Mitrailleuse

qui avait 24 ans et qui était caporal au 27è d'infanterie. Elle était trés triste, elle aurait tout fait pour que son amour revienne prés d'elle. Elle avait reçu une lettre, lui apprenant que Bastien avait été touché à la téte par une rafale de mitrailleuse lors d'un assaus. Aprés sa lecture elle fut trouvée morte. A la fin de son journal, il y avait trois photographies que Destinat avait composées. La première était Clélis de Vincey, la deuxième était “Belle de jour” et la dernière était Lysia Verhareine

et des systèmes hydrauliques, des mathématiques et de l’anatomie. Les multiples croquis et dessins qui nous sont parvenus montrent que l’artiste avait pressenti de nombreuses inventions : l'avion, l’hélicoptère, le parachute, le sous-marin et la mitrailleuse. Si de nombreuses analyses et indications de ses croquis se sont avérées exactes, certaines comportent des idées fausses, mais très répandues à son époque. En 1503, on lui confie, avec son rival Michel-Ange, le soin de décorer la salle du conseil

Les couleurs sont claires mais aussi sombres, il y a oppositions, c'est le symbole de la guerre. Interprétation: Ce tableau montre la multitude des moyens mise en œuvre au combat: Tout d'abord, les faisceaux représente les tirs d'obus, de mitrailleuses, la fumée peut illustrer aussi bien le feu que les gaz . Mais, l'absence des hommes montre qu'un champ de bataille n'a plus rien d'humain. Ensuite, le feu représente les flammes de l'enfer. Et enfin, la fumée bouche l'horizon comme pour montrer

guerre dans des fait réel que ce soit pour le tableau ou pour la photo . Cela nous montre que pour gagner la guerre des moyen monstrueux était employé pour gagné la guerre exemple : des obus qui explosent au visage des soldats , des tank , des mitrailleuse ...( les joueur de skat ) ou encore des fusil qui transpercent et donne au simple contact la mort a un être humain (la mort d'un soldat républicain) . Vocabulaire : Correspondant de guerre : Journaliste qui rapporte les fait relatifs à un conflit

zone située entre les deux tranchées, criblée d’obus, jonchée de cadavres, et sous les tirs des deux armées. Y aller est synonyme de suicide car l’on est à découvert à l’inverse de l’ennemi qui est derrière sa tranchée, couvert et tirant à la mitrailleuse. Les chances de survie sont infimes, tout retour dans son camp est considérée comme désertion et donc passible d’être fusillé. Si un soldat refuse d’y aller, il est fusillé pour refus d’ordre et est fusillé. Le choix est simple pour un soldat,

nationalistes conduit par Franco de 1936 à 1939)lorsque le 26 avril 1937, jour de marché dans la petite ville basque de Guernica, l’aviation allemande bombarde et incendie la ville de façon sanguinaire pendant 3 heures 30 (16h30-20h00) , utilisant des mitrailleuses contre les personnes effrayées qui tentaient de fuir l’horreur .C’était un acte de répression contre les antifranquistes .Il y eut 1654 morts, hommes, femmes et enfants, et plus de 800 blessés, sur une population totale d’environ 7000 personnes

de marché, quatre escadrilles de la légion Condor, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L'attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Ce bombardement a été longtemps considéré comme le tout premier raid de l'histoire de l'aviation

“la fleur au fusil”. On leur apprenait que les balles adverses ne tuaient pas et que les soldats n’avaient donc aucune raison de s'inquiéter. Mais lorsqu’ils subirent la perte d’un camarade, les obus sifflants un son de mort et les ravages des mitrailleuses Hotchkiss française, ils prenaient conscience et s’avisaient pour constater le contraste entre l’image de la guerre et la réalité. Cependant, ils ne pouvaient pas s’en plaindre, tout comme ils ne pouvaient pas se plaindre de la faim. “Si quelqu’un

une manifestation de 80.000 Parisiens. Cependant elle s’auto-disperse, à la demande Rochefort, député républicain directeur du journal La Marseillaise, aux abords des Tuileries en apprenant que l’armée, sur le point d’intervenir, est armée de mitrailleuses. Dans les mois qui suivent, le gouvernement réprime toute une série d’émeutes et de manifestations avec fermeté : le 17 janvier une manifestation en faveur de Rochefort, le 7 février jour de son arrestation lorsque des barricades s’élèvent dans

(édifice, mobilier s'écroulant) - Prout (flatulence) - Pschitt - Pssshh ! (ballon qui se dégonfle) - Plonk (bruit que fait un objet s'inserant dans un autre) • Ron ron - Raaah - Roaaar (moteur) ou (rugissement) - ratatatata (mitraillette ou mitrailleuse) • Slam (claquement de porte) - Snif - Splash - Sploush - Splotch - Ssssss (serpent) - Smack (baiser) • Tic Tac (réveil, mécanisme de minuterie) - Tchou tchou - Toc Toc Toc (frapper à la porte) - tuuut (klaxon) ou (sonnerie) de (téléphone)