Misanthropie

 Plan de l’exposé Introduction I. La misanthropie d’Alceste a) Présentation de la société b) Alceste, opposant aux valeurs sociales c) La misanthropie, arme de changement social II. Alceste et l’échec du changement social a) Echec avec Oronte b) Echec avec Célimène III. Critique du groupe Conclusion Annexe Introduction Le programme de littérature de seconde nous fait apprécier trois grandes œuvres littérature parmi lesquelles Le Misanthrope, œuvre

roi les voient.Ils s'occupent généralement des intrigues amoureuses entre les gens de la cour. Ils fonctionnent tout les deux en binome. Ce sont des rivaux, qui peuvent être très mesquins, comme avec Célimène à la fin de la pièce.4 - La misanthropie : La misanthropie c'est l'état de détester le genre humain. Alceste par exemple, devient ridicule à force de détester le genre humain. 5 - Les mentalités de la cour : qui sont illustrées par le caractère infidèle de Célimène. 6 – La trahison :

vis-à-vis de cette pièce. Du comique, je n’en ai point vu ni même entendu ! Pierre : Alors vous devez être aveugle et sourd mon ami. Quelle idée superbe que d’exposer sur scène un personnage si ridule, qui représente la définition même de le misanthropie, et qui parvient malgré tout à être touché par l’amour. Le comique n’est pas ce qui manquait à cette pièce monsieur ! Jean : Il me faut plus que quelques mots savants et qu’un scénario banal comme celui-ci pour me faire rire Pierre. Pierre :

double référence à la vision : « je vis » (l.13) « regard » (l.14) annonce une nouvelle naissance confrontée à une révélation brutale. Cette naissance introduit alors l’apparition du double ténébreux, Lorenzaccio, suivie de la révélation de sa misanthropie. La personnification de l’Humanité en catin : « l’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un adepte digne d’elle, sa monstrueuse nudité » (l.14-15) est une déception brusque. Alors que Lorenzo persévère dans sa recherche de gens honnêtes

aura besoin un jour ou l'autre d'un besoin psychologique, d'une aide en cas de difficultés ou tout autres services. Ensuite, la solitude peut refléter de l'insociabilité et de la misanthropie car un homme solitaire parait sombre et méprisant. Le personnage d'Alsceste, dans le Misanthrope de Molière, illustre la misanthropie du genre humain qui pousse à fuir les hommes dans la solitude. Pour résumer, l'homme ne peut pas vivre seul car il a besoin de ses semblables qui l'accompagne et qui l'aide au long

~ REPUBLIQUE DU CAMEROUN COLLEGE PRIVE LAIC A. FLEMING 2nd C1 PAIX-TRAVAIL-PATRIE ANNEE SCOLAIRE : 2013/2014 MINSTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRES DEPARTEMENT D’HISTOIRE-GEOGRAPHIE THEME : * AZO’O EKABE YVAN *BITOM PAMELA BRENDA *CHENDJOU DJOMO DANIEL

souffrance avec les autres deux oeuvres, il décide donc d'utiliser cette souffrance physique et morale dans cette oeuvre. La comédie parle de cet homme bizarre de nom Alceste. Un homme qui définit imposteur la société. Les thémes dominants sont: - La misanthropie: Alceste est l'incarnation de la haine de l'homme, il refuse la vie de cour. Il a des attaques de colère et mélancolie que, quelques fois, ils le rendent ridicule. Il conteste la société de son temps et il décide de s'abandonner à sa destinée

Comment ne plus être misanthrope ? La misanthropie, c’est le fait de détester le genre humain. Ce thème a été rendu célèbre par Molière, qui en a fait une Comédie. Aujourd’hui encore de nombreuses raisons de détester le genre humain demeurent, mais aussi des raisons d’ésperer. Nous traiterons donc des 2 aspects successivement. 1) Des raisons d’être misanthrope : - Molière dénonçait 2 aspects, toujours actuels de la misanthropie : l’hypocrisie sociale, dont le refus conduisit Alceste à affronter

sont jugés en fonction de ce qu'ils montrent d'eux-même en lien avec la pensée dominante( civilités exagérées) Personnages  -Alceste : sincère / brutal / colérique / jaloux / misanthrope => personnage ambigü, narcissisme ( fausse misanthrope), misanthropie corrélée à un rejet du vice = pessimisme à la nature humaine. -Célimène : hypocrite / charmeuse / vicieuse / perfide / intelligente / médisante / manipulatrice => personnage de la société ? Personnage ambigü -Philinte : bienséance, devoirs

(morale d’Alceste : « Qui veut faire l’ange fait la bête. », Pascal), à la différence de Philinte (morale de Philinte : « La parfaite raison fuit toute extrémité, et veut que l’on soit sage avec sobriété. »). C’est un Misanthrope (l’expression de sa misanthropie est très explicite : « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait »). • Il est ridicule : il est toujours dans l’excès avec ses propos extrêmes ; il jure et il a des gestes brusques (différent de la Cour ; = paysans, rustres). Le spectateur