Mondialisation Et Tertiarisation

XIXe siècle : les britanniques font le choix de la mondialisation b) Le déclin relatif 2) La domination américaine a) Une puissance économique majeure dès le début du XXe siècle  Des atouts considérables  L’innovation et le capitalisme triomphent b) Une puissance mondiale après la WW1  Une suprématie contestée 3) Un monde multipolaire a) La mondialisation de l’économie  Un monde rétrécit, « Global Village »  Les limites de la mondialisation b) Les puissances émergentes à l’origine d’une redistribution

Rôle des flux dans la mondialisation La Mondialisation, en constante expansion depuis la fin de la disparition des deux Blocs de la Guerre Froide, est le processus d’ouverture des économies nationales sur un marché planétaire. Autrement dit, elle décrit les phénomènes de développement du commerce mondial de marchandises et de services, d’augmentation des flux de capitaux internationaux, de délocalisations des entreprises, et de la mise en place d’un marché mondial institutionnalisé (Bourses,

productifs.5°) plan empirique : relativise l’efficacité des politiques publiques de la formation de la main d’oeuvre. Ex : profite aux actifs déjà en poste.II. Les transformations du système productif :A) Les évolutions sectorielles : vers une tertiarisation ? Allan Fisher théorise ceci dans «  The clash of progress and security  » et Colin Clark aussi. (découpage des secteurs productifs) - primaire : activités agricoles, minaires, forestières et maritimes-

nottament la France ont beneficié d'une periode de croissance dynamique d'apres guerre (les trentes glorieuses) mais cet "état de grace" n' a pas duré indefiniment et depuis les années 80 la croissance économique s'est relativement ralentie.La mondialisation croissante des économies,comme indiqué dans le document 1(un extrait d'Economie et Sociologie de Francois Cusin et Daniel Benamouzig),ont entrainés une generalisation de la competition entre entreprises à l'echelle mondiale ce qui a entrainé une

Daniel Cohen ouvre le livre « Richesse du monde, pauvretés des nations », par l’analyse objective d’un dysfonctionnement au sein du système capitaliste, qui est devenu la source de son déclin grandissant au fur et à mesure que se développe la mondialisation. Pourtant un paradoxe est soulevé par l’auteur, concernant la chute du capitalisme au profit des puissances émergentes. Celle-ci ne serait pas le résultat d’un commerce avec les pays pauvres, mais d’évolutions majeures telles que la révolution

industrie bien différente de celle qu’on connaissait il y a trente ans. C’est le sens du sous-titre de la conférence. • Peut-on encore parler d'industrie alors qu'il se produit une tertiarisation croissante et que la place du travail manuel décline fortement? • Peut-on encore parler d'industrie nationale alors que la mondialisation se traduit par des fusions et de grandes opérations transnationales de restructurations capitalistiques?. L’exemple récent de Thomson et du groupe chinois TCL vient à point illustrer

production de biens et de services. Pour la mesurer on calcule le taux de croissance du PIB d’une année à une autre. -Mondialisation : organisation de la production et des échanges à l’échelle du monde. Augmentation et extension des échanges à l’échelle de la planète. Comment caractériser et expliquer la croissance économique ? Comment la croissance nourrit la mondialisation ? A)La croissance et ses différentes phases Tableau : | 1ère révolution | 2ème révolution | 3ème révolution |

mégalopole européenne témoigne d’une telle évolution et apparait comme la région la plus dynamique d’Europe. Ce phénomène appelé la métropolisation désigne le processus de mondialisation au sein d’un territoire, c’est-à-dire l’accroissement des échanges de tous ordres. Quels rôles jouent les métropoles européennes dans la mondialisation ? Dans un premier temps nous étudierons les relations entre les métropoles en Europe ainsi que le rôle de la mégalopole européenne, ensuite nous tenterons d’expliquer

uns est parallèle à la désindustrialisation des autres. La réalité montre que les pays riches ne doivent pas peur de cette désindustrialisation Ce qui est douté est que qui gagnera, qui perdra à ces transformations. Pour critiquer l’idée que la mondialisation est au service du capital contre les travailleurs des pays riches qui vont perdre leur emploi à cause des importations en provenance du Sud, et donc cela entraîne une baisse de salaires, Daniel Cohen base sur le paradoxe de Léontieff avec l'exemple

d'activités et d’acteurs fonctionnant en réseau dans le but de produire et commercialiser un bien. ► Plus simplement, l’espace productif est un lieu géographique aménagé et mis en valeur par l’Homme pour la production de richesses. Sous l’effet de la mondialisation, cet espace se spécialise dans une activité de production dominante dans l’un des secteurs (agricole, industrielle, tertiaire). (JBB) novembre 2018, mai 2019. Espace productif, territoire productif — Géoconfluences (ens-lyon.fr)http://geoconfluences