les 9 ans, 14 athéniens (7 garçons et 7 filles, tous très beaux issus des meilleures familles) pour qu’ils soient dévorés par le Minotaure. Le pacte avait été ordonné par Minos pour venger la mort de son fils, Androgée, assassiné à Athènes plus de 20 ans

d'autres, de Perséis, épousa le deuxième Minos dont elle eut plusieurs enfants, entre autres un fils appelé Deucalion, un autre Androgée, et trois filles : Astrée, Ariane et Phèdre. Vénus, pour se venger du Soleil, qui avait éclairé de trop près son intrigue avec Mars, inspira à sa fille un amour désordonné pour un taureau blanc que Neptune avait fait sortir de la mer. Selon d'autres mythologues, cette passion fut un effet de la vengeance de Neptune contre Minos, qui, ayant coutume de lui sacrifier

avait faite avec Égée, déclara, quand l’enfant vint au monde, qu’il avait pour père Poséidon, la grande divinité des Trézéniens. Dans la suite, Thésée se prévalut au moins une fois de cette naissance. Thésée, raconte Pausanias, étant allé en Crète, Minos l’outragea, en lui disant qu’il n’était pas fils de Poséidon, comme il le prétendait ; que, pour le défier de lui en donner une preuve, il jetterait sa bague dans la mer. Thésée s’y jeta aussitôt après, dit-on, retrouva la bague, et la rapporta, avec

PHEDRE : Elle a de nobles origines : fille de Minos et Pasiphaé  « J’ai pour aïeul le père et le maître des Dieux Le ciel, tout l’univers est plein de mes aïeux » Minos est le fils de Zeus, un des trois juges des enfers. Un jour il demande à Poséidon de lui Dans la plus connue de ses légendes, implore Poséidon de lui offrir un superbe animal qu'il lui sacrifiera. À cette demande, Poséidon fait sortir des flots un magnifique taureau blanc que Minos trouve si beau qu'il décide de tromper le dieu :

Quand Héraclès débarque sur l’île il part seul a la recherche du taureau sans compter sur l'aide de Minos. Notre héros poursuit l'animal enragé, cavalant a toute vitesse tant pour s'agripper a l’énorme cou du monstre. La ténacité du héros va être récompensée profitant d'un moment de répit du taureau, Héraclès grimpe sur un arbre et se jette sur le dos de l'animal. Surprise et apeuré, la bête se met a bondir sur place avant d'entamer une course folle le héros s'approche désespérément aux gigantesque

Dédale avait construit pour le roi Minos un labyrinthe dans lequel était placé un Minotaure et dont personne ne pouvait sortir. La fille de Minos aida Thésée (qui y était enfermé, destiné à être la nourriture du Minotaure, dont elle était amoureuse) à tuer ce Minotaure et à sortir du labyrinthe, avec la complicité de Dédale : c’est le fameux fil d’Ariane. C’est donc à la suite de cette trahison que Dédale et son fils y ont été emprisonnés. Etant donné que Minos contrôlait les voies terrestre et maritime

Minautore Minautore naît de l’union entre Pasiphaé, fille d’Hélios et épouse de Minos, roi de Cnossos, et un taureau blanc envoyé par Poséidon. Pasiphaé, maudite par Poséidon parce que Minos refusait de lui sacrifier le taureau qui lui était promis, cherche à s’accoupler avec l’animal. Elle y parvient grâce à un simulacre de vache que lui confectionne Dédale. Honteux de la progéniture, Minos fait enfermer le fruit de cette union dans le Labyrinthe, bâti par le même ingénieur. Tous les neuf

mi-homme mi-taureau. Il est né de l’union de Pasiphaé, fille d’Hélios et épouse de Minos, et d’un taureau blanc envoyé par Poséïdon. Pasiphaé était maudite par Poséïdon parce que Minos refusait de lui sacrifier le taureau qui lui était promis, alors, prise de folie, elle s’accoupla avec le taureau. Elle y parvient grâce à un simulacre que lui confectionne Dédale, son ingénieur. Honteux de la progéniture, Minos le roi de Cnossos, fit enfermer le fruit de cette union dans le labyrinthe construit

Phèdre, la fille de Minos et de Pasiphae. La « rayonnante », la « brillante ». Ascendance lourde s’il en est, à laquelle Phèdre ne manque pas de se référer, mais en insistant plutôt sur le caractère monstrueux et contre nature de la mère, que sur celui, volage, du père (davantage pris en charge, mais sans être pour autant assumé par Hippolyte avec Théramène). La première référence à son ascendance, au début de la pièce, est aussi la plus lointaine : le soleil, père de Pasiphae (42-), mais auquel