Monologue Mensonge Hypocrisie

terrestre est soumis au péché. Le péché est une gravitation.» Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s’indigner bien vite : – Oh! oh! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait : – Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs, des faibles, des

traître et égoïste. Le Menteur ne sait pas s’il ment ou s’il dit la vérité. Les personnes toxiques de ce type mentent depuis si longtemps et ont débité tant d’histoires pour renforcer leur estime de soi qu’elles ont fini par croire à leurs propres mensonges. Le Menteur pourrait jurer sur une pile de Bibles que telle ou telle chose est vraie et qu’il la croit de tout cœur, alors même que vous savez pertinemment qu’elle est fausse. Rien ne le fera changer d’avis, car il est le manipulateur par excellence

terrestre est soumis au péché. Le péché est une gravitation1. » Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s’indigner bien vite : – Oh ! oh ! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait : – Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs, des faibles, des indigents

terrestre est soumis au péché. Le péché est une gravitation.» Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s'indigner bien vite: --Oh! oh! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait: Les misérables Tome I --Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs

terrestre est soumis au péché. Le péché est une gravitation1. » Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s’indigner bien vite : – Oh ! oh ! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait : – Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs, des faibles, des indigents

est soumis au péché. Le péché est une gravitation. » Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s’indigner bien vite : – Oh ! oh ! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait : – Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs, des faibles,

terrestre est soumis au péché. Le péché est une gravitation. » Quand il voyait tout le monde crier bien fort et s’indigner bien vite : – Oh ! oh ! disait-il en souriant, il y a apparence que ceci est un gros crime que tout le monde commet. Voilà les hypocrisies effarées qui se dépêchent de protester et de se mettre à couvert. Il était indulgent pour les femmes et les pauvres sur qui pèse le poids de la société humaine. Il disait : – Les fautes des femmes, des enfants, des serviteurs, des faibles, des indigents

coups de rhum et à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait toujours après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s’entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l’isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d’enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

coups de rhum et à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait toujours après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s’entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l’isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d’enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

objectif général la révision des principaux acquis concernant le récit. Les bases de la narration ont été travaillées en 6e, la description a fait l’objet d’une attention spéciale en 5e ainsi que le traitement de la parole sous toutes ses formes (monologue, dialogue de récit, de théâtre, etc.). Quant à l’explication en tant que forme de discours, elle a été particulièrement étudiée en 4e. Les élèves arrivent donc en 3e avec la connaissance (bien sûr plus ou moins maîtrisée) des bases du récit. Nous